J-Mad

Apr 022010
 

J’ai jusqu’à présent évité de parler de politique / du grand n’importe quoi qui prend nos classes dirigeantes lorsqu’elles parlent d’internet sur ce blog.

Pour deux raisons :

  • parce que des gens le font déjà et très bien
  • parce que j’avais décidé, au lancement de ce blog, de ne pas en parler

Ce billet n’existerait d’ailleurs pas, si j’avais pu poster un commentaire sur le site du monde, pour réagir à l’article que j’ai RT il y a peu, celui sur la dernière bêtise de monsieur Lefebvre.

Je dois même avouer que lorsque j’ai eu le lien, grâce au tweet de @mariom_mdm, j’ai vérifié la date de la parution de l’article, pensant à un poisson d’avril.

Mais non, l’article est daté du 31 mars. C’est donc un vrai article.

Et donc, ce cher porte parole de l’UMP a donc vraiment déclaré qu’il fallait que la société qui gère le jeux vidéos les royaumes renaissants devaient donner des garanties sur leur faculté à empêcher la propagation de cette idéologie ou fermer.

Et il a dit cela pour quoi ? Parce qu’apparemment des terroristes se sont connectés sur le dit site web. Et que forcément, c’était pour promouvoir leur thèse. On n’en sait encore rien, mais, il faut agir, tout de suite. Et brider cet internet maléfique qui est une zone de non droit qui peut pervertir nos enfants.

On remarquera que libération donne deux noms de site web Msn messenger et les royaumes renaissants.

Et monsieur Lefebvre, dégaine alors tout de suite. Mais pas pour taper sur Microsoft, nan sur une petite société de jeux vidéos française. Alors, je préfère eclaircir les choses tout de suite, je n’aurais pas plus été d’accord avec monsieur le porte parole si il avait attaqué Microsoft sur ce point précis en demandant des garanties à cette société, concernant les utilisateurs de ces services.

Parce qu’en plus, je ne vois pas comment faire cela, a part lire l’intégralité des infos qui sont transférés par leur serveurs. (ou alors si, une pop up à chaque connexion : Etes vous un méchant ? Avec deux boutons OUI et NON , et une redirection vers une page ou il y aurait écrit ‘ce n’est pas bien, et du coup nous ne pouvons pas vous laisser entrer’ si l’on clique sur OUI).

Mais ce que je trouve intéressant au final, c’est le choix de la cible. Un jeu vidéo. Et si, au lieu de simplement râler et bien rire, je réfléchis, je me dis que c’est logique.

Un jeu vidéo pointé comme le MAL. C’est après tout logique, lorsque l’on prend en compte la volonté, largement présente depuis quelques temps, de diaboliser internet. Diabolisation qui permettra de mieux pouvoir promulguer des lois liberticides sensées protéger nos enfants (et nos esprits). Comme il fallait bien changer de refrain, les site pédophiles, on y avait déjà eu droit pour lopsi, (d’ailleurs à ce propos, un petit lien (merci @manhack) assez édifiant, sur le sujet) ce sont les jeux vidéos qui ont eu la chance décrocher la timbale.

Et puis, ce qui est bien avec les jeux vidéos, c’est qu’on peut reprendre presque le même discours qu’avec les sites pédophiles en changeant juste quelques mots. Ben oui, pour nos politiques (et là je parle aussi de ségolène royal dont vous pourrez lire une très belle citation dans l’article du monde parlant du sujet), les jeux vidéos, c’est forcément pour les enfants. Donc on recycle le discours (comme quoi, parfois ils savent être écologique)

C’est dommage pour eux que les joueurs de jeux vidéos ne soient pas toujours des enfants. Et que dans le cas des MMORPG, ce ne soit ‘presque jamais’ des enfants (bon ok, d’accord, parfois on pourrait croire que les joueurs de WoW ont toujours 14 ans…) .
Et je le prouve. Et très simplement, Il suffit en effet de faire quelques recherches et on trouve deux études très intéressantes, (au moins deux) qui sont :

  • cette première par  Dmitri Williams, Nick Yee et Scott E. Caplan, universitaires américains (si le lien ne fonctionne pas aller sur ce lien et recherchez everquest 2)
  • la seconde (attention lien pdf) faite par les hôpitaux universitaires de Genève et le CHU de Besançon

Et les deux s’accordent à dire que la moyenne d’âge des joueurs de MMORPG est supérieure à 25 ans (31,16 ans pour la première, 26,2 ans pour la seconde). Alors, je veux bien qu’à 25 ans, on soit encore jeune dans sa tête, mais il me semble que l’on ne peut plus être qualifié ni d’ado, ni d’enfant.

Alors que tout le monde s’accordera à dire que sur MSN, des ados, on en trouve treize à la douzaine.

Autant pour leurs argumentaires ‘bouhh bouhhh faut protéger nos enfants du MALLLL’.

Mais, il n’y a pas de reportage qui passe à la TV, avec des bandes son qui font peur, pour dire que msn, c’est destructeur et addictif et qu’il faut faire attention. Alors que sur les jeux vidéos oui.

