May 152023
 

Tress de la mer Émeraude, c’est le premier des bouquins « secrets » de Brandon Sanderson.

Comment ça des bouquins secrets ?

En fait, en mars 2022, Sanderson a lancé un kickstarter pour financer l’écriture de quatre livres, secret tout au long de 2023. Par la même occasion il a explosé le record du plus gros financement kickstarter.

Tress est donc le premier des quatre livres promis par Sanderson.

Une fois cette petite explication faite, c’est le moment pour moi de vous avouer quelque chose.

J’ai lu peu de Sanderson.

Et quand je dis peu, je veux en fait dire un.

Elantris.

Parce qu’il ne m’en ai jamais tombé d’autres sous les mains.

Pourtant que je connais bien l’auteur, sa réputation, ses trois lois de la magie (tiens je pourrais faire un billet dessus d’ailleurs), mais je n’en avais jamais lu d’autre. Mais après avoir « subi » un important lobbying de la part de pote, j’étais prêt, prêt à dépenser mon argent pour en lire. Il ne me manquait qu’une dernière petite pichenette pour me faire basculer.

Et cette ultime pichenette, ce fut la beauté de l’édition reliée de Tress de la mer Émeraude disponible dans ma librairie de quartier.

Je n’ai jamais su résister à une belle édition reliée. Je l’ai donc acheté, en mars. Et commencé en avril.

Et je l’ai lu .. en trois jours.

Totalement happé par l’histoire, par les personnages, par le worldbuiling hallucinant mis en place par Sanderson.

On suit les aventures de Tress, une jeune fille qui au début du roman vit sur une petite île tellement reculée et perdue au bout du monde qu’elle est la définition parfaite de «  une petite île reculée et perdue au bout du monde ».

Une île entourée par la mer émeraude, une mer qui a cela de spécial que c’est une mer de spores et non pas d’eau.

Et ce n’est pas la seule mer de spore du monde de Tress, il y en a d’autre, chaque mer ayant couleur différente, chaque couleur correspondant à un type de spore, chaque type de spore ayant des propriétés bien spécifique.

Mais Tress n’y restera pas longtemps sur son île, notre héroïne, laveuse de vitres de son état, va en effet devoir partir pour tenter de secourir son meilleur ami qui se retrouve dans une bien mauvaise situation.
J’aimerais en dire tellement plus, citer les différents personnages que Tress va croiser, expliquer pourquoi son meilleur ami a besoin d’être secouru, mais chaque information que je vous dévoilerais … cela serait comme vous volez les moments où vous les auriez découvertes par vous-mêmes.

Alors je ne vous en dirais pas plus, simplement que tout est diablement bien construit dans ce monde.

Que ce n’est pas pour rien que Sanderson est connu pour la beauté et la complétude de ses systèmes de magies.

Et qu’il faut que vous lisiez ce livre. Lisez-le !

Qu’en a moi, je vais totalement et complètement acheter plus de Brandon Sanderson. (Ça tombe bien, le deuxième des romans secrets est sorti mi avril).

Vous êtes encore là ? Vous voulez vraiment en savoir plus ? Vous êtes sur, vraiment ?

Bon très bien.

Tress part donc sauver son meilleur ami qui se trouve aussi être le fils du Duc qui gouverne la petite île où vit notre héroïne. Et si elle doit aller sauver son ami, c’est parce que celui-ci a été kidnappé par « La Sorcière », et que son père le Duc, bien disons qu’il s’accommode de la situation et n’a pas vraiment envie de faire beaucoup d’effort pour sauver son fils.

Tress prend donc son courage à deux mains pour aller se confronter à La Sorcière. Une terrible sorcière qui vit au milieu de la mer de Minuit, la plus terrible des mers de la planète de Tress.

Tress devra donc voguer, voguer encore, voguer toujours, croisant dans sa quête un équipage pirate, un dragon, un mousse un peu étrange, un rat qui parle et un médecin plus mort que vivant. Réussira-t-elle à survivre jusqu’à l’île de la Sorcière ? Et à vaincre celle-ci ? À libérer son meilleur ami ? Si vous voulez le savoir, allez lire le livre ! C’est fini, je ne vous dit rien de plus non de non !

ALLEZ LE LIRE !

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Les oiseaux du temps

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May 302021
 

Grace aux personnes de goûts (merci Meor) que je suis sur twitter, j’avais déjà noté dans mes petites listes de livres à lire les oiseaux du temps. Et puis j’ai vu passer un tweet de la maison d’édition (Mu, un label des éditions Mnemos ) qui en parlait. J’ai donc pris mon courage et mes DM à deux mains pour demander si je pouvais en recevoir un exemplaire pour le lire et en écrire un billet. Exemplaire que j’ai donc reçu quelques jours plus tard.

