J-Mad

Aug 182010
 

Hé ben non, je n’ai pas pu aller à la Gamescom 2010 qui se tient à Cologne. Et pourtant j’aurais bien aimé, surtout pour avoir des infos sur Diablo 3.

Mais heureusement, nous sommes en 2010 et twitter est là. Du coup, j’ai pu suivre par livetweet interposé la conférence Blizzard.

Qu’est ce que j’ai donc appris ?

Qu’il y aura un mode hardcore, à nouveau. J’avoue que je n’imaginais même pas qu’il puisse ne pas être présent ce mode de jeux mais bon, là c’est confirmer.

Le prêtre des runes sera bien une des classes jouables, pourquoi pas. De toute façon moi mes classes préférées ont toujours été le nécromancien et l’assassin (à les griffes …)

Il va y avoir un système de Craft, basé sur des artisans. Les artisans seront des NPC qui suivront le héros. Vous pourrez leur demander de crafter des trucs, partir tabasser du démons et quand vous reviendrez, votre équipement vous attendra, tout propre, tout neuf. Les artisans auront leurs propres quêtes et leur propre niveau. Si le joueur fait les quêtes des artisans, ceux-ci pourront gagner des niveaux et devenir plus puissants. Les recettes bien entendu pourront être droppées. Si j’ai bien compris il y aura un grand nombre de ‘qualités’ d’objet possible (j’ai cru voir passer le chiffre de 14 pour les gemmes).

Le forgeron pourra réparer les items, leur ajouter des emplacements d’enchantements, en plus de faire des armures.

On pourra, apparemment, utiliser des gemmes pour enchanter des items et les rendre encore plus puissants. Les sets d’item seront bien entendu présent eux aussi.

Si j’ai bien compris, il n’y aura plus de système de Town Portal, faudra utiliser ses petites jambes musclées pour aller d’un point à un autre.

Tout les items pourront être détruit pour récupérer des composants élémentaires nécessaires aux craft.

Bon allez, pour le plaisir, je vous met quelques petits screens tirés du presskit de blizzard.

Résultat du concours pour les deux clés de test sc2

 billets où on gagne des trucs  Comments Off on Résultat du concours pour les deux clés de test sc2
Aug 152010
 

Bon voilà, 22h vient de sonner il y a peu c’est donc le moment de départager les 4 participants pour savoir qui aura la chance de tester Starcraft 2.

Les deux gagnants (random.org a tranché de ses jets de dés random) qui vont recevoir leur clés par mail sont :

  • vincnet500
  • Infornographie

Désolé pour les deux autres…

Amusez vous bien !!

Choqok 1.0 beta 2 est sorti

 Poste utilisateur  Comments Off on Choqok 1.0 beta 2 est sorti
Aug 152010
 

Choqok est sans aucun doute, le meilleur des clients twitter sous Linux (et j’en ai testé une palanqué, moi qui vous le dit). Alors effectivement il est un peu moche (enfin ça dépend beaucoup du thème KDE choisi), mais ça vaut franchement le coup.

Parmi les fonctionnalités intéressantes, dont certaines n’apparaissent qu’avec la béta 2 :

  • multi compte twitter et status.net (vive identi.ca)
  • gestion des thumbnail pour un certain nombre de service d’hébergement d’image
  • preview sur les vidéos
  • gestion des lus/non lus
  • upload des documents/images directement à travers choqok (en utilisant le billet rapide)
  • gestion des RT ‘manuels’ et des RT ‘à la sauce twitter’
  • gestion de Oauth
  • url shortener sélectionnable
  • unshortening d’url et affichage des urls longues dans des tooltips
  • autocomplétion des username twitter (ça c’est cool)
  • sauvegarde des onglets de recherche.
  • Un affichage possible en mode conversation
  • Et encore tout plein de truc.

Ces deux défauts sont :

  • il est un peu moche, mais bon ça sérieusement… c’est pas non plus un critère très important
  • il est un peu long à se lancer…

Donc la béta 2 est sortie aujourd’hui. (ici le billet sur le blog de choqok) Donc forcément, elle n’est pas dans les repo Ubuntu, ni Debian d’ailleurs. (les repos Ubuntu ont la beta 1)

Comment donc l’installer ? Simple, comme d’hab, avec les sources. Il y a pourtant quelques petites subtilités à suivre.

