J-Mad

Oct 032009
 

Ca fait quelques temps que je n’ai pas parlé d’autre chose que de python et de django ici. Ors je ne veux pas que ce blog devienne seulement un blog technique. Voici donc le retour des billets non directement technique. Pour commencer un premier billet sur les jeux vidéos et l’iphone.

Parce que d’un j’ai un iphone et que de deux, parler de jeux vidéos c’est rigolo (et puis que le petit jeux iphone http://www.canabalt.com/  que l’on m’a fait découvrir hier aprés-midi m’a donné l’idée de ce billet).

Les types de jeux que j’aime sur iphone (ou que j’aime pas)

J’ai testé pas mal de jeux sur l’iphone, la plupart étant des jeux gratuits, il faut bien l’avouer mais j’ai aussi acheter quelques titres, pour pouvoir les tester.

Au final, sur iphone en tout cas il y a 2 grand types de jeux parmi ceux proposé actuellement et auxquels j’aime jouer. Les casuals, que ce soit des casual arcade  , réflexion ou puzzle ou les pseudo mmo. Je m’expliquerais ensuite sur les pseudo mmo.

Pour les casual, tout le monde le sait que le mobile c’est avant tout et surtout du casual. Mais bon n’empêche que j’aime bien y jouer (et que j’y passe parfois un temps certain).

Pour les pseudo mmo, j’en ai testé pas mal (dont pas mal fait par storm 8 ) et même si ils reprennent assez souvent les mêmes grands principes, très limités, il faut reconnaître qu’ils sont addictifs.

Rapidement, une petite liste des principes de ces pseudos mmo :

  • une interface texte / icônes,
  • des bâtiments à construire pour avoir des ressources,
  • des unités à construire,
  • des missions à faire (sachant que faire une mission c’est cliqué sur le bouton Go ou Do a coté du titre de la mission,
  • défier les autres joueurs dans des combats (sachant que la aussi c’est bien souvent limité à un bouton fight à coté du pseudo du joueur et que lorsqu’on clique dessus le combat se résout automatiquement).

Pour le reste, j’avoue ne pas accrocher du tout au fps sur iphone (bon ok Wolfenstein c’était sympa, parce que ça faisait remonter tout plein de souvenirs, que la prouesse technique était cool tout ça, mais pour y jouer pour de vrai : bof bof ), ni au jeux de voitures où en plus il faut incliner l’iphone pour jouer. D’ailleurs pour moi, en tout cas dans les jeux actuels, l’utilisation de l’inclinaison de l’iphone est bien souvent le moyen le plus rapide de plomber un jeux. (A part pour les jeux de type planche avec des trous, où il faut faire parcourir un chemin à une bille en évitant les trous). Pour les jeux de voiture (ou bateau ou autre), c’était carrément chiant. Ce petit constat me permet de passer à mon deuxième point :

Comment on peut jouer, sur un iphone ? (ou, Où je met mes doigts, y a pas de croix directionnelle sur ce .. de truc)

Donc, j’ai déjà dit que pour moi, utiliser les senseurs d’inclinaisons pour un jeux iphone était une mauvais idée, sauf si l’utilisation de ses senseurs est indispensable au gameplay du jeux (cf mon exemple du jeux de la planche à trou).

Mais qu’est ce qu’il reste alors ?

Il reste :

  • un écran tactile
  • un micro
  • des boutons de volumes.
  • Un casque oreillette avec une télécommande

Le micro.

Là c’est comme pour les senseurs de déplacement. Il faut un jeux construit autour de cette interaction. Sachant que l’on peut l’utiliser soit pour récupérer des sons dans un jeux musical ou vocal ou qu’on doit pouvoir l’utiliser pour capter des ‘rythmes’ de tapotage.

Les boutons de volumes.

Je n’ai pour l’instant pas vu de jeux les utilisant comme contrôle, je me demande du coup si c’est possible de s’en servir, mais je ne vois vraiment pas de raisons qui empêcherait de tirer parti de ces boutons là.

L’écran tactile.

Lui, il a eu droit à tout :

  • La croix directionnelle redessinée ou réinventée (j’ai souvent vu des gros ronds qui symbolisait une croix directionnelle avec 4 ou 8 zones de pression/contrôle réelles, exemple dans minigore) et qu’on utilise à travers l’écran, le tap sur l’écran n’importe où pour faire une action (comme dans canabalt)
  • les zones ’boutons’ appuyable ou cliquable pour tirer par exemple.
  • Les ‘scrollbar’ sur les cotés pour accélérer  ou avancer, reculer.

Personnellement j’ai une préférence pour le moins de contrôle possible, et positionnés soit dans les coins soit en barre verticale sur les cotés.

La télécommande du casque

Est-elle utilisable dans un jeux ? Peut-on utiliser les séquences de clic sur la télécommande pour interagir avec un jeux ? Je me demande. Le problème serait de tenir l’iphone tout en cliquant comme un barge sur sa télécommande….

Les jeux qui manquent (comprendre que j’aimerais avoir)

Les vieux jeux

L’iphone est pour moi, une plateforme idéale pour remettre les vieux jeux au goût du jour. Pourquoi ? Parce qu’ils étaient juste délicieusement addictif, avec des graphismes hum, simple on va dire et un nombre d’interaction relativement limité.

Que ce soit de l’arcade comme :

  • Hocus Pocus
  • Secret Agent 1 , 2 ou 3
  • Duke nukem 1
  • commander keen

des points and click comme :

  • les discworld
  • curse of enchantia

des beat them all (genre comic zone ou double dragon)

ou des très casual comme frogger , oilcap , lemmings,

ou même, on va me jeter des pierres, mais des rogue-like comme nethack, angband ou les wizardry.

Les jeux de gestions

Une pincée de Simcity, un soupçon d’ascendancy et une goutte de civilisation. Je trouve que les jeux de gestion/stratégie sont peut représenté dans les jeux iphone existant et pourtant je pense que ça serait une plateforme parfaite pour cela.

Surtout si on utilise les possibilités offerte par la forte connectivité de l’iphone. Et op, on rajouter un  petit serveur quelques part et on se retrouve avec un jeux persistant, voir multijoueur. Et op encore une transition qui déchire

Les jeux à plusieurs.

Que ce soit en mode ‘LAN’, comme le trivial pursuit (parce que oui jouer tout seul, ca gonfle rapidement) ou le monopoly
Ou en mode persistant / multijoueur comme les jeux de storm 8, il y a encore beaucoup de possibilité pas exploré du tout ou presque par les concepteurs de jeux (comme l’utilisation de la géolocalisation).

Au final.

L’iphone est pour moi une excellente plateforme pour jouer, sur des types de jeux que j’adore, les casuals.