Et puis surtout, c’est sur que les boites de jeux vidéos elles font pas des super inaugurations de nouveaux locaux avec plein de petits tours top bon, et où il y a  du coup, un certains nombre de parlementaires et de membres du gouvernement (pour ne pas dire un nombre certain). Et monsieur Balmer, il risquerait de se fâcher tout rouge, si on venait l’embêter avec les terroristes qui utilisent msn.

Mais dans tout les cas, ça reste de la bullshit de compétition. Où alors pourquoi pas demander aux pagesjaunes.fr de vérifier que les infos ne seront donnés qu’à des gentils citoyens ? Et que les cambrioleurs, les méchants, ou les terroristes n’auront pas le droit d’aller chercher une adresse ?

Mieux on pourrait obliger viamichelin et googles maps à donner comme unique itinéraire, celui de la prison la plus proche, dés qu’ils détectent que l’utilisateur est un délinquant ou un criminel en fuite. Comme ça op, monsieur Hibulaire qui pensait aller rapido à un mac do pour casser la croute, il se retrouve en fait en prison, juste parce qu’il a suivit les indications de viamichelin. Trop une bonne idée…

Et au final, pour que ça soit plus simple, on devrait instituer une authentification biométrique citoyenne pour avoir le droit de se connecter à Internet. Et les gens qui ne s’authentifieraient pas tomberaient sur une page blanche, avec pour seul contenu un doigt d’honneur affiché en grand et le slogan ‘Montre nous ton doigt ou on te montre le notre’ écrit en dessous. L’internet français serait super bien protégé comme ça. Et nos enfants, je vous en parle même pas, ma bonne dame.

EDIT du 3 AVRIL : On me signale que cette affaire serait peut-être, surement un poisson d’avril. Comme quoi…. Si ça en est vraiment un, c’était bien foutu avec un article dans le monde et un autre dans libération, non daté du premier avril … (et un article de la stampa, qui parle bien des royaumes renaissants, daté du 27 mars..)

Apr 022010
 

Les queryset sont une des composantes importantes de Django. Comment en effet interagir avec la BD sans eux ?

Mais est ce que cet outil si important et si souvent utilisé est si bien connu que ça ?

Parce que tout le monde connait count(), filter(), all() et exclude(). Mais qu’n est-il des autres méthodes ? Perso, je suis le premier à aller dans la doc, pour revérifier si ce que je voudrais n’existe pas déjà…

C’est le pourquoi de ce billet, lister quelques méthodes ‘à connaître’ des querysets (et puis comme ça la prochaine fois que j’aurais besoin de vérifier un truc, je pourrais le faire en lisant du français et pas de l’anglais). (Ce n’est au final qu’une redite de la page de doc qui va bien, mais ça peut servir).

1- Les méthodes qui renvoient un queryset (ou assimilés)

annotate(*args, **kwargs)

une petite méthode bien pratique, qui permet de rajouter des colonnes calculées (en utilisant les classes d’agrégat Sum,Count, etc défini par django) pour chaque objets récupérés dans le queryset.

Et ça, c’est plutôt fort. Surtout que l’on peut, bien entendu, ‘traverser’ les foreign key
L’un des exemples de la doc, montre cela en calculant pour un magasin le prix minimum et maximum des livres en vente :

Store.objects.annotate(min_price=Min('books__price'), max_price=Max('books__price'))

values(*fields) et Values_list (*fields)

Deux méthodes plus que miam.
Values retourne un ValuesQuerySet qui est en fait un queryset composé d’une liste de dictionnaires au lieu d’une liste d’instance d’objet modèle. Chaque dictionnaire représente un objet, les paire clés / valeur représentant le nom de l’attribut (la key) et la valeur de l’attribut (sa valeur).
On peut passer à values un paramètre optionnel *fields, qui permet de spécifier la liste des noms d’attribut (des strings donc) que l’on veut récupérer.
Exemple :

>>>Blog.objects.values()
[{'id': 1, 'name': 'Beatles Blog', 'tagline': 'All the latest Beatles news.'}],
>>> Blog.objects.values('id', 'name')
[{'id': 1, 'name': 'Beatles Blog'}]

Deux choses importantes à se rappeler, values ne récupère rien pour les manytomany et dans le cas des FK, la clé du dico est le nom ‘vrai’ de l’attribut dans la table (souvent avec _id donc) et la valeur, la valeur de la PK de la FK. Et comme le voit dans l’exemple, si on veut passer le nom explicite de l’attribut de la fk, on peut au choix mettre ou pas le _id, le résultat est le même.

Exemple :

>>> Entry.objects.values()
[{'blog_id: 1, 'headline': u'First Entry', ...}, ...]

>>> Entry.objects.values('
blog')
[{'
blog': 1}, ...]

>>> Entry.objects.values('
blog_id')
[{'
blog_id': 1}, ...]

values_list c’est à peu près la même chose que values, sauf que c’est une liste de tuple et pas une liste de dico. On peut en plus lui passer un paramêtre flat que l’on peut mettre à true , pour ‘aplatir’ les tuples quand l’on demande qu’un seul champ (juste coolos quand on veut une liste de pk)

>>> Entry.objects.values_list('id').order_by('id')
[(1,), (2,), (3,), ...]