Tout d’abord les dépendances. Presque toutes sont installables par gestionnaire de paquet il s’agit de :

  • libqca2-dev
  • libqca2-plugin-ossl
  • libqjson-dev
  • libqjson0

Ensuite, choqok a une dépendance vers QOauth qui elle va être un peu plus chiante à installer. En effet il n’y a pas de package dans les repos Ubuntu. Heureusement, pensez vous, il y a des packages debian et ubuntu fourni par les devs de QOauth, sauf que, en tout cas pour moi, les packages ne fonctionnaient pas du tout. En fait ils s’installaient bien mais à la compilation de choqok, j’avais une sale erreur de compil. Du coup, je vous encourage à installer  QOauth à partir des sources. Et c’est plutôt facile. Un simple et c’est fini :

$ qmake
$ make
$ sudo make instal

Concernant choqok maintenant, le README vous dira de faire :

cd choqok
mkdir build
cd build
cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=`kde4-config --prefix` ..
make
sudo make install OR su -c 'make install'

j’ai perso dû remplacer la ligne cmake par celle-ci :

cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=`kde4-config --prefix` ../

Pour que cela fonctionne (oui un simple / en plus à la fin pour avoir un path relatif correct)

Et, c’est tout. Ensuite à vous les joies de choqok …

Aug 142010
 

Bon, je suis donc l’heureux possesseur d’une boite starcraft 2. Et comme tout ceux qui ont une boîte de starcraft 2, j’ai deux clés de test pour sc2. Sauf que je ne sais pas quoi en faire moi, de mes clés de test. Les affreux que je croise IRL qui pourraient être intéressés ont déjà tous leurs boites SC2, les autres ne veulent même pas entendre parler de ce jeux. Donc, plutôt que de les laisser pourrir petit à petit dans ma boite, je me suis dit que j’allais les offrir.

Et comment faire pour avoir le bonheur d’avoir un passe invité de test ? Tout simple, laisser juste un petit commentaire sur ce billet (avec votre vrai mail) avant demain soir 22h. J’en choisirais ensuite deux au hasard (vive random.org) qui auront le plaisir de recevoir une clé sc2 par mail.

Aussi simple que ça.

Mais qu’est ce que c’est qu’une clé de test me demanderez vous ? C’est une clé qui si vous vous connectez sur www.starcraft2.com/guest, vous permettra de disposer d’un crédit de 7h de jeux à dépenser en 14 jours (le début des 14 jours étant le jour d’activation).

Bien entendu il vous faut un compte battlenet (vous pourrez le créer en allant sur l’url donné au dessus) et il vous faudra télécharger le client d’essai gratuit (mais bon quelques petits giga de dl, pas de quoi vous faire peur non ?)

TC 2000

 Les Nanards  Comments Off on TC 2000
Aug 132010
 

Allez op, cherchant à offrir un peu de légèreté et de fraicheur à mon blog en ce beau vendredi 13, je me suis dit que parler d’un film, si possible ringard, serait une excellente idée. Aussitôt dit, Aussitôt fait et donc voici la critique de TC 2000, un film avec des vrais …. dedans.

J’ai eu l’occasion de tomber sur ce magnifique nanard de 1993 il y a peu. C’est comment dire, un sous NewYork 1997 ou Los Angeles 2001.

L’histoire est très classique. A la suite de multiple catastrophe écologique du à la pollution, la surface de la Terre est devenue quasiment inhabitable. Les riches ont donc fait ce que font tout les riches, ils se sont réfugiés dans des complexes souterrains ‘tout confort’ laissant, comme toujours, la surface aux pauvres qui eux font ce que font tout les pauvres, tentés de survivre, se battre entre eux et tenter d’entrer dans les repaires de ces salauds de riches.

Dans cet univers impitoyable, les trackers sont ceux qui protègent les gentils (les riches quoi) des méchants. Méchants qui d’ailleurs sont en plus dotés d’un goût des plus … ridicules. (comme par exemple le gang des Picassos qui se croient obligé d’arborer des maquillages à la Kiss du dimanche). Bon quand vous aurez vu l’accoutrement des gentils, vous me direz que cette propension au mauvais goût est partagée …

Mais revenons aux trackers. Parce que les deux héros du films, Jason et Zoey sont des trackers. Leur métier n’est déjà pas facile, mais quand en plus, il y a un traitre très haut placé dans la hiérarchie souterraine, ça devient carrément mortel… Mais ‘heureusement’ pour Zoey, il y a une espèce de scientifique geek ridiculous dans les labos souterrains. Et elle sera ressuscité en TC 2000, (Tracker Cybernétique, faut suivre) destiné à défendre et protéger les refuges souterrains. Et puis c’est surtout l’occasion pour les  préposés aux fringues du film de sortir leur assortiment de costume cuir/clous moulant parce que forcément un cyborg policier féminin doit forcément être accoutrer comme une dominatrice de bas étage.