Pour les autres types de jeux, ils ne seront ‘jouable’ que lorsque l’offre de périphériques iphone pour joueurs existera. Mais même comme cela, je n’en suis pas vraiment persuadé. Si pour jouer à un fps sur iphone je dois brancher une manette dessus .. mouais… j’ai des doutes.

Ou alors peut être des périphériques vraiment spécifiques iphones permettant d’inventer de nouveau jeux et non de simplement porter des jeux existant. (pourquoi pas une espèce de ‘gant’ permettant de capter les taptap des doigts sur une surface ?)

Oct 012009
 

Tout d’abord, mes plus plates excuses à vous tous, fidèles lecteurs de mon petit espace qui attendiez avec d’abord joie, puis impatience, puis tristesse et désespoir, le billet de la django app du mois de septembre.

Alors oui, nous sommes le premier octobre et le billet de la django app de septembre n’a pas encore été posté. Oui, c’est une honte de lancer ainsi une si bonne idée et de ne pas suivre le principe même de la bonne idée de le deuxième mois. Oui, je reconnais tout cela. Mais votre honneur, je plaide coupa.. pardon innocent.

Ce n’est pas de ma faute si je n’ai pas écrit ce billet. Mon chien (comment ça je n’ai pas de chien?) a mangé mes devoi.. pardon mon cable réseau. Et puis c’est sans parler du débarquement des ET, qui a eu lieu dans mon jardin (comment ça y a pas de jardin dans mon appart?) et qui a ruiné ma pelouse.

Bon, trêve de bêtises. En fait il y a deux raisons à ce retard sur le deuxième billet djangoapp du mois (et aussi sur mon relatif silence sur ce blog). Deux raisons très simples :

  • Une grosse période bien chaude au boulot, avec suffisamment de boulot pour y bosser soir et week-end.
  • Le fait que la troisième occurrence du SPLLOS (le salon professionnel des logiciels libres qui aura lieu à marseille, le 13 octobre) se rapproche à grand pas (ben oui le 13 octobre) et qu’en temps que président de l’association qui l’organise (Libertis, l’association des boites qui font du libre en PACA), j’ai pas mal de truc à gérer (d’ailleurs je profite de ce billet, même si ils ne le liront jamais, pour remercier plus qu’un peu les membres de l’asso qui bossent aussi sur ce sujet, heureusement qu’on est à plusieurs sur le truc, sinon … )

Et, comme les deux points que je cite au dessus sont toujours d’actualité, le billet du mois de septembre (mais oui on est encore, presque, en septembre) sera un billet court, sur une app que beaucoup doivent connaître mais qui à l’avantage d’être suffisament petite pour être tester avec peu de temps  : J’ai nommé django-registration. Qui sert à la registration des users (désolé ça fait depuis le début du billet que je voulais le faire cet anglicisme).

1- A quoi ça sert , où on le trouve, comment on l’installe ?

1.1 Le pourquoi du comment

Utiliser django-registration c’est bien parce que cela permet de ne pas réinventer la roue et donc de ne pas perdre du temps à développer un système d’enregistrement/activation/ utilisateurs.

1.2 Où on la trouve ?

Sur bitbucket, il y a un repo avec un wiki bien sympa , ici : http://bitbucket.org/ubernostrum/django-registration/

1.3 Comment on l’installe ?

Il y a trois manière pour l’installer, par easy_install , par pypi ou avec les bonnes vieilles sources (hg cloneeeee) et un python manage setup.py.
Personnellement j’ai une préférence pour la troisième méthode, la doc étant incluses dans les sources, je trouve ça plus facile d’avoir les sources du truc que je met à jour de temps en temps.

2- Mais ça fait quoi django-registration, pour de vrai ?

Django registration met un place un système complet d’enregistrement des users.

A savoir, vous avez la vue qui gère le fait qu’un user veut s’inscrire et va remplir un joli petit formulaire.

Une fois le formulaire submit, django va créer un compte user inactif et envoyer un mail qui contiendra une clé d’activation. L’utilisateur qui vient de submit sa demande d’enregistrement verra alors ensuite apparaître une jolie page lui disant d’aller vérifier ses mails et d’activer son compte.

Truc sympa, l’app gére le fait d’interdire certains provider d’emails jetable ou l’interdiction de créer un compte avec un email déjà utilisé.

Cerise sur le gâteau, il y a même un petit script (qui utilise les commandes django) qui permettra de supprimer les comptes qui n’ont pas été activés et qui sont considérés comme expirés.

2.1 Et la localisation ?

Elle y est, dans tout plein de langues (y compris le français, bien entendu)

3- La doc ?

Bien fournie, très précise et claire, il n’y a vraiment rien à redire.

Une fois qu’on a installé l’app, on a plus rien à faire alors ?

Ben en fait si, parce qu’il n’y a aucun template de fournis, même pas à titre d’exemple. Il faut donc ‘tous’ les faire, mais c’est assez rapide. Et puis là aussi, la doc est vraiment bien faite et détaille précisément chaque variable du contexte de chaque view. Faire les templates n’est donc pas vraiment difficile.

4- En conclusion

Installez la et utilisez la.

Des blocks dans des blocks dans des blocks , dans des …

 Django  Comments Off on Des blocks dans des blocks dans des blocks , dans des …
Sep 192009
 

Tout ceux qui font du django, ont, un jour, utilisés des blocks pour écrire un template. Pour rappel, un block c’est un moyen de délimiter un ’bout’ de template.

A quoi ca sert un block ? Très rapide rappel

Imaginons que vous faites un blog. Votre blog peut afficher soit un post, soit une liste de post, soit une catégorie, soit une liste de catégorie. Dans tout les cas, vous aurez des menus à droites et à gauches et même au dessus.
Vous allez peut-être décider de faire un template ‘base’ où vous allez définir les choses qui ne changeront jamais, ici les menus.
Ensuite il faut trouver une façon simple de pouvoir soit afficher un post, soit une catégorie, etc etc ..

Rien de plus simple. Dans la base vous définissez un block content par exemple :

{% block content %}
{% endblock %}

Maintenant dans votre template qui s’occupe d’afficher les posts, il suffira de dire que vous étendez base puis de redéfinir le block content et op, vous aurez à la fois tout vos menus définis dans base mais aussi votre nouveau content.

{% extends "base.html" %}

{% block content %}
     {{post}}
{% endblock %}

Bien entendu, on est pas obligé de redéfinir tout les blocks de template qu’on étends. Si on ne redéfinit pas un block , le contenu du block parent sera utilisé. (Par exemple, si on reprend l’idée du blog, ce n’est pas seulement un block content qu’il faut définir, mais aussi un block pour chacun de nos menus. Ces block ne seront pas redéfinis dans le template post, c’est donc ceux de base qui seront utilisés)

des blocks dans des blocks.

