Résultats des jeux pour gagner des clés Leelh

Et voilà arrivée la fin des petits jeux pour gagner des clés closed beta Leelh. J’avais annoncé que je mettais deux clés en jeux, une pour les RT twitter, une pour les commentaires sur mon billet.

Au vu du nombre important de commentaires sur mon blog (33) j’ai décidé de changer les règles du jeux. Il y aura donc une clé pour Twitter et deux pour les commentaires.

Le tirage au sort :
Il y a eu 2 tirages, un pour twitter, un pour les commentaires. J’ai utilisé random.org et une main innocente (celle de ma chère et tendre) pour lancer les tirages.

Concernant twitter, le screen du tirage :

le gagnant est @Gilles_T qui recevra sa clé par DM.

Concernant les commentaires du posts le screen du tirage est :

Les gagnants sont donc :

  • celticghost
  • Aydn

qui recevront leur clés par mail.

Et en tout cas, merci à tous d’avoir participé à ce petit jeu concours. .. Je sens d’ailleurs que je vais en organiser plus souvent, c’est rigolo de faire gagner des choses à des gens :).

EDIT :

Hier soir, lors du tirage, j’ai fait une grosse bêtise, certains, peut-être s’en seront rendu compte. En effet, quelqu’un a posté 2 commentaires, je n’ai donc compté qu’une fois son nom dans le tirage (j’ai donc fait un tirage sur 33 et non 34). Sauf que, du coup, le 28 je l’ai transformé en 27. Alors qu’en fait non, j’aurais du le transformer en 29. Oui je sais, il ne faut pas faire des tirages de concours quand on manque gravement de sommeil. Je ne le ferrais plus.  Je me demandais comment réparer cette injustice lorsque j’ai eu le plaisir de pouvoir vous offrir de nouvelles clés. Du coup, je vais corriger mon erreur en envoyant un clé à notelteers qui était le “vrai” gagnant de hier.

Et j’ai le plaisir de pouvoir faire de nouveaux heureux qui sont :

  • Xamm (y en a qui sont chanceux ….)
  • BulZor
  • Mrm007

Voila voila, et non, il n’y aura pas, une troisième fournée de gagnant … faut pas pousser non plus. 🙂

Petit jeu ou comment gagner des clés pour la closed bêta de Leelh

J’ai déjà parlé il y a quelques temps de Leelh, le Meuporg MMORPG web qui, je le pense, va être bien bien prometteur. J’avais alors annoncé que la closed bêta allait bientôt démarrer.

C’est maintenant chose faite, la closed bêta est là. Et qui dit closed bêta, dit clé qu’il faut avoir pour pouvoir jouer.

Et comme je suis un super gentil blogueur, je vous propose d’en gagner deux. Comment ?

Soit vous retweetez le twitt qui va parler de ce billet et du fait que je fais gagner des clés Leelh.
Soit vous laissez un petit commentaire ici.

Dans tous les cas, je donnerais demain soir, les deux clés (par mail et DM), en tirant au hasard parmi les participants (ou en les donnant direct s’il n’y a qu’un seul commentaire et qu’un seul RT).

En espérant vous croiser bientôt sur Leelh.

(Et puis hop, une petite BD Leelh encore, pour le plaisir des yeux).

EDIT du mardi matin : comme dit hier, j’arrêterai donc la prise en compte des RT/commentaires ce soir vers 23 heures et je ferai alors le tirage au sort (par une main innocente) des gagnants.

ULTIME EDIT : le jeux est fini, les clés ont été distribuées.

Django-rosetta, parce que pierre qui roule n’amasse pas mousse

Vous aimez mon titre ? Parce que moi, j’en suis super fier en fait. Et oui, il m’en faut peu. Bon donc pour la django-app du mois de février, j’avais choisi django-transmeta qui permettait de traduire facilement son contenu. Mais un site n’est pas fait que de contenu, il est aussi fait de label, de menu, de tout plein de truc qu’il faut internationaliser à coup de .po et de .mo. Ce qui est, il faut bien le dire, un poil chiant. Limite je pourrais dire, qu’à vouloir traduire tout ces mots, on pourrait bien finir par y laisser notre peau.