>>> Entry.objects.values_list('id', flat=True).order_by('id')
[1, 2, 3, ...]

A quoi sert values et values_list ?

L’intérêt c’est qu’un ValuesQuerySet, c’est comme un queryset. Et que donc on peut utiliser toutes les méthodes des queryset dessus. Y compris refiltrer, order_by, etc etc ..

Et que dans le même temps, on peut alléger la charge, surtout si on a des gros models dont l’on ne veut utiliser que quelques champs.

defer (*fields)

Permet d’indiquer au queryset de ne pas récupérer automatiquement le contenu des champs qui sont passés en paramêtre du defer. Ca peut être utile dans le cas de gros champ texte par exemple (imaginons une vue en liste de billet de blog où l’on ne veut que les titres des billets et pas leur contenu, utiliser un defer(‘body’) pourrait être une possibilité , utiliser un values en serait une autre)

les champs deferred seront récupérés quand on les appelera explicitement. Pour annuler les defer d’un queryset, il suffit d’appeler la fonction avec None en paramêtre.

only (*fields)

C’est l’inverse du defer, on ne récupère que certains champs.

2- Les fonctions qui ne renvoient pas un queryset.

in_bulk(id_list)

Cette petite fonction bien sympa prend une liste de pk et renvoie un dico des objets qui correspondent (les clés étant les pk)

latest(field_name=None)

Renvoie le dernier objet, inséré dans la base, en se basant sur les dates et en utilisant le champ passé en paramètre (qui doit donc être un champ  date).
Si le model en question définit la Meta get_latest_by, on peut appeler latest sans argument.

Ok, cette fonction ‘ne sert à rien’ à part pour rendre plus lisible le code. Mais bon, ça ne mange pas de pain. Et l’utilisation de la Meta get_latest_by permet de ‘centraliser’ la façon de rechercher le dernier, ce qui rendra une modification plus facile.

aggregate(*args, **kwargs)

Retourne un dico des valeurs d’aggrégat calculés non pas objet par objet comme avec annotate, mais sur tout le queryset.

A vous les sommes de champ, les moyennes ou autre. Vive les rapports :).

>>> q = Blog.objects.aggregate(Count('entry'))
{'entry__count': 16}
>>> q = Blog.objects.aggregate(number_of_entries=Count('entry'))
{'number_of_entries': 16}

et comme pour annotate, on peut contrôler le nom, ici de la clé, que notre valeur calculée.

exists()

cette fonction n’existe pas encore dans django, elle sera présente dans la 1.2. Elle permet tout simplement de savoir si le queryset est vide ou pas. (oui je sais, devoir attendre la 1.2 pour avoir cette fonction.. mais bon 🙂 ).

Mar 302010
 

Et voilà arrivée la fin des petits jeux pour gagner des clés closed beta Leelh. J’avais annoncé que je mettais deux clés en jeux, une pour les RT twitter, une pour les commentaires sur mon billet.

Au vu du nombre important de commentaires sur mon blog (33) j’ai décidé de changer les règles du jeux. Il y aura donc une clé pour Twitter et deux pour les commentaires.

Le tirage au sort :
Il y a eu 2 tirages, un pour twitter, un pour les commentaires. J’ai utilisé random.org et une main innocente (celle de ma chère et tendre) pour lancer les tirages.

Concernant twitter, le screen du tirage :

le gagnant est @Gilles_T qui recevra sa clé par DM.

Concernant les commentaires du posts le screen du tirage est :

Les gagnants sont donc :

  • celticghost
  • Aydn

qui recevront leur clés par mail.

Et en tout cas, merci à tous d’avoir participé à ce petit jeu concours. .. Je sens d’ailleurs que je vais en organiser plus souvent, c’est rigolo de faire gagner des choses à des gens :).

EDIT :

Hier soir, lors du tirage, j’ai fait une grosse bêtise, certains, peut-être s’en seront rendu compte. En effet, quelqu’un a posté 2 commentaires, je n’ai donc compté qu’une fois son nom dans le tirage (j’ai donc fait un tirage sur 33 et non 34). Sauf que, du coup, le 28 je l’ai transformé en 27. Alors qu’en fait non, j’aurais du le transformer en 29. Oui je sais, il ne faut pas faire des tirages de concours quand on manque gravement de sommeil. Je ne le ferrais plus.  Je me demandais comment réparer cette injustice lorsque j’ai eu le plaisir de pouvoir vous offrir de nouvelles clés. Du coup, je vais corriger mon erreur en envoyant un clé à notelteers qui était le “vrai” gagnant de hier.

Et j’ai le plaisir de pouvoir faire de nouveaux heureux qui sont :

  • Xamm (y en a qui sont chanceux ….)
  • BulZor
  • Mrm007

Voila voila, et non, il n’y aura pas, une troisième fournée de gagnant … faut pas pousser non plus. 🙂

Mar 292010
 

J’ai déjà parlé il y a quelques temps de Leelh, le Meuporg MMORPG web qui, je le pense, va être bien bien prometteur. J’avais alors annoncé que la closed bêta allait bientôt démarrer.

C’est maintenant chose faite, la closed bêta est là. Et qui dit closed bêta, dit clé qu’il faut avoir pour pouvoir jouer.