Jusqu’à présent, je n’ai fait que faire un très rapide rappel de ce que c’était qu’un block en django. (Pour ceux qui veulent en savoir plus, la doc de django est là pour ça).

La petite astuce que je voulais mettre en lumière dans ce billet arrive maintenant. En fait c’est tout simple, c’est qu’on peut parfaitement imbriquer des blocks dans d’autre.

Ceci :

{% block content %}

    {% block content_intra_content %}

    {% endblock %}

{% endblock %}

Fonctionne parfaitement. A quoi cela pourrait servir ? Pourquoi ne pas faire deux blocks l’un en dessous de l’autre ?

Pour la première question, je me suis creusé la tête pour trouver un exemple. Je crois en avoir trouvé un. Imaginons qu’on doit afficher différentes données, toute de la même manière. Mais que par contre , en fonction des données en question , on a un menu ‘Actions possibles’ différents.

Pour reprendre mon exemple de blog, cela serait afficher la liste des catégories ou la listes des posts.

On pourrait donc décider de faire les choses ainsi  dans le template liste :

{% extends "base.html" %}

    {% block content %}

    {% block actions  %}

{% endblock %}

    {% block content_intra_content %}
         Ici on affiche des trucs ...
    {% endblock %}
{% endblock %}

puis dans le template liste_categorie :

{% extends "liste.html" %}

    {% block actions  %}
         {{categorie_actions}}
    {% endblock %}

Je ne suis pas sur que ce soit le meilleur exemple, ni même qu’au final, l’imbrication des blocks aient une quelconque utilité, mais comme en testant, je me suis rendu compte que c’était possible, je me suis dit que j’allais en parler (Et comme ça si des gens ont un avis sur l’utilité de cette pratique, je les aurais en commentaire)

Deux derniers petits trucs

Le tags {{ block.super }} qui permet dans un block fils de récupérer le contenu d’un block père pour l’afficher. A utiliser quand on ne veut pas redéfinir un block mais simplement l’enrichir.
Il est possible de remettre le nom du block dans le tags de fin de block comme ceci :

{% extends "base.html" %}

{% block content %}

{% endblock content  %}

Ca ne sert à rien, à part à rendre plus clair les choses.

Sep 122009
 

Oui, je sais, mon titre de billet n’est pas des plus fin.. Tans pis, c’est la faute au surmenage.

J’avais déjà parlé des objets Q dans un précédent billet. Pour mémoire les objets Q sont des objets django qui permettent de faire de filtrer des requêtes BD d’une façon plus poussée qu’en simplement chainant des appels à filter.

L’algèbre des Q

Les opérateurs ET (&) et OU ( | ) fonctionne sur les objects Q. On peut les chainer, en faire des expressions complexes en parenthésant sans aucun problème.

L’algèbre des queryset

Les queryset sont des objets itérable qui sont renvoyés, par, entre autre, la fonction filter et qui stockent le résultat d’une requête BD. On s’en sert aussi pour remplir les différents composants ‘à choix’ d’un formulaire (selectlist,etc… ).

On ne peut pas concaténer deux queryset comme on pourrait le faire avec deux listes avec par exemple L1 + L2. Mais les queryset supporte les opérations logique. On peut donc là aussi faire des OU (ce qui revient à les concaténer) et des ET pour trouver l’intersection entre deux queryset.

Et c’est, plus que bien utile.

Aug 302009
 

Un horrible néologisme comme titre pour faire un petit billet listant des conseils (que je ne respecte pas du tout, et oui voici le premier, mais surement pas le dernier, billets faites ce que je dis, pas ce que je fais), qui peut-être vous éviteront de péter un plomb un jour et de courir dans le plus simple appareil, dans les rues de votre ville. (non, ça, je ne l’ai pas encore fait).

  • Sachez arrêter de travailler, quelques temps, chaque jour. Le soir, après le boulot, ce n’est plus le boulot. Même si vous ramenez le PC à la maison, parce qu’inconscient que vous êtes, vous avez un PC portable, ne passez pas vos soirées à bosser. Sinon autant rester au boulot et y dormir, vous éviterez les temps de transport.
  • Ne faites pas 35 heures en deux jours. N’oubliez pas qu’il y a une vie, enfin il paraît, à coté du boulot. Pensez à dormir, manger, faire des choses quoi.
  • Prenez des vacances. De vrai vacances (quand j’ai dit que je ne suivais pas mes propres conseils, je ne mentais pas). Des vacances où vous passez plus d’une heure, une heure et demi à bosser pour le boulot, ce n’est plus des vacances, c’est du télétravail.
  • Si vous commencez à avoir envie de prendre votre clavier à deux mains et de frapper violemment votre écran jusqu’à ce que celui ci explose dans un feu d’artifice de composants électroniques, faites une pause.
  • La pression, c’est bien. Tout le monde le dit. Et tout le monde vous dira qu’on bosse mieux avec la pression, que ça booste, etc etc. C’est des foutaises. Enfin, moi aussi j’aime bien bosser sous la pression. De temps en temps. Et je préfère largement quand tout est prêt, finit, bien avant la date de livraison prévu. Laisser vous le temps. Et si cela implique de dire non, parce que votre prospect veut tout, tout de suite. Dites non. Vous perdrez peut-être un prospect, mais vous ne ne vous retrouverez pas avec une horde de mécontents aux trousses.
  • Apprenez que le monde ne se limite pas à votre boulot, vos concurrents, vos clients, prospects, fournisseur, etc … N’oubliez pas que le reste de l’humanité existe et qu’il est bon d’interagir avec elle, un minimum.
  • Ne négligez pas vos hobbies et votre vie sociale. Ca permettra à votre cerveau de respirer et en plus, peut-être que vous trouverez de nouvelles idées, angle d’attaque pour le boulot.

Conclusion

Pourquoi donc j’écris ce billet, si même moi je ne suis pas les conseils que j’y donne?

Pour plusieurs raisons. Même si je ne les suis pas, je sais que c’est de bons conseils, que je suis bien idiot de ne pas mettre en pratique. Ca faisait longtemps que je n’avais rien publié et je ne voulais changer ça.

Et puis, en plein milieu d’une grosse session boulot, j’ai eu, vraiment, besoin d’une petite pause.  Et ça coute beaucoup moins cher de taper un billet que de frapper avec son clavier, sur son écran. Beaucoup, beaucoup moins cher. Si, si, je vous jure.

Aug 212009
 

Une nouvelle catégorie apparaît (oui je sais, encore une alors que certaines restent désespérément vide, mais grâce à la magie de wordpress, vous ne le savez pas, vu que les catégories vides n’apparaissent pas… ), la Django App du mois. Tout est dit dans le nom, tout les mois, en fin de mois, je posterais un petit billet sur une django app que j’aurais testé pendant le mois. Enfin, ça c’est le principe, est ce que je vais tout les mois avoir le temps de chercher/choisir/tester une django app.. Ça, rien n’est moins sur. (d’ailleurs j’en profite, si vous avez des idées de django app, les commentaires sont là pour ça).

