Feb 102020
 

Je traînais sur steam et en regardant les jeux que ce gentil trublion me proposait, j’ai vu Coffee Talk. Venant de finir The Red Strings Club et ayant acheté moins de 24h avant Kentucky Route Zero, je ne pouvais que craquer.

Surtout quand j’ai laissé tourner la vidéo de présentation et que j’ai entendu la BO. (vous verrez par vous même, je vous mets le trailer:) ).

Et puis, si il y a bien deux lieux où j’aime passé du temps quand je ne suis pas chez moi, ce sont les bars et les cafés. Alors un visuel novel qui se passe entièrement dans un café…. J’étais à l’évidence la cible parfaite. C’était LE jeu pour moi.

Aussitôt acheté, aussitôt lanc… Et ben en fait non. Parce que je l’ai acheté à ma pause midi au bureau le mardi 4 février, et que j’ai donc du attendre le soir pour le lancer. Et j’ai complètement adoré.

Il y a un café, le Coffee Talk, qui est un café de nuit. Drôle de concept, mais aussi totalement génial .. (pourquoi cela n’existe pas dans la vraie vie)

Et qui dit café dit barista. Et c’est le rôle que l’on va jouer.

Et quand je dis jouer, on va en fait majoritairement se contenter d’écouter les différents personnage parler. Que ce soit le vampire, le loup-garou, l’Océane, l’elfe, les humains, la succube, ils vont tous venir, parler de leur problème, attendre nos conseils. [A parce que oui, on est dans un monde où il n’y a pas que des humains. Un peu comme un Shadowrun, mais dans le monde de maintenant. ]

Mais on ne pourra pas influer sur les réponses que le ou la barista va donner. Non, la seule chose que l’on pourra c’est confectionner des boissons en espérant qu’elles aideront les personnages dans leur cheminement. Il y a bien un petit jeu de latte art (où j’ai perdu pas mal de temps pour le plaisir de dessiner des trucs ultra moche), mais qui n’est là que pour le fun et qui est totalement optionnel.

Et il n’y a rien d’autre. Juste on écoute les gens parler, on écoute les réponses de notre barista et on fait de son mieux pour préparer les boissons dont nos client(e)s ont besoin.

Et c’est parfait.

Là où les mini jeux de The Red String m’avait un peu saoulé, parce que soit à mon sens inutile (le truc des implants), soit un peu chiant en terme de contrôle (faire les cocktails avec la difficulté de réussir les dosages), ici l’unique mini-jeu, la confection de boisson est suffisamment simple pour être plaisante. (et le latte art étant totalement optionnel, on y perds du temps que si on le choisit).

J’ai donc commencé à jouer mardi soir, une session de deux grosses heures. Puis j’ai continué jeudi soir, la encore deux grosses heures de jeu. Ce qui m’a suffit pour arriver à la fin du jeu. Enfin, il me reste encore des modes ‘barista avec timer’ ou il faut essayer de servir le plus de boisson possible sans se tromper dans un temps imparti. Ou le mode ‘infini’ où on peut servir les boissons qu’on veut, sans fin, pour le plaisir de le faire. [je dois bien avouer que je me suis fait quelques sessions, surtout quand je n’avais pas découvert toutes les recettes possibles, pour pouvoir être sur de proposer les meilleurs boissons possible dans toutes les situations].

Pour conclure, j’ai adoré les quatre et des brouettes heures que j’ai passé avec Coffee Talk. Ce fut de vrai bouffée de calme, de plaisir ludique simple, d’agréable moment dans une petite bulle hors du monde… un peu comme si je buvais lentement un délicieux café, assis dans un de mes cafés préférés.

Enfin, comme je suis un peu un fainiant, tout les visuels viennent du presse kit officiel.

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