Et comme je suis un super gentil blogueur, je vous propose d’en gagner deux. Comment ?

Soit vous retweetez le twitt qui va parler de ce billet et du fait que je fais gagner des clés Leelh.
Soit vous laissez un petit commentaire ici.

Dans tous les cas, je donnerais demain soir, les deux clés (par mail et DM), en tirant au hasard parmi les participants (ou en les donnant direct s’il n’y a qu’un seul commentaire et qu’un seul RT).

En espérant vous croiser bientôt sur Leelh.

(Et puis hop, une petite BD Leelh encore, pour le plaisir des yeux).

EDIT du mardi matin : comme dit hier, j’arrêterai donc la prise en compte des RT/commentaires ce soir vers 23 heures et je ferai alors le tirage au sort (par une main innocente) des gagnants.

ULTIME EDIT : le jeux est fini, les clés ont été distribuées.

Mar 282010
 

Vous aimez mon titre ? Parce que moi, j’en suis super fier en fait. Et oui, il m’en faut peu. Bon donc pour la django-app du mois de février, j’avais choisi django-transmeta qui permettait de traduire facilement son contenu. Mais un site n’est pas fait que de contenu, il est aussi fait de label, de menu, de tout plein de truc qu’il faut internationaliser à coup de .po et de .mo. Ce qui est, il faut bien le dire, un poil chiant. Limite je pourrais dire, qu’à vouloir traduire tout ces mots, on pourrait bien finir par y laisser notre peau.

C’est là que django-rosetta intervient.

1- Où on le trouve, comment on l’installe, tout ça quoi (et la doc) ?

Comme bien souvent, sur la page qui lui est destiné, qui est, un google code. Pour l’installation, rosetta fait dans le rustique : tar.gz ou svn checkout. Brut mais efficace.

Ensuite il suffira de rajouter django-rosetta dans les INSTALLED_APPS  et de rajouter ses urls dans l’urlpattern qui va bien. Et c’est tout, après roule ma poule (ou ma pierre, de rosette HA HA).

Pour la doc, la encore, il n’y a que la page home du google code. Mais l’app est suffisament bien faite, pour que la doc présente soit amplement suffisante.

2- Comment ça marche ?

Django-rosetta vous permet de rendre la rédaction des .po moins chiante que dans un simple gedit. Mais du coup, cela veut dire que l’application a besoin d’avoir les permissions d’écritures sur certains des fichiers de votre arborescence.

Du coup, elle n’est utilisable que de l’admin django. C’est un choix qui me semble, en fait, très logique. Et puis est ce que cela existe des gens qui n’utilisent pas du tout la partie admin de django ?

Ensuite, c’est tout simple, on a une liste des fichiers po, avec les pourcentages de traduction effectuées. On en choisit un et on se met au boulot. On peut même choisir si l’on veut afficher toute s les chaines ou que celle que l’on n’a pas encore traduite.

Allez op, deux petites images pour vous montrer le truc, parce que je suis gentil. (Et puis que je ne me suis pas trop fatigué, je reprend honteusement celles du google code officiel).

Voilà, avec cette deuxième app, j’en ai fini de parler, en tout cas pour un temps, d’internationalisation. A bientôt (dans un mois) pour de nouvelles découvertes dans le merveilleux pays des app django.

Mar 272010
 

Ca fait quelques temps que je me dis que je vais écrire un billet sur le sujet. Et quelques temps que je me dis que non, ça ne sert pas à grand chose et que je vais perdre mon temps (et vous faire perdre le votre) en écrivant sur un sujet qui a déjà fait couler tellement d’encre (je pourrais dire qui a fait transiter tellement de bytes, mais je trouve que la vieille expression est bien plus jolie).

Mais au final, l’annonce du lancement de la plateforme Izneo (est ce une référence à celui qui voulait devenir calife à la place du calife ?) m’a décidé à écrire un billet sur les TOD et plus largement sur le marché des Trucs numériques.

Parce que j’ai un peu l’impression que bien souvent, les sociétés de contenu, on va dire, partent du principe que On Demand ça veut dire ‘on va vous prendre pour des cons et s’en mettre plein les poches’.

Je prend un exemple. La série The Mentalist, diffusé sur TF1. Je n’ai pas regardé les épisodes en diffusion le mercredi soir. (j’aime regarder les épisodes dans l’ordre, déjà que la VF …) J’aurais pu les enregistrer puis les remettre dans l’ordre mais j’y ai pas pensé. Mais bon, je me suis dit, je vais voir si je peux pas les regarder en VOD. Je vais donc sur le site de TF1 et là… j’hallucine complet. Un épisode va me couter 1,99 euros. Et je pourrais le voir à volonté pendant 48h. Après, plus rien.

Donc je fais le calcul. 23 épisodes pour la saison 1. soit la totalité de la saison pour 46 euros. Pour simplement pouvoir les regarder pendant 48 heures chaque épisode. Alors que sur amazon, j’ai le coffret DVD complet, pour 35 euros. Et avec des vrais DVD que je peux regarder autant que je veux, quand je le veux (même dans 3 ans) et que je peux prêter à mes amis. Alors qui va acheter de la VOD TF1 ?