Pour ce premier numéro, la django App qui a la chance d’être la django App d’août est Django Extensions. (tiens, je viens d’avoir une idée, un calendrier des DjangoApp, que les djangonautes, ou les routier, pourraient accrocher dans leur bureau ou leur camion).

1- A quoi elle sert ?

Django Extensions est une application d’aide au développement. Elle rajoute plein de commande au manage.py, commandes tellement indispensable qu’on se demande comment l’on avait pu faire sans.

Elle rajoute aussi quelques Database Model Fiels et  Database Model. Et comme si cela ne suffisait pas on gagne aussi, pour le même prix, une extension pour la gestion des ForeignKey du coté admin.

2- Et plus en détail ?

2.1 Les commandes en plus

Je vais me limiter à décrire quelqu’une des commandes que vous pourrez utiliser avec Django Extensions, celles que moi, j’utilise le plus souvent.

  • generate_secret_key

elle permet de générer une secret key pour son projet. Ca a l’air tout con et inutile, mais en fait non. Quand on utilise un gestionnaire de source pour déployer rapido son projet et que donc on ne passe pas par la commande de création de projet, et ben en fait c’est super utile.

  • create_app

rien de plus que la commande de base sauf que l’on peut donner en plus un répertoire de template à utiliser

  • reset_db

qui n’a pas eu besoin de reset 42 fois par jour sa bd ? Et passer soit par le client ligne de commande soit par les interface web d’admin, ça devient rapidement très chiant. Pour tout ces djangonautes là (dont je fais parti) reset_db c’est le paradis.

  • runscript

lance un script dans l’environnement django.

  • runserver_plus

l’une des (si ce n’est pas la) commandes la plus utile de toute l’extension. Elle nécessite d’avoir Werkzeug installé (mais un petit easy_install et c’est bon). Et elle permet ensuite de lancer le serveur de dev avec le debugguer de Werkzeug. Et là, c’est le pied. A chaque exception reçu, on se retrouve avec une vrai interface de debugger dans notre page web. On peut ouvrir des consoles interractive un peu partout (à tout les pas d’appel de fonction), on peut voir l’état courant des variables, le code de chaque fonctions tracées ). C’est juste ultime.

  • shell_plus

celle là aussi est une commande indispensable. Elle vous permet de lancer un shell qui a déjà importé tout vos models. Lorsqu’on utilise comme moi, assez souvent le shell pour faire quelques petits tests, vérifications, on se rend vite compte du gain de temps.

  • dumpscript

qui permet de générer un script python à partir des données contenu dans une base de donnée à un instant t. dumpscrit fonctionne pour toute une app ou juste un model d’app.

2.2 Le système de job

Django Extensions rajoute un mécanisme complet de job. Un job est une classe python qui dérive de BaseJob et qui implémente la fonction execute (self).

Les jobs se définissent par app django. Pour mettre en place le système de jobs pour une app, il suffira d’utiliser la commande create_jobs en lui donnant le nom de l’app en question. Django Extensions créera alors l’architecture de répertoire qui va bien.

Une fois que l’on a créé ses jobs, on peut les configurer pour qu’ils soient executés toutes les heures, les jours, les semaines, les mois. On peut aussi demander l’exécution d’un ou de plusieurs jobs en commande manage.py.

3- Comment on l’installe, où on le trouve ?

Django extensions étant hosté par google code, il suffit d’aller sur son espace google code se trouvant là http://code.google.com/p/django-command-extensions/

Pour l’installation deux possibilités :

  • télécharger la derniere versions sur le site web puis faire un simple python setup.py install
  • lancer un easy_sintall

ensuite, il vous suffira, pour chaque projet dans lequel vous voulez l’utiliser, d’ajouter django_extensions dans votre INSTALLED_APPS .

Et c’est tout.

4- Et la doc ?

Vous en trouverez sur le google code. Plutôt complète et claire. Il y a même un lien vers un screencast.

5- En conclusion

Une application à utiliser, sans aucune modération et qui fait vraiment gagner énormément de temps.

Aug 202009
 

Il y a quelques temps, lors de mon essai de Eve Online, mon windows avait décidé de me faire une blague et de se suicider. J’avais finalement réussi à le faire revenir à la vie en utilisant un combo chkdsk , mode sans échec, réinstallation du SP3 (qui avait du merdé à sa première install en maj auto). Ce qui m’avait permis de tester Team Fortress 2 et de me dire que ma clé Open Beta pour Champions Online ne serait pas complétement inutile.

Sauf qu’apparemment, mon windows est un vrai comique. Et il adore le comique de répétition. Et donc après … 1h30 de jeux, gros plantage complet, reboot bourrin et surprise … windows encore mort. Et là, le chkdsk n’a rien fait, impossible de booter, mode sans échec ou pas. Donc, c’est la fête, et mon exaspération grandissant de plus en plus, l’achat d’un nouveau PC approche à grand pas. Et pour une fois, je l’orienterais jeux ce PC, ouais je me réjouis déjà des heures perdues sur les forum à chercher si il vaut mieux une Radeon HD 4870 ou une GTX 260 , quelle carte mère pour un core i7 ou si les phenom sont ou pas des gros bousins …

Mais revenons à champions online. Car j’ai quand même pu y jouer 1h30, même si c’était en low details (plus low que low d’ailleurs) et en 800×600 (oui je sais, mon PC est vraiment au bout du rouleau).

1- Visuellement

Alors au vu de mes réglages graphiques, je ne vais pas pouvoir vraiment juger. Mais au vu des différents screenshoots que j’ai vu voir, je dirais qu’il est plutôt joli. Un point important, l’intégralité du jeu est en cellshading. Ca donne un rendu assez spécial, il y a ceux qui sont fan et ceux qui détestent. Perso je trouve que ça rend plutôt bien.

2- Création de votre super héros.

Plusieurs points intéressants à ce niveau. Tout d’abord l’absence de classe. Vous n’avez pas un voleur super-héros, un paladin super-héros, un guerrier de la mort super-héros. Non, vous jouez un super héros, un point c’est tout. ( il faut tempérer cela par la notion de rôle qui existe dans le jeu, mais que je n’ai pas testé, on peut choisir 4 rôles, gardien , vengeur, sentinelle, protecteur qui influent sur le comportement du héros et qui sont respectivement des rôles équilibré, attaquant, defensif, soutien)

Un super héros qui a ….

2.1 des pouvoirs.