Notre TC 2000 devrait donc, logiquement, aider les trackers humains a mettre une fessée aux vilains méchants pauvres de la surface. Sauf que.. sauf que le vilain traitre à d’autres plans….

Mais je ne vous en dirais pas plus, je ne voudrais pas déflorer un peu plus le scénario recherché de ce splendide film.

Juste deux dernières petites précisions :
Les décors d’usine désaffectées sont fascinant de carton-patismes.
Il semblerait que la pollution en plus de détruire la surface est détruite presque toutes les armes à feu. Il ne reste donc plus qu’une seule façon de terrasser les ennemis, la baston. Et des bastons, il y en a souvent, toutes les cinq minutes, et pour n’importe quel prétexte y compris le fameux prétexte ‘il n’y a pas de prétexte c’est comme ça’.

Bon allez, je vous ai tellement donné envie de le voir ce film, que je vous met le trailer.

Allez op, cherchant à offrir un peu de légèreté et de fraicheur à mon blog en ce beau vendredi 13, je me suis dit que parler d’un film, si possible ringard, serait une excellente idée. Aussitôt dit, Aussitôt fait et donc voici la critique de TC 2000, un film avec des vrais …. dedans.

J’ai eu l’occasion de tomber sur ce magnifique nanard de 1993 il y a peu. C’est comment dire, un sous NewYork 1997 ou Los Angeles 2001.

L’histoire est très classique. A la suite de multiple catastrophe écologique du à la pollution, la surface de la Terre est devenue quasiment inhabitable. Les riches ont donc fait ce que font tout les riches, ils se sont réfugiés dans des complexes souterrains ‘tout confort’ laissant, comme toujours, la surface aux pauvres qui eux font ce que font tout les pauvres, tentés de survivre, se battre entre eux et tenter d’entrer dans les repaires de ces salauds de riches.

Dans cet univers impitoyable, les trackers sont ceux qui protègent les gentils (les riches quoi) des méchants. Méchants qui d’ailleurs sont en plus dotés d’un goût des plus … ridicules. (comme par exemple le gang des Picassos qui se croient obligé d’arborer des maquillages à la Kiss du dimanche). Bon quand vous aurez vu l’accoutrement des gentils, vous me direz que cette propension au mauvais goût est partagée …

Mais revenons aux trackers. Parce que les deux héros du films, Jason et Zoey sont des trackers. Leur métier n’est déjà pas facile, mais quand en plus, il y a un traitre très haut placé dans la hiérarchie souterraine, ça devient carrément mortel… Mais ‘heureusement’ pour Zoey, il y a une espèce de scientifique geek ridiculous dans les labos souterrains. Et elle sera ressuscité en TC 2000, (Tracker Cybernétique, faut suivre) destiné à défendre et protéger les refuges souterrains. Et puis c’est surtout l’occasion pour les préposés aux fringues du film de sortir leur assortiment de costume cuir/clous moulant parce que forcément un cyborg policier féminin doit forcément être accoutrer comme une dominatrice de bas étage.

Notre TC 2000 devrait donc, logiquement, aider les trackers humains a mettre une fessée aux vilains méchants pauvres de la surface. Sauf que.. sauf que le vilain traitre à d’autres plans….

Mais je ne vous en dirais pas plus, je ne voudrais pas déflorer un peu plus le scénario recherché de ce splendide film.

Juste deux dernières petites précisions :

Les décors d’usine désaffectées sont fascinant de carton-patismes.

Il semblerait que la pollution en plus de détruire la surface est détruite presque toutes les armes à feu. Il ne reste donc plus qu’une seule façon de terrasser les ennemis, la baston. Et des bastons, il y en a souvent, toutes les cinq minutes, et pour n’importe quel prétexte y compris le fameux prétexte ‘il n’y a pas de prétexte c’est comme ça’.

Bon allez, je vous ai tellement donné envie de le voir ce film, que je vous met le trailer.

Aug 112010
 

Le module itertools est un module bien pratique auquel on ne pense pas assez souvent. En tout cas auquel, moi, je ne pense pas assez souvent. Et pourtant, il peut grandement simplifier pas mal de ligne de code, dans un bon nombre de situation. Il faut juste savoir que les fonctions qu’il propose existe.