Et pour izneo, c’est le même principe. 2 euros (1,99 mais bon allez, arrêtez de chipoter), pour pouvoir lire une bd pendant 10 jours ? Et après plus rien… Alors j’aime beaucoup les livres et j’adorerais les lire en numérique mais faut pas non plus déconner. 2 euros, (voir un peu plus, mais plus que la moitié du prix physique), c’est le prix que je serais prêt à payer pour une édition numérique de BD que je pourrais conserver, ad vitam. Sachant qu’en plus si j’aime je vais acheter la version papier. Mais que même si je n’achète pas la version papier, 2 euros une version numérique (voir un peu plus), ça ne me semble pas être un tarif qui va faire vendre père et mère au maisons d’éditions. Mais deux euros pour un truc lisible pendant 10 jours, sérieusement non. A 50 cents ok, ça me permet de lire une première fois pour savoir si je veux vraiment l’acheter puis de l’acheter. Mais plus.. Faut pas déconner. ( A ce point de ma diatribe, je pense que je dois préciser que je suis un gros consommateurs de bouquins, j’ai un budget mensuel bouquin compris entre 60 et 120 euros et qui monte parfois à 150 euros, donc oui des bouquins j’en achète, sans arrêt, en fait au vu de mon compte en banque, je dirais même que j’en achète trop. Voilà, la précision est faite.)

En fait, je ne comprend vraiment pas comment réfléchissent les vendeurs de TOD… parce qu’on le sait tous qu’hormi les couts d’infrastructure pour gérer les augmentations de charge (les serveurs, la bande passante tout ça), une fois le cout de production du TOD amorti, le prix de vente n’est plus que marge brute.

Donc pourquoi faire des prix aussi élevés ? Et après venir râler que les plateforme ne décollent pas ?

Pourquoi ne pas proposer des prix adéquat, qui allongeront, il est vrai, au départ, le temps de rentabilisation du TOD, mais permettront de vendre plus..

Je sais pas, ça me semble plus logique de vendre 50 000 TOC à 50 cents l’un que 1000 à 2 euros l’un. Mais peut-être que c’est pas logique et qu’il vaut mieux vendre 1000 à 2 euros. Ou alors peut-être que les vendeurs de TOD pensent qu’on est tous des salauds qui ne cherchent qu’à avoir des trucs gratuits et que donc moins cher, ça se vendra pas mieux et qu’il vaut mieux mettre un bon coup de bambou derrière le crane de ceux qui achètent que de tenter de se dire que moins cher, les gens achèteront plus… (A mais là, ça voudrait dire qu’il faudrait un peu faire confiance au consommateur…. c’est sur)
Je ne comprends pas non la volonté de vouloir rendre le TOD périssable. Pour le plaisir d’emmerder ses clients ? Par vieux réflexe d’économie de la rareté en espérant que comme ça, le gentil client qui a acheté une fois sa bd ou son épisode de série, si il veut le revoir ou le relire dans 30 jours, il va le racheter à nouveau ? Sérieusement, pourquoi ?

Enfin, une piste qui est très peu explorée, c’est celle qui a été mise en place par spotify. Pourquoi pas un tarif mensuel avec un accès illimité à des ressources juste en consultation. C’est une idée trop bien pour qu’elle soit mise en place ? Parce que bon, mais si izneo ils me disent :’pour 10 ou 12 ou 14 euros par mois, tu peux lire autant de bd que tu veux’, mais je signe tout de suite et pour longtemps. Et là, ça n’a pas d’importance que si j’arrête mon abonnement à un moment ou un autre, je me retrouve une main devant, une main derrière, parce que pendant les X mois pendant lesquels j’aurais souscrit un abonnement, j’en aurais lu des bouquins. Et ceux qui m’auront vraiment plu, je les aurais même achetés, pour les avoirs, là, en vrai.

Alors après y a les gens qui vont dire ‘ouaip mais si les gens paient 10 ou 12 euros par mois pour lire autant qu’ils veulent, ils vont plus acheter de truc’. Ha ? Ha .. Tiens c’est étrange, je m’étais pas rendu compte que les bibliothèque, les vraies, celles où après s’être inscrit, on peut lire autant de livre que l’on veut et même les ramener chez soi pendant quelques temps, je ne m’étais pas rendu compte que ces lieux de perditions étaient en train de détruire l’économie du livre… Parce que bon, mon histoire de ‘licence globale’ sur un catalogue, c’est un peu ce que mette en place les bibliothèques, depuis des années. Et parfois même, l’inscription est gratuite…. vous vous rendez compte ?

Enfin, je vais arrêter de tirer à boulet rouge sur les vendeurs de TOD ou de Truc en format numériques. Mais bon, ça finit par énerver parfois de les voir pleurer encore et encore parce que les gens achètent pas, de les entendre chouiner que si ils achètent pas c’est parce qu’ils piratent et puis après de voir que quand on veut acheter un truc, on est pris pour des dindons.

Et bien entendu, je généralise. Il y a plein d’initiatives, plus qu’excellentes, comme in libro veritas qui propose différentes licences sur les bouquins (vive les créatives commons) et des pdf gratuits.