Ceux-ci sont rangés par catégories qui sont :

  • Élémentaires
  • Technologie
  • Art Martiaux
  • Puissance
  • Psychiques
  • Mysticisme

Chaque catégorie contient elle même des sous catégorie de pouvoir (par exemple pour élémentaires il y a électricité, feu, force, glace, pour technologie tout 4 sous catégories dont gadget ) Pour voir la liste complète, il y a ce très complet article de jeuxonline.

A la création de votre perso, vous choisissez une sous catégorie (moi par exemple j’avais choisi gadget). Ensuite au gré de l’évolution de votre perso, vous pourrez acheter des pouvoirs de votre sous catégorie ou (et c’est là que c’est cool) ceux d’autres sous-catégories (imaginons que vous ayez toujours voulu jetez des éclairs en plus d’utiliser des dizaines de gadget cool, aucun problème, vous achetez un pouvoir d’éclair).

Bien entendu les pouvoirs demande des pré-requis, mais ils sont suffisamment bien fait pour que vous puissiez vraiment piocher à gauche et à droite dans les différents arbre de pouvoir (le prérequis sera par exemple ‘un pouvoir de la même branche ou deux pouvoirs quelconques de type charge )

Mais un super héros, ce n’est pas que des pouvoirs dans un slip par dessus un collant, c’est aussi …

2.2 des caractéristiques.

Elles sont au nombre de huit :

  • Constitution
  • Endurance
  • Force
  • Dextérité
  • Intelligence
  • Ego
  • Présence
  • Récupération

Elles influent directement sur la ‘vie’ de votre super héros. La dextérité par exemple permet d’augmenter les chances de coups critiques et les chances d’esquiver une attaque.

Parmi ses huit caractéristiques vous aurez à en choisir 2, vos …. SUPER STATS !!!!!. Elles augmenteront petit à petit avec l’expérience de votre perso et influeront sur les dommages de vos pouvoirs.

2.3 La création en elle même.

C’est un des gros points forts du jeux. La personnalisation est énorme. Vous pourrez la aussi trouver plein de screen de perso (un petit lien vers un thread forum jeunxonline , non ceci n’est pas un billet sponsorisé par jeuxonline). Vous pourrez vraiment tout faire, un perso extra terreste, avec un manteau à la néo, des cornes, des bas résilles, Vegeta, Goldorak, un jackson five, avec une tête de requin, une auréole. Je ne suis juste pas sur qu’on puisse faire un héros bedonnant, je voulais essayer, mais je n’ai pas eu le temps … Seul petit bémol, il y a tellement de possibilité et d’option que c’est un peu fouilli. Il va falloir passer du temps à le créer son super héros, et à chercher toute les options possibles.

3- Le jeux.

3.1 La baston.

Il y a quelques petites ‘originalités’ que je trouve sympa.

Comme le premier pouvoir qui est un pouvoir ‘automatique’. On clic et c’est parti, il se lance, encore et encore. On lance un autre pouvoir, le pouvoir automatique s’arrête, le nouveau pouvoir se lance, puis le pouvoir automatique revient.

Où les pouvoirs à charge, comme le deuxième pouvoir gadget. Cliquer une fois, le pouvoir se lance. Cliquer, laisser appuyer, il charge, relâchez, et le pouvoir se lance, mais fait bien plus de dégâts.

De ce que j’ai pu voir, j’ai l’impression que, pour ce qui est des mobs en tout cas, la baston se fait à distance. Moi, ça me va, je n’aime pas trop les bastons cac, mais ça peut ennuyer les fans du combat full contact.

3.2 Les pouvoirs de déplacement.

En plus des pouvoirs de bastons, sont présent les pouvoirs de déplacement. Vous allez pouvoir voler comme superman, utiliser des bottes à réaction, un surf en glace, vous téléporter ou courir en super vitesse. A vous de choisir suivant votre préférence et le style que vous voulez donner à votre super héros.

3.3 L’équipement

je peux me tromper , mais j’ai l’impression que l’équipement de votre super héros est assez réduit. Des armes, et un système de slots ( un primaire , 3 secondaires ) pour la partie défense, attaque, pouvoir passif.

3.4 Le craft

La aussi je n’ai pas pu tester, forcément, mais il y a du craft, uniquement utile (impossible de crafter un super bouquet de fleur pour la saint valentin de votre super-copine).

3.5 Le housing

Apparemment pas de possibilité d’avoir sa super maison ou sa super cachette perso. Il est prévu de pouvoir avoir une super maison de guilde par contre, mais elle n’est pas encore implémenté.

3.7 Le PVP

Comme tout le monde joue un super héros, il est un peu difficile d’implémenter un pvp qui colle avec l’univers (c’était un peu le même problème sur Tabula Rasa). Il y a dans champion un mécanisme d’arène et de BG qui est sensé résoudre cela. Pas de pvp sauvage donc, à part  dans des zones spécialement prévues pour. Il y aura aussi un tournoi ultime des champions, mais je ne sais pas comment il se présentera.

3.8 Sa Némésis

Elle (ou il) apparaît aux alentours du lvl 25. C’est votre super ennemi perso. Construit en fonction de vos pouvoirs, c’est votre joker, votre Lex Luthor , celui ou celle que vous combattez encore et encore sans jamais totalement le battre. Vous pourrez lui donner un nom, choisir son apparence, sa motivation, ses sbires et vous l’affronterez ensuite, encore et encore. Sur le papier, ça a l’air très sympa, faudra voir en jeu après …

3.9 l’humour

Ce n’est pas un jeux ambiance sérieuse, on s’en serait douter. Les PNJ ont parfois des remarques rigolotes, les pouvoirs sont assez fun (le jouet d’attaque, pouvoir de gadget, qui invoque un jouet qui combat à la place du héros par exemple)

3.10 Les quêtes.

Vu le peu que j’ai jouer, les quêtes restaient assez classiques :

  • tuer X mobs
  • escorter une personne
  • récupérer un item
  • sauver X citoyens malmenés par des vilains

Mais de ce que j’ai pu lire comme retour, ça s’améliore ensuite et les quêtes ne restent pas au niveau du ‘rapporte moi 4 peaux de loups ‘

3.9 le décor modifiable.

Un bon gros point pour le jeu. On peut, dans une certaine mesure modifier le décor. Arracher un lampadaire pour taper sur les mobs par exemple. Mais aussi les poubelles, les boites aux lettres et je crois même (mais pas sur) soulever des voitures.

3.10 L’instanciation à outrance

Je ne sais pas si cela change après, mais pour ce qui était de la zone du tutorial, c’était instanciation maximum, avec une limite d’une quarantaine (voir d’une cinquantaine) de perso par instance. Autant dire que je ne suis vraiment pas fan de cette façon de faire. (j’avais déjà pu y gouter dans Age Of conan, j’avoue que les rendez vous de guilde rendu impossible par cette fout….instanciation massive, ça ne m’avait pas vraiment plut).