Ce billet a donc 2 objectifs, vous faire découvrir les itertools (je ne vais pas lister toutes les fonctions juste celles dont je devrais me servir plus souvent et que j’oublie) et me permettre de ne pas oublier que je pourrais les utiliser.

Point important : Un certain nombre des itertools permettent de gérer les iterateur infinis, ce que ne permettent pas les fonctions ‘normales’ comme map par exemple (qui renvoie une sortie complétement calculée, ce qui est par définition impossible avec un iterateur infini).

Précision : les exemples de code sont ceux fournis par la doc officielle des itertools

itertools.chain (*iterables)

permet d’avoir un iterateur qui retourne tout les éléments du premier iterable passé en paramètre, puis du second, puis du troisième, etc etc… Bien pratique pour aérer son code.

def chain(*iterables):
# chain('ABC', 'DEF') --> A B C D E F
for it in iterables:
for element in it:
yield element

Depuis python 2.6, il existe une classmethod de chain, from_iterable(iterable) qui ne prend qu’un argument, un iterable contenant tout les iterables.

@classmethod
def from_iterable(iterables):
# chain.from_iterable(['ABC', 'DEF']) --> A B C D E F
for it in iterables:
for element in it:
yield element

itertools.compress(data, selectors)

compress n’est disponible qu’en python 2.7. Cette fonction retourne un iterateur contenant que uniquement les valeurs de data auxquelles correspondent un élément évalué à True dans le selectors. Compress s’arrête dès que data ou selectors est vide.

def compress(data, selectors):
# compress('ABCDEF', [1,0,1,0,1,1]) --> A C E F
return (d for d, s in izip(data, selectors) if s)

itertools.count(start=0, step=1)

Cette fonction bien que présente depuis longtemps a droit à quelques modifications dans python 2.7. Count gagne en effet l’argument step et la possibilité d’itérer sur des arguments non integer.

def count(start=0, step=1):
# count(10) --> 10 11 12 13 14 ...
# count(2.5, 0.5) -> 3.5 3.0 4.5 ...
n = start
while True:
yield n
n += step

itertools.dropwhile(predicate, iterable)

Construit un iterateur qui ne renvoie aucun élément de l’iterable tant que le prédicat est vrai, ensuite, tout les éléments de l’iterable sont renvoyés

def dropwhile(predicate, iterable):
# dropwhile(lambda x: x<5, [1,4,6,4,1]) --> 6 4 1
iterable = iter(iterable)
for x in iterable:
if not predicate(x):
yield x
break
for x in iterable:
yield x

itertools.takewhile(predicate, iterable)

Construit un iterateur qui, tant que le prédicat est vrai, renvoie les éléments de l’iterable.

def takewhile(predicate, iterable):
# takewhile(lambda x: x<5, [1,4,6,4,1]) --> 1 4
for x in iterable:
if predicate(x):
yield x
else:
break

itertools.ifilter(predicate, iterable) et itertools.ifilterfalse(predicate, iterable)

Construit un iterateur qui ne renvoie que les éléments pour lesquels le prédicat est respectivement True ou False. Si predicate est à None, l’iterateur renvoie les éléments respectivement True ou False.

def ifilter(predicate, iterable):
# ifilter(lambda x: x%2, range(10)) --> 1 3 5 7 9
if predicate is None:
predicate = bool
for x in iterable:
if predicate(x):
yield x

itertools.imap(function, *iterables)

Renvoie un iterateur qui applique function en utilisant les iterables comme argument. Si function est None, les arguments sont retournés sous la forme d’un tuple. Imap s’arrête lorsqu’elle atteint la fin du plus petit des iterables. Imap est utile lorsque l’on utilise des iterateur infinie qui provoque une erreur avec map.

def imap(function, *iterables):
# imap(pow, (2,3,10), (5,2,3)) --> 32 9 1000
iterables = map(iter, iterables)
while True:
args = [next(it) for it in iterables]
if function is None:
yield tuple(args)
else:
yield function(*args)

les autres i-versions des fonctions classiques.

Comme l’on trouve imap, il existe aussi izip, izip_longest et islice,

Parmi les autres fonctions il y a des fonctions de combinaisons, de calcul, de cycle, de groupby, mais celles là, vous les trouverez sur la doc officielle.