Les oiseaux du temps, c’est un roman court. Écrit à quatre mains par Amal El-Mohtar (critique littéraire, autrice et éditrice) et Max Gladstone (auteur). Il arrive en France après avoir remporté un certain nombre de prix (Locus, Nebula, Hugo). Réussir le doublé Nébula / Hugo n’est déjà pas évident du tout, alors le triplé .. Ma curiosité était donc aiguisée. Elle l’était encore plus du fait que, je dois bien l’avouer, je ne connaissais pas du tout Amal El-Mohtar et Max Gladstone (en vérifiant, j’ai vu qu’il avait écrit certaines nouvelles de Wild Cards, je l’avais peut-être déjà croisé lors de mes lectures).

C’est donc avec fébrilité que j’ai reçu mon exemplaire. Et … je n’ai pas osé l’ouvrir tout de suite. Je l’ai laissé là, sur mon bureau pendant une ou deux semaines. Ne trouvant pas le bon moment, redoutant d’être déçu, hésitant à sauter le pas.

Je l’ai finalement démarré un soir, tranquillement installé dans mon canapé. Et je l’ai lu d’une traite, incapable de m’arrêter pour aller dormir. (heureusement il ne fait que 188 pages sinon cela aurait pu se terminer par une nuit blanche et à mon âge, ce n’est plus vraiment sérieux).

Depuis, je l’ai relu une deuxième fois, en prenant mon temps, pour savourer l’histoire, les mots, les traits d’humour. Et il est très fortement probable, voir quasi certain, qu’il entre dans les quelques livres que je relis de manière régulière tout les 3 ou 4 ans.

Mais stoppons ici le récit de ma vie et parlons des oiseaux du Temps.

On y suit Bleu et Rouge deux soldates temporelles. Elles parcourent la « tresse » du temps et interviennent pour modifier le cours de celui-ci, l’amener petit à petit vers un futur qui verra triompher l’un des deux camps.

Et après une éternité de combat solitaire, de triples machinations temporelles, d’escarmouches asynchrones et en trois bandes et deux rebonds, Bleu va laisser une lettre à Rouge. Lettre que Rouge lira. Commencera alors une correspondance interdite entre les deux soldates. Correspondance dont chaque lettre ne pourra se lire qu’une fois, aussi vitale qu’évanescente. Un moyen de partager, de ne plus être seules, de se raconter, d’écouter l’autre, d’échanger et au final d’aimer.

Le roman découpe en paire de chapitre, d’abord la découverte de la lettre, la description, de plus en plus rocambolesque de la manière dont l’une l’a écrit et la réaction de l’autre. Et ensuite le deuxième chapitre qui est la lettre en elle-même. Cette manière écrire génère une succession de petit suspense. Que contient donc la lettre cette fois ? Qu’est ce qui a pu être écrit qui fait qu’elle réagit comme cela ?

L’univers quant à lui se découvre petit à petit, le nom des factions d’abord, puis certaines de leurs caractéristiques, des moments du passé de nos deux protagonistes. A la fin du roman, il restera plus de questions que ce que vous aurez eu de réponses le concernant. Mais est ce vraiment important ? Ce qui compte après tout ici c’est de suivre le récit de l’histoire d’amour entre Rouge et Bleu, tout le reste … ce n’est que décor.

L’histoire d’amour. Pas de demoiselle en détresse, pas d’apprentie qui tombe amoureuse de son Pygmalion. Deux combattantes, deux égales qui petit à petit se rapprochent et tombent amoureuses l’une de l’autre. Le trait n’est pas forcé, les mots coulent les un après les autres, les sentiments se construisent au fils des lettres.

Que dire de plus, si vous êtes encore en train de lire mes lignes, vous vous êtes sûrement rendu compte que j’adore ce livre. Et c’est peu de le dire. Les oiseaux du temps est beau, brillant, précis. Sa lecture fut pour moi l’occasion de lire plus belles déclarations d’amour de mon histoire de lecteur. Il ne raconte qu’une chose, ne se focalise que sur deux uniques personnages, mais il le fait parfaitement. Il n’y a pas un mot de trop, pas une phrase qui soit là pour une raison. Chaque page est remplie de poésie, d’humour et je suis persuadé que mes prochaines lectures me feront découvrir des choses que les deux premières ne m’avaient pas dévoilée.