4- Sur l’open beta en elle même.

4.1 Avant de pouvoir jouer

Déjà, je déteste un truc. Les éditeurs de jeux qui s’associent à des sites genre file planet pour faire dl les clients du jeux. Avec la restriction que si on n’a pas un compte payant fileplanet, on ne peut pas dl avant le début de l’open béta et qu’en plus après le dl est pas super top. Donc, comme champions online utilise cette méthode, déjà, je râle.

Ensuite, que le site web officiel tombe le jour du lancement de l’open béta, c’est ennuyeux (surtout quand on a pas pensé à activer sa clé avant et que l’on lutte pour y arriver).

Que le client qu’on a enfin réussit à dl passe un temps infinis à se patcher ( après 12h de dl non stop,  a peine  à 50 % de dl du patch) c’est déjà plus rageant.

Que le petit patch (350) mis en ligne le lendemain du lancement de l’open beta, une fois dl et lancé ne serve à rien, c’est carrément inadmissible (sans compter les petits tips du style ‘déplacer les fichiers de ce répertoire à celui-ci le patcheur a un problème).

Et qu’au final, pour pouvoir jouer il faille re-dl, à nouveau sur file planet, le client à jour (youhou encore 2,5 giga de dl), alors là, ça donne carrément envie d’exploser.

4.2 En jeu

J’ai été plutôt agréablement surpris, surtout après la catastrophe que ce fut pour avoir le droit de jouer.
Pas mal de texte traduit, très peu de constante de traduction à base de object_defense_passive dans l’interface. Pas de plantage serveur (en même temps, en 1h30 de jeu … ). J’ai pas vu de gros bug, de gros lag ou de gros freeze. Les patchs sur des bugs trouvé par les joueurs sortent assez vite, d’après ce que je peux suivre en discutant avec des joueurs qui eux, n’ont pas perdu leur windows. A voir sur la durée et au lancement de la release.

5- En conclusion.

J’ai clairement pas assez joué pour pouvoir me décider. Disons simplement, qu’après 1h30 de jeux, je n’avais pas envie de le désinstaller mais bien de continuer à le tester. De ce que j’en ai vu, il y a vraiment plein plein de bons points, qui me donne envie de le découvrir un peu plus. Suffisament, pour, si les retours que je peux avoir d’autre joueurs d’ici là ne sont pas mauvais, prendre un abonnement de quelques mois lorsque j’aurais mon nouveau PC.

Pour l’instant, comme ça, les trois seuls défauts que je lui voie sont :

  • L’absence de PVP sauvage qui pourrait être contrebalancé par la multitude de mode pvp, enfin j’espère.
  • L’absence de craft inutile et de housing perso. Ben oui j’aime bien avoir des objets qui servent à rien et je pense que la super cachette sécréte du super héros est un must have.
  • Le gros gros point noir pour moi : les instances. Faudra voir comment c’est gérer par la suite. Mais jouer sur des instances de 50 … mouais. Vraiment à voir quoi.
Aug 152009
 

Pour ce premier post parlant d’XMPP, je ne vais pas faire trop compliqué, je vais me contenter de faire un petit tour des possibilités qui s’offre au gentil et innocent développeur python qui, ayant découvert le monde merveilleux d’XMPP se décide à utiliser ce joli protocole dans un de ces programmes python.

Il faut dire, que lorsque j’ai commencé à m’intéresser à ce sujet, il y a un peu plus d’un an, j’ai été surpris par le peu de librairies maintenues et proposant un peu plus que la simple paire réception/envoi de message. Aujourd’hui, la situation n’a pas vraiment changé. C’est, je trouve, assez étrange, surtout que cette situation ne se retrouve pas dans d’autre langages qui ont pléthore de librairie (un seul exemple, en Java).

1- Les mortes, ou presque.

Parmi les librairies zombies, je vais en citer deux Zymb  ou jabber.py

Il semble ne plus avoir eu un seul mouvement sur leur deux sites respectifs depuis 2007 ou 2003. La doc est quasiment inexistante, les exemples de même. A ne surtout pas choisir donc, si vous voulez commencer à bidouiller avec XMPP.

2- La  librairie sans code

Sleekxmpp est une petite librairie hébergé sur google code. Je n’ai pas l’impression qu’elle bouge beaucoup au niveau du code, même si des bugs ont été commentés très récemment. Mais, il y a comme un problème. Impossible de récupérer le code source de la dite lib, le svn est vide.

3- La plus complète

Celle qui est, sans aucun doute, la plus complète, celle la version modifié de xmpppy qui est utilisée par gajim. Elle gère énormément de XEP, son développent est continue, le rêve quoi. Sauf que.. j’ai essayé de l’utiliser et le faire sans devoir utiliser tout le code de gajim, c’est un peu (voir beaucoup) mission impossible. Sans compter qu’elle existe en de multiple version (quand je l’ai testé, le support du BOSH était dans une version bien spécifique de la lib, une des branches SVN, je ne sais pas si c’est toujours le cas).

4- Les autres

Xmpppy en version originale ou pyxmp. Elles gèrent un certain nombre de XEP, pas une panacée mais un peu plus que le simple envoi/réception de message. La doc a au moins le mérite d’exister. Une doc API avec même quelques petits exemple de code. J’ai un peu utilisé Xmpppy et elle est pas mal, surtout quand on veut utiliser une librairie légère (sans être ridicule) dans un prog où le XMPP n’est pas central mais une partie, au milieu des autres.

5- Celle que j’utilise.

La librairie que j’utilise actuellement est en fait, au final, presque celle avec laquelle j’ai commencé à faire joujou avec XMPP en python. J’ai commencé en utilisant Twisted words qui est la partie consacré aux Instants Messaging (et IRC) dans Twisted. Autant dire que c’est le parent pauvre de Twisted, peu de doc, peu d’exemple (mais relativement, par rapport aux autres lib, beaucoup), aucune gestion de XEP. Le concept de twisted words xmpp était simple :
Vous avez la puissance de twisted, on vous fournit un moyen de vous connecter et de brancher des callback sur des cheminx XPATH, à vous de faire le reste. D’une simplicité magnifique.

Sauf que, même si le concept est élégant, avoir quelque XEP de gérer, out of the box, c’est un peu mieux, quand on veut juste utiliser le XMPP et pas devenir développeur de lib XMPP.

C’est pour cela que j’utilise Wokkel, une surcouche à Twisted words qui gèrent quelques XEP (dont pubsub). J’ai ainsi quelques XEP (même si je pourrais en avoir plus en essayant d’utiliser la lib de gajim) et je bénéficie de toute la puissance de Twisted.