Ou Au diable vauvert (oui je sais, je les aime bien, mais bons, ils proposent des tellement bon bouquins) qui a proposé l’intégralité de Jpod, gratuitement, à travers son application Iphone. Et je suis sur que les ventes de Jpod n’ont pas été moins bonnes que les ventes de leurs autres bouquins, ‘malgré’, cette mise à disposition de l’oeuvre. Il faudrait leur demander (@audiablevauvert, je te pose une question 🙂 ), mais je suis prêt à leur payer un coup à boire si je me trompe.

Ce passage au numérique permet à mon sens d’imaginer tellement de nouvelles façons de proposer du contenu, de la culture, que je trouve triste à pleurer la non inventivité des vendeurs de TOD ou assimilés… Espérons qu’un jour cela change. (et les réductions sur le support physique quand on a déjà acheté la version numérique, hein … ou les contenus ‘en plus’ dans les versions numériques, voir des ‘clefs’ dans les contenus physiques pour ouvrir des contenus numériques…)

Izneo, plate forme de BD en ligne

 De tout et de rien  Comments Off on Izneo, plate forme de BD en ligne
Mar 272010
 

Le salon du livre (un jour faudra que j’y aille, je pourrais dire bonjour à @audiablevauvert comme ça) sera au moins marqué par une annonce (voir plein d’autre, mais j’avoue ne pas avoir bien suivit ce qui s’y passe), la sortie d’izneo, une plateforme d’offre de lecture en ligne pour la BD.

Ce sont pas moins de douze éditeurs (Bamboo,Casterman,Circonflexe,Dargaud,Dupuis,Fei,Fluide Glacial, Grand Angle, Jungle, Kana, Le lombart et Lucky Comics) qui se réunissent et donnent accès à une partie de leur catalogue (600 titres). La promesse étant faite d’enrichir rapidement celui-ci, avec une centaine de titre de plus tout les mois.

izneo – démonstration from izneo on Vimeo.

C’est une initiative que je ne peux que saluer (même si j’aurais bien aimé y voir soleil). Au moins le secteur de la BD, ne fait pas comme d’autre que je ne nommerais pas et finit par passer au numérique.. Bon ok, on est en 2010, ok, des choses auraient pu être faite bien plus tôt, et ok tout n’est pas encore parfait, mais au moins une offre commence à se développer.

Pour l’instant la seule manière de lire des BD sur la plateforme, enfin la seule que l’on connaisse, c’est de la lecture en mode ‘location en streaming’, d’un album. Pour entrer dans les détails, c’est 1,99 euros (à toujours ces bons vieux 99 cents pour un album lisible à volonté, pendant 10 jours.

Et c’est là où je suis pas d’accord. Et c’est ce mode de fonctionnement qui fait que je n’utiliserais surement pas cette plateforme.Et même si je trouve la plateforme sympa et l’outil de lecture bien foutu (et la possibilité de lire les 5 premières pages, pour essayer, être non pas une bonne idée, parce que pour moi cela va de soi, qui achète une bd en librairie sans la feuilleter d’abord ?, mais une fonctionnalitée si peu souvent mis en place, qu’il faut le noter)

Pourquoi ? Je l’explique longuement dans un autre billet, celui ci (et si jamais quelqu’un de chez izneo se perd ici, qu’il aille le lire… 🙂 ). (et non, ce premier billet pour parler de izneo n’est pas juste une excuse pour faire un billet sur les TOD (Truc on demand), enfin disons presque pas).

Mar 212010
 

J’ai, cette année encore, arpenté les allés de solution linux. N’y étant pas allé l’année dernière, je découvrais sa nouvelle implantation. Et donc, j’aurais déjà une première remarque : “l’endroit où le salon a lieu, c’était mieux avant”.

Parce que la défense, déjà c’était plus facile pour y aller, de gare de lyon et qu’en plus à la Défense, il y a un Starbuck. Et qu’après s’être levé à pas d’heure (ça devrait être interdit de se lever avant 5h du mat), avoir passé 3h dans le tgv et quelques dizaines de minutes dans le RER, mon petit plaisir, mon moment de bonheur de la journée, c’était un grand café, que je passais 10 minutes à choisir (il y en a tellement, rien que choisir, c’est déjà un bonheur) et que je dégustais ensuite lentement …

Alors que là maintenant, portes de Versailles, c’est tout tristounet, y a pas de Starbucks.

Maintenant que j’ai bien râlé sur le lieu, parlons un peu du salon. Déjà il faut que j’explique pourquoi je vais à Solution Linux, en temps que visiteur (exposant, peut-être un jour).

Si j’y vais, c’est pour pouvoir rencontrer des gens que je ne rencontre presque jamais sinon. Des amis qui ont leur entreprises dans des endroits tout perdu comme Nantes et que je ne vois quasiment qu’à cette occasion, les représentants des autres asso régionales d’entreprises du libres.
J’y vais aussi pour me tenir au courant, découvrir de nouvelles entreprises avec qui, qui sait, on pourrait nouer des relations niveaux boulots, voir les nouvelles offres des exposants, les évolutions au niveau business. Cette année, j’y allais aussi pour discuter avec les autres vices-président du CNLL (pour ceux qui n’ont pas suivi, le conseil national du logiciel libre, une fédération des assos régionales d’entreprises qui font du libre).