Aug 092010
 

En fait, mon blog a 1 an depuis le 21 juillet… Mais forcément, bon, voilà, je fais mon post anniversaire 3 semaines après. Oui, on a fait plus crédible, je sais. Mais c’était soit le billet de django-app du mois de juillet, soit le billet anniversaire.

Honnêtement, vous n’avez pas perdu au change non ?

Et puis, ce n’est pas très important un billet pour marquer l’anniversaire d’un blog . Mais c’est aussi un peu un passage obligé. Alors aujourd’hui que j’ai un peu de temps, j’en profite pour m’y coller.

En fait, c’est quand même assez crétin les billets anniversaire, parce que je ne sais pas quoi écrire dedans. Parlons donc un peu chiffre. Avec 98 billets en un an, j’ai largement atteint mon objectif de : ‘un billet par semaine ou alors je suis vraiment une quenelle’.

Par contre il y a des catégories de billet que j’ai un peu laissé sur le coté, honte à moi, comme ceux contre la procrastination ou les critiques de séries / films nuls. Manque de temps, quand tu nous tiens…

De même dans les choses pas faites, j’avais quelques idées de nouvelles catégories comme la catégories interview que j’avais prévu de lancer et qui sont pour l’instant toujours à l’état d’idées.

A si, une nouvelle quand même, mon petit blog va bientôt déménager et sera sous peu (quand j’aurais eu le temps de m’en occuper, mais avant début septembre ça serait pas mal) hébergé par alwaysdata. Pourquoi un tel déménagement ?
Deux raisons :

  • j’ai déjà pas beaucoup de temps et le temps que je passe à administrer le serveur dédié qui héberge mon blog et les autres blogs de mes camarades de boulot, je pourrais le passer à faire autre chose.
  • Les gens d’alwaysdata sont compétents (histoires de rôlistes est hébergé par eux et je n’ai rien à redire, au contraire), sympathiques et comme ils viennent aux djangocongs, je les aime bien :).

Bon normalement vous ne devriez vous rendre compte de rien, si tout se passe bien, mais fallait bien que je meuble un peu mon billet anniversaire.

Jul 312010
 

Et oui, malgré la chaleur, malgré les vacances, la plage et l’appel de starcraft 2, malgré tout cela, je reste fidèle au poste et je publie une django app du mois. Bon ok, c’est le dernier jour du mois, mais je suis encore dans les clous.

Mais par contre, vu que c’est l’été, les vacances, je vais pour une fois parler d’une app qui est pour faire tout sauf de la prod. C’est une app toute jeune et qui en plus s’aventure dans un domaine encore très peu supportés dans les navigateurs (pour l’instant uniquement dans Chrome 4, Firefox 4 et Safari 5) , celui des websockets. C’est quoi une websocket vous allez me dire ? C’est un mécanisme qui apparaît dans HTML 5 et qui permet d’avoir un mécanisme de connexion persistante et bi directionnelle entre le serveur web et le browser de l’utilisateur. Trop cool vous allez me dire. Je ne puis qu’être d’accord avec vous. (pour plus d’infos sur les websockets vous pouvez aller lire la page wikipedia ou la norme W3C qui est plutôt facile à lire).

Django-websocket est donc une toute récente app (version 0,3 à l’heure ou j’écris ce billet) qui permet de commencer à s’amuser avec ces adorables websockets.

1- Où on le trouve, comment on l’installe, la doc.

Vous trouverez django-websocket sur sa page pypi ou sur sa page github. L’installation se fera donc soit :

  • avec easy_install
  • un git clone

Comme le code évolue pas mal et que de toute façon c’est pour l’instant plus une app pour tester et pas pour mettre en prod, moi, je vous conseillerais le git clone qui vous permettra d’avoir plus souvent une app à jour.

La documentation est plutôt bien fournie, claire et suffit pour démarrer. Le repository github permet d’avoir en plus les tests et une petite application example de echo.

2- Comment ça marche ?

En fait c’est vraiment super facile, il suffit d’utiliser deux décorateurs de vues soit :

  • require_websocket pour obliger la vue à fonctionner en websocket
  • accept_websocket si l’on veut permettre à la vue de fonctionner sans les websockets.

Ensuite il n’y a qu’un seul objet à utiliser request.websocket sur lequelle on pourra :

  • faire des attentes et récupérer un message quand il y en a un (wait)
  • vérifier si il y a des messages ( has_messages )
  • lire un message ( read )
  • envoyer un message ( send )
  • les utiliser comme un iterator (ce qui ferrait comme un wait dans une boucle avec la gestion en plus de la fermeture de la socket )

Petite précision, le serveur de développement de django n’est pas multithread, il n’est donc pas possible d’ouvrir deux requêtes concurrentes avec. L’app fourni donc une commande spéciale pour le runserver ( –multithreaded ) qui permet de contourner le problème.