Une particularité de Twisted (et wokkel) c’est que ce sont des librairies qui sont prévues pour développer des clients ou des serveurs. Certaines fonctionnalités sont donc gérer pour les deux cotés, que pour le coté serveur ou que pour le coté client.

Une autre particularité, qui peut être ennuyeuse, c’est que twisted se fonde sur l’utilisation de ‘reactor’ et qu’il peut parfois être un peu difficile de concilier la façon de fonctionner de twisted avec celle de l’application dans laquelle on veut l’intégrer.

Petits tips concernant django.db.models.Q : le Q identité.

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Aug 112009
 

Il peut arriver que l’on doive ‘calculer’ un critère de filtrage Q en combinant plusieurs Q dont les conditions seraient saisis par l’utilisateur. On se retrouve à faire des choses du style

for one_q in q_list :
    full_q &= one_q

La question est de savoir comment initialiser full_q avant de commencer la boucle. La réponse est toute simple, il existe un filtre Q identité, qui ne trie donc rien, c’est tout simplement Q ()

utiliser un package python pour ses models

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Aug 112009
 

Il devient rapidement assez ennuyeux de n’avoir qu’un seul fichier Models.py pour y ranger tout les models de sa petite application django en cours de dev. On réfléchit alors quelques secondes et là, miracle (Euréka même), une idée jaillit.

Pourquoi ne pas utiliser un package. Aussitôt dit, aussitôt fait. Un petit repertoire Models, tout plein de fichier .py à l’intérieur pour nos models. Un splendide __init__.py qui importe les models que l’on veut que le syncdb trouve en parcourant automatiquement nos apps et le tour est jouer.

Oui … mais en fait Non.

Parce que là, Oh Misère, Oh désespoir, le vilain syncdb ne trouve aucun de nos modules. Et c’est normal. Il manque quelque chose, un truc pas du tout documenté dans la doc (il y a d’ailleurs un ticket à propos de ce manque de documentation).

Il faut indiquer, dans chaque classe modèle, à traver la classe Meta, à quelle application appartient notre models. Par exemple pour une classe Post appartenant à l’app blog_app, ça donnerait :

class Post ( models.Model ):
    …...

    class Meta:
        app_label = 'blog_app'

Et voilà, comme cela, ça fonctionne. Facile n’est ce pas ?

Enfin, quand on le sait.

Aug 112009
 

Violet est donc en redressement, attendant, espérant un repreneur. Violet, pour ceux qui ne le sauraient pas, c’est l’entreprise qui commercialise depuis quelques année, le Nabaztag, un joli petit lapin blanc wifi qui sert à rien et à tout.

J’en ai un, cadeau de Noël 2006 de ma chérie. Elle en a un aussi d’ailleurs, mon cadeau de Noël 2006. Parfois, les grands esprits se rencontrent :).

Bientôt trois ans donc que j’ai mon Nabaztag et qu’il clignote avec entrain en remuant des oreilles. Comme je l’ai dit, il sert à rien et à tout. Il donne l’heure, la météo, lit la radio ou les RSS, récite les tweets, déclame les petits messages qu’on lui envoie. Rien d’indispensable, ni même de bien utile. Il fait même lecteur RFID. Les derniers produits de violet, des mini-lapin RFID, des puces RFID et le mirror un socle lecteur RFID continuent d’aller dans la voie du RFID.

Le nabaztag, un gadget, voilà tout. Mais un beau gadget et qui préfigure à mon avis le ‘futur’, l’interconnexion de plus en plus grandissante de nos objets. (les grands penseurs de ce monde appelle cela l’internet des objets). Que ce soit à travers le web, des services web 2.0 (comme BakerTweet, un petit boitier construit pour les boulangers et qui tweet quand la dernière fournée de pain au chocolat est prête) en utilisant des protocoles de type XMPP et/ou en s’appuyant sur du RFID, je ne pense pas beaucoup prendre de risque en prophétisant que c’est ce qui nous attend dans les quelques années à venir.

Mais si c’est ce qui nous attends, pourquoi alors violet est en redressement ? On pourra dire, que comme toujours, ceux qui imaginent l’avenir avant qu’il ne soit là, se casse les dents sur les marches de l’escalier quand le présent tire violemment sur le tapis pour les faire tomber. Peut-être. Mais pas seulement.

A mon avis, mais ce n’est que le mien, les choses auraient pu être différentes si nos jolis lapins n’avaient pas été autant limité. La limitation des messages a une poignée de seconde était horripilante, il est vrai. Mais plus que le reste c’est l’obligation de devoir se connecter aux serveurs de Violet (assez capricieux, il faut bien le dire), l’absence complète d’API sérieuses pour développer des applications qui ont affaiblis le lapin. Pour prendre un parallèle, qui n’est pas forcément très bien choisi, mais bon, il se fait tard, est ce que Facebook serait devenu ce qu’il est s’il avait été impossible de développer les millions de petites applications facebook qui horripilent tout le monde mais que tout le monde a sur sa page ?

Ouvrir tout cela, permettre aux gens de développer leur propre serveur de substitution, de vraiment commander leur lapin par le biais de vrais applications, voilà qui aurait, à mon avis, pu changer la donne, augmenter le nombre de gens qui aurait adopté un petit lapin blanc et permettre à violet de continuer à sortir de nouveau objets communicants. (il n’y a qu’à voir les tentatives faite à ce sujet, alors qu’il n’y a ni doc, ni aide, rien … )

Tout ce que j’espère maintenant, c’est que quelqu’un reprendra Violet (peut-être Illiad qui a déjà travaillé avec Violet pour faire du Nabaztag, un répondeur téléphonique pour les freebox) et que ce repreneur réfléchira à la possibilité de libérer ou au moins de documenter certaines parties du code permettant au Nabaztag de fonctionner.

Parce que dans le cas contraire, voir mon lapin clignoter continuellement en orange, cela va finir par me rendre triste…

 Posted by at 00:47
Aug 072009
 

Après le dernier post, plutôt sérieux,  voici un nouveau post plutôt ludique qui va me permettre de donne rmon avis sur Eve Online. Post écrit pendant la soirée mais que je publie l’après-midi, pour voir si l’heure de publication intervient.

1- Eve Online ??

Eve est un MMORPG sorti en 2003 (et qui existe toujours) totalisant dans les 260 000 joueurs. Vous allez me dire, c’est très peu (enfin disons plutôt que c’est peu). C’est un peu vrai et c’est normal, Eve est un jeu de niche. Il a été conçu comme cela et il vit très bien comme cela.

A contrario de la plupart des jeux du moment, Eve est un jeux futuriste. Tout ce passe dans une galaxie très très lointaine, dans très très longtemps. Vous êtes un pilote de vaisseau spatial, représentant de l’une des trois races jouable, et vous voilà, prêt à démarrer dans la vie aux commandes de son rookie ship. Et toute la galaxie s’ouvre à vous. Faites en ce que vous voulez.