Mais ce qui rend Solutions Linux différent de tous les autres salons, et ce qui fait que j’aime y aller, c’est sa partie asso. Ce tiers de salon, où les stands ressemblent parfois presque à des garages geeks, où il y a des peluches et des affiches, où l’on croise plus de barbus que de costard, où l’on peut parler BSD, Hackable devices, firewall, ou autre.

Parce que c’est là qu’on retrouve ce qui fait la dynamique du logiciel libre, ce qui le rend si différents, ce qui fait qu’on peut y consacrer sa vie. Cette chose que l’on ne retrouve que dans les salons ayant une partie réservée aux associations, c’est tout simplement la passion des gens pour ce qu’ils font. Là, ce n’est plus un salon pour vendre. C’est un salon pour discuter, pour apprendre, pour convaincre aussi bien entendu, et si l’April ou l’Aful font signer quelques bulletins d’adhésions, je ne pense pas qu’elles y trouvent à redire, mais ça reste un repaire de geek. Et les plus geeks d’entre tous, ce sont, il faut bien l’avouer les GCU Squad. C’est plus un stand, c’est un bout de pays geeks qu’ils amènent dans solution linux. Et plus encore que leur stand, leur déconnade fait que leur présence est importante. C’est d’ailleurs en partie ‘à cause’ ou ‘grâce à’ eux que j’écris ce billet.

Pourquoi ?

Je suis tombé sur cet article, du monde informatique, parlant de leur animation anti brevet et anti microsoft qui a eu lieu le 17, en début d’après midi (où comme l’ont nommée les gcu, ‘sus à la grippe 7’). J’ai eu le plaisir d’y assister, d’ailleurs j’ai twitté quelques photos, en direct (et si vous en voulez de bonne qualité, il y en a tout plein, et même des vidéos sur le wiki gcu). L’article du monde finit en disant que certains exposants ronchonnaient à propos des actions des GCU.

Alors, je n’étais pas exposant, donc mon avis est peut-être un peu biaisé, mais, je pense, sincèrement, que le jour où Hybird sera exposant, ça ne changera pas mon avis. Mon avis qui est qu’ils faut que GCU soit sur SL. Qu’ils faut qu’ils continuent à faire des choses comme ‘Sus à la Grippe 7’, à courir dans tout le salon déguisé n’importe comment, dans une bonne humeur très potache.

Parce que si c’est pas eux, qui le ferra ? Ce ne peux être des personnes qui a un moment veulent paraître sérieux, pour pouvoir faire du business. Ce ne peux être des exposants, des associations d’entreprises, des gens qui ont l’étiquette de leur société autour du cou. Non, ce ne peut-être que des troublions, qui se rassemblent en groupe de troublions et qui jouissent d’une liberté d’expression que les composantes plus business de l’écosystème du libre n’ont pas, n’ont plus.

Et puis, il faut bien l’avouer, j’y vais aussi un peu pour ça à solution Linux, pour voir ce qu’ils ont imaginé, cette année encore, les GCU… Et tant que leur actions auront un sens, ne seront pas juste de la déconne, mais porteront un vrai message, (j’ai d’ailleurs beaucoup apprécié que le 17, la parole soit donnée aux personnes de Microsoft, pour qu’elles puissent s’expliquer), je continuerais à penser qu’ils sont utiles.

Bientot, la close beta de Leelh

 De tout et de rien  Comments Off on Bientot, la close beta de Leelh
Mar 202010
 

Leelh… Je suis la gestation de ce mmoweb depuis.. le tout tout tout début. De plus ou moins près je me tiens au courant de l’avancée des choses, que ce soit en suivant leur twitter @leelh ou en trainant sur les différents site web mise en place.

Pourquoi ? Parce que j’ai l’impression que l’équipe de dev a écouté mes suppliques au moment de designer Leelh et à décider de me faire plaisir, le plus possible. Du Pvp partout, un jeux orienté survivalisme, des objets qui s’usent et se cassent (et qui plus ils sont usés moins ils sont performants), etc etc ..

Parce que c’est, en tout cas à ma connaissance, le premier mmoweb qui sera à abonnement payant obligatoire et que je me demande si ce business model peut fonctionner pour un tel jeu.

Du coup, quand j’ai été, il y a quelques temps contacter par un membre de leur équipe de gestion de la communauté, qui m’a demandé si j’étais intéressé par recevoir des news et en parler si je le voulais, j’ai, forcément dit oui.

Et quand, donc, j’ai reçu un mail m’annonçant que la Closed Beta allait ouvrir (normalement le 25 mars), mon sang n’a fait qu’un tour, je me suis tout de suite exclamé ‘je vais écrire un billet pour l’annoncer’. Bon ça, c’était hier, alors, oui je sais, je met du temps à écrire des billets, mais fallait bien que j’aille acheter ma dernière geekerie quand même.

Mais revenons en à Leelh et à sa Closed Beta qui a l’air plus qu’alléchante, en tout cas si pour une fois, tout ce qui doit être dans une CB y est vraiment  …  (nan parce que bon, avec l’âge et les béta passant, je commence à croire qu’il est irréaliste d’espérer avoir dans le jeux tout ce qui est promis par les sites officiels).