C’est là que django-rosetta intervient.

1- Où on le trouve, comment on l’installe, tout ça quoi (et la doc) ?

Comme bien souvent, sur la page qui lui est destiné, qui est, un google code. Pour l’installation, rosetta fait dans le rustique : tar.gz ou svn checkout. Brut mais efficace.

Ensuite il suffira de rajouter django-rosetta dans les INSTALLED_APPS  et de rajouter ses urls dans l’urlpattern qui va bien. Et c’est tout, après roule ma poule (ou ma pierre, de rosette HA HA).

Pour la doc, la encore, il n’y a que la page home du google code. Mais l’app est suffisament bien faite, pour que la doc présente soit amplement suffisante.

2- Comment ça marche ?

Django-rosetta vous permet de rendre la rédaction des .po moins chiante que dans un simple gedit. Mais du coup, cela veut dire que l’application a besoin d’avoir les permissions d’écritures sur certains des fichiers de votre arborescence.

Du coup, elle n’est utilisable que de l’admin django. C’est un choix qui me semble, en fait, très logique. Et puis est ce que cela existe des gens qui n’utilisent pas du tout la partie admin de django ?

Ensuite, c’est tout simple, on a une liste des fichiers po, avec les pourcentages de traduction effectuées. On en choisit un et on se met au boulot. On peut même choisir si l’on veut afficher toute s les chaines ou que celle que l’on n’a pas encore traduite.

Allez op, deux petites images pour vous montrer le truc, parce que je suis gentil. (Et puis que je ne me suis pas trop fatigué, je reprend honteusement celles du google code officiel).

Voilà, avec cette deuxième app, j’en ai fini de parler, en tout cas pour un temps, d’internationalisation. A bientôt (dans un mois) pour de nouvelles découvertes dans le merveilleux pays des app django.

Réflexions sur les TOD (Truc à la demande)

Ca fait quelques temps que je me dis que je vais écrire un billet sur le sujet. Et quelques temps que je me dis que non, ça ne sert pas à grand chose et que je vais perdre mon temps (et vous faire perdre le votre) en écrivant sur un sujet qui a déjà fait couler tellement d’encre (je pourrais dire qui a fait transiter tellement de bytes, mais je trouve que la vieille expression est bien plus jolie).

Mais au final, l’annonce du lancement de la plateforme Izneo (est ce une référence à celui qui voulait devenir calife à la place du calife ?) m’a décidé à écrire un billet sur les TOD et plus largement sur le marché des Trucs numériques.

Parce que j’ai un peu l’impression que bien souvent, les sociétés de contenu, on va dire, partent du principe que On Demand ça veut dire ‘on va vous prendre pour des cons et s’en mettre plein les poches’.

Je prend un exemple. La série The Mentalist, diffusé sur TF1. Je n’ai pas regardé les épisodes en diffusion le mercredi soir. (j’aime regarder les épisodes dans l’ordre, déjà que la VF …) J’aurais pu les enregistrer puis les remettre dans l’ordre mais j’y ai pas pensé. Mais bon, je me suis dit, je vais voir si je peux pas les regarder en VOD. Je vais donc sur le site de TF1 et là… j’hallucine complet. Un épisode va me couter 1,99 euros. Et je pourrais le voir à volonté pendant 48h. Après, plus rien.

Donc je fais le calcul. 23 épisodes pour la saison 1. soit la totalité de la saison pour 46 euros. Pour simplement pouvoir les regarder pendant 48 heures chaque épisode. Alors que sur amazon, j’ai le coffret DVD complet, pour 35 euros. Et avec des vrais DVD que je peux regarder autant que je veux, quand je le veux (même dans 3 ans) et que je peux prêter à mes amis. Alors qui va acheter de la VOD TF1 ?