3- Un petit Mad Exemple

Histoire de m’amuser un peu avec l’app, j’ai commis un petit exemple avec, en me basant sur le echo exemple. Mon exemple est tout con, vous entrez une chaine de caractère et je lance (grâce à restkit) une recherche google toute les 30 secondes sur la chaine de caractère. Les dix premiers résultats de la recherche sont ensuite affichés grâce à la websocket.

Vous pourrez trouver le code en question sur le tout nouveau repository bitbucket que j’ai du coup, crée pour l’occasion.

Jul 302010
 

Dans mon dernier billet concernant mes tips commerciaux, je vous conseillais de vous taire. Et de laisser parler votre futur client. Histoire de pouvoir lui tirer le maximum d’information.

Une fois que vous avez eu toutes les informations que vous vouliez il est temps pour vous de lui présenter votre solution, le truc qui va faire qu’il va être heureux et que tout ses problèmes seront résolus.

Cela implique donc que vous allez devoir lui expliquer ce que vous vous proposez de faire, voir lui faire une démo de votre produit ou même présenter un prototype pilote.

Dans tout les cas, la clé du succès, enfin l’une des clés sera de réussir à lui faire comprendre pourquoi votre solution est bien et à l’intéresser à votre produit.

Et bien souvent vos arguments techniques, il n’y comprendra pas grand chose. Lui expliquer par le menu que vous utilisez telle librairie C++ et pas telle autre parce que sa résolution des équations de trouzième degré est plus rapide dû fait de son utilisation d’allocation par chunck, ça ne va pas marcher. Et c’est malheureux, parce que tout serait toujours plus simple si les arguments techniques uniquement suffisaient tout le temps.

Donc il va falloir trouver d’autres manières de convaincre.

L’une d’entre elle est d’impliquer votre futur client dans votre démo ou votre argumentaire. Renseignez vous sur son métier et préparez des exemples qui tomberont juste. Utilisez également toutes les infos qu’ils vous a donné, vu que vous l’avez laissé parler, pour faire en sorte que votre discours ressemble encore plus à un discours d’un homme du métier, de son métier.

Si vous devez faire une démo ou déployer un pilote, c’est exactement pareil. Prenez le temps de récupérer le logo de l’entreprise en question et de mettre votre démo au couleur de celle-ci, idem pour des slides d’ailleurs. Qui dit pilote ou démo dit aussi donnée de test, là aussi, si vous le pouvez essayer de mettre des données en rapport.

Voilà vous l’aurez compris, tout mon billet est centré sur l’idée qu’en donnant des exemples qui peuvent être des exemples réels pour votre futur client, en lui montrant des démos ou des prototypes à ses couleurs on lui montre qu’on a été attentif à ses paroles, qu’on a pris du temps pour préparer ce qu’on allait lui monter. Et étrangement, un pilote à ses couleurs … ça change rien, mais ça change tout.

Magic: The Gathering – Duels of the Planeswalkers

 Critiques de jeux vidéos  Comments Off on Magic: The Gathering – Duels of the Planeswalkers
Jul 302010
 

La séance de solde de Steam m’a permis de découvrir quelques jeux sans trop exploser mon budget jeux vidéos. J’ai d’ailleurs fait quelques bonnes trouvailles dont je vous parlerais sous peu (et suis tombé par hasard sur un jeu que je ne connaissais pas du tout et qui ressemble de très très prêt à un des concepts que j’ai dans mes cartons… comme quoi).

Mais aujourd’hui je vais plutôt vous parler de duels of the planeswalkers, le nouveau jeu Magic.

Déjà, un point qui m’a surpris, son prix. Même pas 10 euros, (en fait 8,99 euros pour être précis). Bon après, il y a déjà une extension à 5 euros plus un gros paquet de DLC à 0,99 euros l’un qui vont nous permettre de dépenser autant de thunes que pour un jeu à 50 euros. (bon heureusement pour l’instant les DLC se limitent à du contenu que l’on peut débloquer en jeu mais que l’on peut acheter si l’on est fainéant). Mais on peut très bien s’en passer.

1- Le jeux en lui même

Le jeux se découpe en plusieurs parties. Les défis, la campagne, les matchs personnalisés et la partie online.