9km² de ruines post-apocalyptique à arpenter, les heureux chanceux qui pourront se connecter à la CB vont en user du souliers, moi qui vous le dit. Heureusement pour eux, cette champêtre zone urbaine dévastée regorge de victuailles qui malheureusement sont parfois un petit peu avariées .. (et non oui , les points verts sur le bout de viande, s’était pas un reste de sauce aux trois poivres..) Et non content de passer la nuit à vomir dans une poubelle trouée, il faudra gérer le stress qui risque sinon de vous user plus rapidement qu’un cannibale vous courant après pour vous tâter les miches. Heureusement, vous pourrez souffler un peu, lorsque vous retrouverez votre coquette planque, un quatre étoiles façon trou de lapin dans lequel vous pourrez cacher vos trois boutons et vos deux lacets ….

Ca vous donne envie hein tout ça ? Et ben à moi aussi. Donc je croise les doigts pour avoir le privilège d’être l’un des 5000 heureux élus qui pourra tester la CB.

Et pour le coup, je vous met une petite BD pour illustrer l’univers de Leelh.

Mar 072010
 

Décidément, c’est la journée truc et astuce aujourd’hui. Un simple petit mémo pour ceux qui utilisent spotify sous linux avec Ubuntu.
Alors que sous Debian, le fonctionnement était parfait, sans un seul soucis, j’ai constaté des grosses instabilité en utilisant spotify, avec wine, sous Ubuntu.
Par instabilité, j’entends le son qui s’arrête, sans raison, après 2 ou 45 minutes de musique. Nécessitant un redémarrage de spotify, voir plusieurs.

Comme j’étais les mains dans cambouis avec mon ATI, je me suis dit que j’allais continuer et essayer de m’occuper de ce problème.

Après plusieurs bidouillage et essais, je pense avoir réglé le problème. Ma solution est simple, configurer wine pour qu’il utilise esound et non pas Alsa.

Depuis, aucun problème.

Mar 072010
 

J’ai, depuis un peu plus de trois mois, un lenovo W500. Rien à dire, j’adore cette bécane. Un look rétro et indus que j’apprécie, des ventilos très silencieux, un touché de clavier agréable, que du bon quoi.

Mais, j’avais un petit soucis, mes drivers graphiques (ATI Firegl je sais plus quelle version) ne voulaient pas fonctionner. Mais bon, vu ce que j’utilise la  3D sur mon portable, ça ne me dérangeai pas outre mesure.
Mais il se trouve, que pour une démo client, je vais absolument avoir besoin de 3D. J’ai donc du me battre avec ma petite ubuntu pour faire fonctionner le bousin.

Les drivers proprio ne fonctionnant pas, j’ai tenté avec les drivers radeon, radeon hd, mais nan, rien ne fonctionnait.

Et puis au final, au détour d’une recherche google, l’illumination. Il faut dans le BIOS désactiver le principe de switchable carte graphique, désactiver l’auto détection de la fonctionnalité par les OS et indiquer que l’on veut que ça soit la carte graphique ‘Discrete’ qui soit utilisée.  (switchable carte graphique, c’est une fonctionnalité lenovo qui permet d’utiliser soit une carte graphique intel intégré toute pourrite mais qui consomme pas d’électricité soit de lancer la grosse ATI)

Et là, miracle.. j’ai la 3D avec les drivers ATI proprio.

Donc si vous avez un lenovo, vous savez quoi faire maintenant.

Nouveau blog

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Feb 282010
 

Et voilà, juste juste, vu que j’avais annoncé une deadline pour fin de week-end, j’ouvre un nouveau blog The Jdr-Mad blog. Un blog qui parle donc, de jeu de rôle. Et uniquement de jeux de rôle.
Pourquoi un nouveau blog ? Parce que le Mad Blog a pour vocation d’être un blog orienté, le plus possible, boulot et création d’entreprise. Et que donc je ne voulais pas partir dans tout les sens (c’est déjà suffisamment le cas en ce moment) en rajoutant une partie jeux de rôle. J’ai un peu l’impression que mes billets sur la création d’entreprise et les relations avec son banquiers perdraient de leur crédibilités si ils étaient à coté de billet d’avis sur DD4 ou Fading Suns. Je me fais peut-être des idées mais bon…

Et puis j’avais envie de tester une autre plateforme de blog que WordPress. Alors pourquoi pas blogger ? Ça sera l’occasion de voir ce qu’il a vraiment dans le ventre. A ce propos, je ne suis pas pour l’instant, super favorablement surpris.

L’édition est bof, l’interconnexion avec les autres services google pas forcément évidente, si je devais donner une note, ça serait, pour l’instant, peu mieux faire…

Enfin, je verrais dans quelques temps, après une utilisation prolongée, pour faire un billet, sur le mad blog, pour parler de mon expérience blogger.

En attendant, j’espère retrouver nombre des lecteurs du Mad blog, sur le Jdr-Mad blog.

(Note de l’auteur : ce post est publié sur les deux blogs, comment faire du contenu sans se fouler… 🙂 ).

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