En parlant de l’humour, je voulais terminer en louant le travail de la traduction. J’ai su en lisant le jeu de mot de l’avant-dernière ligne de la page 8 que j’allais adorer le livre. Et puis je me suis dit qu’en anglais, ce jeu de mot devait être totalement différent et que la traduction avait dû nécessiter vraiment vraiment beaucoup de travail.

Et c’est tout bête comme idée, mais il y a une page référence qui liste la totalité des romans, poèmes, pièces de théâtre et morceaux qui sont cités dans l’histoire. De quoi être sur de ne pas rater des références et cela permet d’aller sur youtube pour se plonger dans la bande son !!

Je vais m’arrêter là, parce que je doute pouvoir continuer à parler du livre sans spoiler et que je m’en voudrais de gâcher vos lectures.

En tout cas, lisez le ! 🙂

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Petite review d’Escape Quest 1

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Jul 282018
 

Il y a une dizaine de jours, je me trouvais à Gare de Lyon pour attendre mon train. Comme bien trop souvent allez vous me dire. (et vous ne serez pas loin d’avoir raison). Mais revenons à mon récit.

Alors que je baguenaudais dans les rayons des petites échoppes de la gare, je suis tombé sur Escape Quest 1. Je ne sais pas si vous avez remarqué mais depuis peu, c’est la folie en ce qui concerne les livres escape game. Je ne peux pas aller faire un tour à la FNAC sans tomber devant un présentoir avec des nouveautés. Échapper aux zombies, aux mutants, à un tueur en série, que sais-je encore. Bien souvent avec le concours d’un smartphone et en temps limité. Mais je dois avouer que je ne suis pas plus attiré que cela par tout ces machins.

Mais là, Escape Quest 1 ‘A la recherche du trésor Perdu’ m’a tapé dans l’oeil. La couverture d’abord, très comics et Indiana Jones au féminin. (si le titre et la police de celui ci n’ont pas été choisi tout exprès pour faire référence à l’archéologue le plus connu du cinéma, je veux bien en manger mon chapeau). Le format ensuite, un magazine-jeu trimestriel.

Et quand on me parle de magazine, je nostalgise toujours très vite et je pense à mes vieux Casus ou encore mieux, mes vieux Dragons Magazine (si quelqu’un me lit ici et possède de tels trésors, je suis intéressé).

Du coup, ben je l’ai pris en main. Et je l’ai feuilleté. Dans les règles, on m’indique qu’il n’y a pas de temps limité, j’aime bien. Je feuillete, le papier est joli, les textes sont aérés, je tombe sur une carte du monde avec des numéros de page très sympa…. C’est décidé je l’achète.

Et je le laisse dans mon sac. En me disant qu’il faut que je le lise quand même.

Et les jours passent.

Et hier, 27 juillet donc, ma grande fille veut faire une partie d’un jeu avec moi, mais elle sait pas trop quoi. Pris d’un éclair de génie, je dégaine Escape Quest. Et nous voila partie ensemble. Elle a 7 ans, la plupart des énigmes sont trop difficiles pour elle. Mais qu’importe, on va pair-jouer. Et puis on doit retrouver le trésor d’une héroïne, elle adore forcément.

Je lis les texte à haute voix. On cherche les énigmes ensemble, je lui explique les choses qu’elle ne comprend pas (qu’est ce qu’un monocle [oui comme dans toute chasse au trésor qui se respectent il y a un anglais avec un monocle] ou où se trouve la cordières des Andes) et on prend les décisions ensemble quand il faut choisir ou aller. Et les heures passent, bien bien vite.

Au final il nous aura fallu 5 ou 6 heures (peut-être même un peu plus), étalées sur deux jours pour venir à bout de l’aventure. Et ça valait largement les 12,95 euros que j’ai déboursé pour acheter le magazine.

Les énigmes ne sont pas trop difficiles, mais elles ne se trouvent pas toute en trente secondes (mêmes si certaines oui). Pour certaines il faut « jouer » avec l’objet magazine lui même, en pliant les pages ou autre et c’est dans la grande majorité des cas bien pensé (même si une ou deux sont un peu tirées par les cheveux)

En terme de typo, je n’en ai détecté que deux, un ‘le les’ à un moment et un ‘rendu service service’ à un autre. Mais bon, les erreurs ça arrive et deux erreurs sur 92 pages, ce n’est pas non plus un drame.