2- Particularités

Eve est un jeu atypique, l’exemple parfait du jeu de niche qui va déplaire à la plupart des joueurs mais rendre fou de bonheur les autres.

Poussière l’équipement était,  poussière il redeviendra

Tout d’abord, dans Eve vous pouvez tout perdre. Si votre vaisseau explose, c’est pour de vrai. Il ne vous restera que vos yeux pour pleurer. (Et c’est là que l’on apprend la première règle de Eve, ne sortir un vaisseau du hangar que si on peut se permettre de le perdre). Pire, si un vil vilain après avoir détruit la petite capsule de sauvetage dans laquelle vous vous étiez réfugié, vous allez même perdre la vie. Vous devrez alors utiliser un de vos clones, mais cela ne va pas sans perte de points de compétences.

Gestion des compétences et niveaux

Eve ne possède pas de système de niveau global de votre personnage. Fini le ‘j’ai un perso lvl 80, Ha Ha Ha’ . Ce système basique est remplacé par un système de niveau (entre 1 et 5) ramené à chaque compétence (compétences existant par dizaine, voir plus). Vous pouvez,  par exemple, être niveau 5 en Trade et niveau 0 en Industry.

Et c’est là qu’arrive la différence majeure qui existe entre Eve et les autres mmorpg. Dans Eve il n’y a pas de phase de leveling. Il n’est pas nécessaire de tuer 3405042 sangliers pour avoir suffisamment de point d’expérience pour passer niveau 56.

Ici, il faut faire une petite parenthèse pour revenir sur un point du background d’Eve. Celui-ci indique que l’apprentissage du savoir se fait un peu comme dans matrice, par injection directe du savoir dans la cervelle de l’apprenant. Une fois que l’injection est finie et que la compétence a bien été ‘absorbée’, c’est fini on peut s’en servir. Bien entendu, comme c’est plus facile d’acquérir les rudiment d’une compétence que de devenir expert, apprendre le lvl 1 est beaucoup beaucoup plus rapide qu’apprendre le lvl 5.

Mais comment est ce qu’on apprend devez vous vous demandez ? Simplement en allant dans sa fenêtre de gestion du personnage et en lançant l’apprentissage d’une compétence. On ne peut bien entendu lancer un apprentissage qu’à certaine condition :

  • avoir validé tout les pré-requis
  • si c’est une compétence lvl 1, avoir le ‘bouquin de compétence’ (pour les lvl suivant d’une compétence plus besoin de nouveau bouquin)

Et ensuite l’apprentissage se fait, pendant que vous continuez à jouer. Et prend plus ou moins de temps entre 20 minutes et des mois, de ‘vrai’ temps. Oui oui, de temps de la vie réel. Et c’est ça qui est génial. Parce que l’apprentissage continue aussi même quand vous ne jouez pas. Si par exemple vous partez en vacances 1 semaines et qu’une compétence que vous voulez apprendre prends 6 jours, lancez son apprentissage avant de partir, à votre retour, elle sera là, prête à être utiliser. Et ça, c’est tout simplement génial. Bien entendu, ils y a quelques limitations intelligente. Vous ne pouvez apprendre qu’une compétence à la fois et même si vous jouez plusieurs personnages, un seul peut apprendre une compétence à la fois.

Le marché

Dans Eve, il n’y a pas de personnage non joueur marchand. Il y a par contre une modélisation d’un vrai système économique. Tout se vend et tout s’achète. D’ailleurs une bonne partie des joueurs passent leur temps à acheter dans un système solaire, voyagé jusqu’à un autre et revendre avec une plus value. Parce que bien entendu, la gestion des distances est prise en compte. Et si vous achetez un truc à 3 ou 4 systèmes de distance, il faudra prendre votre vaisseau sous le bras et aller chercher votre marchandise.

Le système de contrat

Les joueurs (ou les guildes) peuvent passer des contrats. Les contrats peuvent être de plusieurs types. Contrat de mise aux enchères (certains objets comme les vaisseaux par exemple ne peuvent pas  être vendu au marché mais seulement par enchères), contrat de transport ( la guide X qui veut que vous ameniez son chargement de la planète Y à la planète Z), de troc, ou de mise à prix de sur la tête de quelqu’un.

3- Mon avis

Je n’ai pu jouer que quelques poignées d’heure, ayant démarré samedi soir dans la nuit et n’ayant plus pu jouer depuis mardi soir (vous verrez pourquoi plus bas). Je ne suis donc qu’au tout début du jeu et cela biaise forcément mon avis. Mais déjà je dois dire que j’accroche beaucoup (c’est d’ailleurs pour cela que je ne commence à jouer que maintenant et non en 2003, parce que j’étais bien conscient que j’allais accrocher à ce … de jeu).

Moi qui m’ennuie tout de suite très vite dans les combats contre des monstres, là, en tout cas pour l’instant, je reste en haleine, pour la simple raison que je ne veux pas perdre le vaisseau que j’ai mis tant de temps à avoir. Et puis pour une fois,  les combats ne se limite pas à un concours de celui qui cliquera le plus vite sur ses touches. Les armes, en tout cas jusqu’à maintenant, une fois enclenchées tire toute seule, à leur rythme. Par contre le positionnement, l’angle d’attaque (en orbite autour des ennemis ou pas, rapidement ou lentement, etc…), la vitesse d’approche, le choix des cibles, les changements de trajectoires, tout cela prend une importance capitale. Choisir au mieux sa vitesse radiale lorsqu’on est en orbite autour d’un vaisseau ennemi, de façon à gêner au maximum ses tourelles sans empêcher les siennes de tirer, voilà un défi qu’il vous faudra relever pendant les combats de Eve.

Bien entendu, j’adore le système des compétences que je trouve tout simplement génial (je pense que cela c’était vu dans mes phrases précédentes). Le système de contrat, je trouve aussi que c’est une excellente idée.
Pour ne rien gâcher je trouve la musique bien foutue et l’ergonomie du client est très bien pensée. Et cerise sur le gâteau, les autres joueurs sont, de ce que j’ai pu en juger, plutôt sympa.

Le seul inconvénient, pour l’instant en tout cas, que j’ai trouvé, c’est que le jeu est en anglais….

nota de fin de post.

J’aurais bien voulu mettre des screen mais deux raisons m’en ont empêché.
mon PC portable, avec ses deux ans d’âge, commence à se faire vieux, surtout qu’il est plus taillé pour le boulot que pour le jeux.
Mon windows, a décidé de se suicider, mercredi. Impossible de booter dessus. Et comme en plus je n’arrive pas à installer Eve sous Linux, je n’ai plus de moyen (tant que je ne trouve pas le temps de réparer mon windows) de me connecter à Eve.