1.1 Seul

La grosse partie ici sera la campagne que vous allez devoir refaire de multiples fois. Enfin disons à chaque fois que vous allez vouloir débloquer toutes les cartes d’un deck. C’est en effet la seule façon d’avoir son deck complet (ou alors d’acheter les cartes en DLC). Autant certains combats sont facile autant d’autre (comme par exemple le dernier avec son put… de jeux artefact) sont clairement hard.

Les défis eux, sont en nombre bien trop réduit. Dommage parce que je trouvais ce principe de trouver comment gagner en un round vraiment sympathique. Mais là, seulement 8 petits défis, c’est vraiment trop peu et ça ne vous occuperas pas plus d’une heure.

Quand aux match personnalisés, tout est dit dans le titre, vous choisissez l’un des decks ennemis, votre deck, vous configurez quelques paramètres (point de vie et taille de la main au départ) et go baston.

1.2 Online.

Le mode online propose deux façons de jouer :

  • Soit en coopération, ce qui vous permettra de faire des matchs personnalisés ou la campagne avec un pote.
  • Soit des parties contre les joueurs.

Et c’est là, à mon avis, tout l’intérêt du jeu. Pouvoir se mesurer contre d’autre dans des parties avec classement.

2- Mon avis

Lorsque j’ai commencé à jouer, j’ai été surpris et presque déçu du relativement faible nombre de cartes jouables. Il y a en effet à peine 8 cartes composé chacun de 24 terrains, 36 cartes de bases et 17 cartes à débloquer. Sachant que bien entendu les cartes débloquables sont obligatoires pour être compétitif en online avec les decks.

Au vu du petits nombre de decks possibles, j’avais peur que le jeu soit rapidement ennuyeux. Mais au final non. Et après un certain nombre de partie, je ne me suis toujours pas lassé (par contre devoir refaire la campagne encore et encore pour débloquer les decks… ça finit par lourder).

Par contre, plus ennuyeux, le faible nombre d’adversaire en online qui ne présage rien de bon (et quelques petits des problèmes de connexions…)

Au final, cette nouvelle mouture de Magic est plutôt un bon jeu, en tout cas pour ceux qui comme moi ont passé pas mal d’heures des cartes à la main et qui ont envie de retrouver quelques-unes des sensations de ses anciennes parties.

Et puis il faut bien l’avouer, à moins de 9 euros, c’est vraiment un bon investissement.

Jul 112010
 

C’est un billet sur le blog d‘eowine qui a donné lieu a une flopée de commentaire qui m’a donné l’envie d’éclaircir ma pensée sur la question des hard core gamer. (ce n’est d’ailleurs pas la seule idée de billet que j’ai eu à la suite de la longue discussion qui s’est tenu dans les commentaires du billet d’Eowine, mais chaque chose en son temps.

Il y a toujours eu des hard core gamer. Et il y en aura toujours, enfin j’espère. Mais avec le recul que me donne mon nombre d’année sans cesse plus grand, j’ai bien l’impression que la définition donnée à cette catégorie de joueur a quelque peu changé.

Les hardcore gamers d’avant, quand c’était mieux.

Là, je vous parle d’un temps, que les moins de vingts ans, ne peuvent pas connaître. De ce qu’on appelait un hard core gamer lorsque la notion de ‘perdre’ existait encore dans les jeux. Lorsqu’ils n’avaient pas tous forcément de mode sauvegarde ou que, pour avoir des crédits en plus, il fallait rajouter des sous dans la machine.

Quand être un hardcore gamer, ça voulait dire avoir du temps devant soi, du talent et un goût pour l’inutilité. Finir Metal Slug sans utiliser un seul continu, finir un beats then all tout à reculons, finir street fighter 2 qu’avec des perfect ou encore finir diablo 2 en mode hardcore (quelle merveille ce mode hardcore, j’espère vraiment que le prochain diablo en aura un aussi)

Les hardcore gamers de maintenant

Bien souvent aujourd’hui, j’ai l’impression que la définition du hardcore gamers se limitent à ‘qui à du temps’. Est un hardcore gamer celui qui est lvl 80 sur WoW ou level 50 sur Aion et qui a finit tout leur instance et récupéré le meilleur des stuffs.