Le scénario quand à lui, même si il est au final plutôt classique, il se tient. Comme d’habitude on se demande pourquoi le personnage principal ne se pose pas les questions que l’on se pose en avançant dans l’aventure et ne tire pas les conclusions que l’on tire nous même. Mais bon si il le faisait, il n’y aurait plus d’aventure donc … Il n’y a que deux petites choses qui m’ont un peu gêné et qui ont faillit mettre à mal mon immersion dans le truc. A un moment on me dit ‘ha ben tiens cet avion se démarre avec les clés que tu as trouvé avant’. Sauf que … on ne m’a jamais dit que j’avais trouvé des clés. Et à un autre moment, après avoir crapahuté dans la jungle, espionné des gardes, je crochète une serrure pour rentrer dans un bâtiment et là je lis que je suis content d’être enfin au sec parce qu’il tombe des cordes. Mais on ne m’a jamais dit qu’il pleuvait avant …

Mais bon, deux petits ratés mineurs, là encore ce n’est pas bien grave.

Donc au final :

  • 12,95 euros
  • 92 Pages d’histoire soit 4 ou 5 heures de jeu (en pair gaming avec ma fille en tout cas)
  • des énigmes pas trop difficile mais pas non plus ultra facile, bien foutue et bien intégré dans le fil de l’histoire
  • un scénario bateau mais bien mené
  • un joli objet qui gardera la trace de votre partie (il faut cocher des choses, on peut écrire des notes), donc ne sera pas réutilisable mais par contre gardera dans ses pages les souvenirs de votre partie.

Perso, moi je suis très content de mon achat. Et ma fille m’a déjà fait promettre d’acheter le numéro 2 dès sa sortie !:)

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Recueils de nouvelles de Bradbury.

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Oct 032015
 

J’avais quasiment oublié Ray Bradbury. Enfin pas vraiment oublié mais juste, pas lu depuis longtemps ( pour être exact depuis que j’avais lu Chronique Martiennes et Fahrenheit 451 au lycée). Et puis j’ai vu passé un tweet à propos d’un de ces romans. Et je me suis dit que j’avais envie de relire sa prose. Et donc, quand je suis passé à la bibliothèque, forcément, je suis allé voir ce qu’il y avait de dispo.

J’ai fini par choisir deux recueils de nouvelles pour ‘me mettre en jambe’ :

  • Un remède à la mélancolie ( volume court)
  • Les machines à bonheur ( de bonne taille)

Et je dois dire que j’ai été totalement surpris par l’écriture. Je ne sais pas vraiment ce à quoi je m’attendais. J’avais un souvenir très diffus de mes précédentes lectures mais je m’attendais clairement à quelque chose de très SF.

Alors que non. Pas du tout.

Alors oui, on parle parfois de Mars ou de Fusée. Mais on est pas dans du space opera, dans de la SF « classique » age d’or. On est plus dans de « l’intime », une fenêtre qui s’ouvre sur la vie des personnages. En lisant les nouvelles, je me suis dit que j’avais l’impression de lire du Gaiman. Et en y repensant c’est bien ça. Il y a un peu la même poésie, la même fragilité, la même délicatesse des mots dans la prose de Bradbury que dans celle de Gaiman.

Et même si l’un des thèmes qui revient souvent dans les nouvelles est Mars, ce n’est pas le seul. Vous aurez aussi l’invasion ou/par la transformation. (Les terriens qui colonisent Mars mais se font envahir par les martiens par exemple), l’enfance et la vieillesse. Un grand nombre de personnages principaux des nouvelles sont des gens « agés » ou des enfants.

Concernant les nouvelles en elles même, même si il y en a 2 ou 3 qui ne m’ont pas fait d’effet (pour ne pas dire que je suis totalement passé à coté, au moins pour une de me demander ben ce qu’elle faisait là quoi), elles sont toutes à découvrir. Une bonne partie joue même dans la catégorie ‘à lire vraiment vraiment’. Et l’une d’entre elle (« Un rare miracle d’ingéniosité ») à peine réussit à m’émouvoir très très fort. Et avec la poussière qui a ce moment là, m’est arrivée dans l’oeil, on a frôlé le drame.

Par contre, un remède à la mélancolie, ne porte pas du tout bien son nom (la nouvelle dont c’est le titre est très bien), c’est plutôt ‘Une plongé dans la mélancolie’ qu’il aurait du s’appeler. Ne le lisez pas si vous êtes déjà déprimé ..

Donc pour conclure, clairement lisez les ! Et si vous devez absolument choisir, Les machines à bonheur est peu être un peu au dessus de l’autre, mais un rien..

 Posted by at 00:24
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