Alors on me répliquera que ce n’est pas vrai, que je limite les choses, juste parce que je n’aime pas vraiment le chemin que prennent les MMORPG d’aujourd’hui. Qu’il y a encore des hardcore gamers qui ne le sont pas que parce qu’ils ont du temps. Que les champions de starcraft 1 et 2 (y a déjà des brutes sur la béta qui me mettent des fessées régulièrement) ou les dieux de teamfortress (qui me mettent aussi des fessées) sont des gens qui ont plus qu’un peu de talent.

Et c’est vrai.

N’empêche que.

Je trouve que cette confrontation solitaire avec la machine, en se rajoutant ses propres règles, de nouvelles juste pour le plaisir, juste pour montrer qu’on peut le faire, ça manque pas mal au hardcore gaming.

Et qu’entre la horde de ceux qui pensent qu’être un hardcore gamer c’est juste jouer 8h/jour tout les jours et ceux qui ne le conçoivent que comme une compétition acharnée, hé ben il reste peu de place pour la fantaisie et la poésie qui pouvait exister avant.

Jul 052010
 

Depuis ce matin, mrboo a lancé un nouveau projet d’appli reposant sur twitter à savoir 7minut.es. Ce petit concept est un exemple parfait d’inutilité complète. Et donc, en tout cas pour aujourd’hui, le truc prend plutôt bien.

Le concept est vraiment simpliste. Vous vous connectez à travers twitter et vous avez du coup 7 minutes pour faire venir le maximum de monde sur une page 7minut.es. Tout cela pour arriver à faire un highscore. Autrement dit, savoir qui à la plus longue.

L’intérêt ? Aucun sauf de s’amuser trois minutes en retombant en enfance à jouer à un jeu simple de qui qui est le plus fort.

A part pour mrboo, qui a logé une jolie pub pour un de ses ‘vrais projets’, à savoir hellotipi. Ce qui fait que chacun personne qui vient sur 7minut.es voit la pub hellotipi. Ce qui fait, si je calcule rapidement en fonction des highscores en cours pas loin de 2000 personnes (si j’en crois mrbooo c’est 11000 visites dans la journée), le premier jour. Bon ok, c’est peut-être assez souvent les mêmes.

N’empêche que… Ça fait des gens qui ont vu la pub. Et qui du coup, peut-être iront sur hellotipi (je parle d’expérience, en temps que futur papa dans quelques mois, et ben voilà, aller sur 7minut.es m’a rappelé que hellotipi existait et que peut-être que… il faudra que je le teste… )

Et ça fait un petit buzz, qui même si il ne dure qu’un jour ou qu’une semaine, ne mange pas de pain et ne coute pas grand chose (dixit mrboo lui même, le site est hébergé sur un petit kimsuffi ovh, c’est pas pour ce que ça coute… ), en tout cas bien moins cher qu’une campagne de pub classique.

C’est pour moi, typiquement, une initiative excellente. Mais pour que ça marche il faut à mon avis trois facteurs.

1 Le concept pas prise de tête et rigolo

La c’est tout con. Faire venir le max de personne sur une url en 7 minutes. Ça marche en un clic, c’est fatiguant pour personne. Pour les joueurs pareils, on clique une fois, on reclique pour l’authent oauth et puis voilà, c’est pas loin d’être tout.

Et c’est rigolo parce qu’on peut se challenger avec les autres participants du jeux.

2 Le nom de domaine qui va bien

Là, c’est comment dire, parfait. 7Minut.es. On ne peut pas faire mieux. Simple, avec l’extension qui s’intègre complétement. Un petit clin d’oeil au speedating en plus. Et c’est plié.

3 Un réseau de prescripteurs.

Faut pas non plus se leurrer . Si je l’avais lancé moi le site, je ne suis pas sur de faire 11 000 visites le premier jour. Parce que ni pressecitron, ni korben ni marion_mdm ne me follow et que pour qu’une idée comme ça, aussi inutile et volatile que 7minut.es fonctionnent il faut des prescripteurs un peu connu qui jouent le jeu et s’amuse à participer.

4 Conclusion

Si jamais vous avez lancé une appli web qui, vous l’espérez, doit vous rendre riche rapidement et qu’en même temps vous avez une idée du type de 7minut.es avec un nom de domaine sympa et un petit réseau de primojoueurs qui peuvent lancer la machine, n’hésitez pas, faites le. Après tout, c’est toujours les idées les plus bêtes qui marchent le mieux. Et puis si vous avez vraiment une idée sympa et que ça marche, ça vous coutera moins cher qu’une campagne addwords (et ça ancrera votre réputation de mec qui a des idées cool)