Et pour izneo, c’est le même principe. 2 euros (1,99 mais bon allez, arrêtez de chipoter), pour pouvoir lire une bd pendant 10 jours ? Et après plus rien… Alors j’aime beaucoup les livres et j’adorerais les lire en numérique mais faut pas non plus déconner. 2 euros, (voir un peu plus, mais plus que la moitié du prix physique), c’est le prix que je serais prêt à payer pour une édition numérique de BD que je pourrais conserver, ad vitam. Sachant qu’en plus si j’aime je vais acheter la version papier. Mais que même si je n’achète pas la version papier, 2 euros une version numérique (voir un peu plus), ça ne me semble pas être un tarif qui va faire vendre père et mère au maisons d’éditions. Mais deux euros pour un truc lisible pendant 10 jours, sérieusement non. A 50 cents ok, ça me permet de lire une première fois pour savoir si je veux vraiment l’acheter puis de l’acheter. Mais plus.. Faut pas déconner. ( A ce point de ma diatribe, je pense que je dois préciser que je suis un gros consommateurs de bouquins, j’ai un budget mensuel bouquin compris entre 60 et 120 euros et qui monte parfois à 150 euros, donc oui des bouquins j’en achète, sans arrêt, en fait au vu de mon compte en banque, je dirais même que j’en achète trop. Voilà, la précision est faite.)

En fait, je ne comprend vraiment pas comment réfléchissent les vendeurs de TOD… parce qu’on le sait tous qu’hormi les couts d’infrastructure pour gérer les augmentations de charge (les serveurs, la bande passante tout ça), une fois le cout de production du TOD amorti, le prix de vente n’est plus que marge brute.

Donc pourquoi faire des prix aussi élevés ? Et après venir râler que les plateforme ne décollent pas ?

Pourquoi ne pas proposer des prix adéquat, qui allongeront, il est vrai, au départ, le temps de rentabilisation du TOD, mais permettront de vendre plus..

Je sais pas, ça me semble plus logique de vendre 50 000 TOC à 50 cents l’un que 1000 à 2 euros l’un. Mais peut-être que c’est pas logique et qu’il vaut mieux vendre 1000 à 2 euros. Ou alors peut-être que les vendeurs de TOD pensent qu’on est tous des salauds qui ne cherchent qu’à avoir des trucs gratuits et que donc moins cher, ça se vendra pas mieux et qu’il vaut mieux mettre un bon coup de bambou derrière le crane de ceux qui achètent que de tenter de se dire que moins cher, les gens achèteront plus… (A mais là, ça voudrait dire qu’il faudrait un peu faire confiance au consommateur…. c’est sur)
Je ne comprends pas non la volonté de vouloir rendre le TOD périssable. Pour le plaisir d’emmerder ses clients ? Par vieux réflexe d’économie de la rareté en espérant que comme ça, le gentil client qui a acheté une fois sa bd ou son épisode de série, si il veut le revoir ou le relire dans 30 jours, il va le racheter à nouveau ? Sérieusement, pourquoi ?

Enfin, une piste qui est très peu explorée, c’est celle qui a été mise en place par spotify. Pourquoi pas un tarif mensuel avec un accès illimité à des ressources juste en consultation. C’est une idée trop bien pour qu’elle soit mise en place ? Parce que bon, mais si izneo ils me disent :’pour 10 ou 12 ou 14 euros par mois, tu peux lire autant de bd que tu veux’, mais je signe tout de suite et pour longtemps. Et là, ça n’a pas d’importance que si j’arrête mon abonnement à un moment ou un autre, je me retrouve une main devant, une main derrière, parce que pendant les X mois pendant lesquels j’aurais souscrit un abonnement, j’en aurais lu des bouquins. Et ceux qui m’auront vraiment plu, je les aurais même achetés, pour les avoirs, là, en vrai.

Alors après y a les gens qui vont dire ‘ouaip mais si les gens paient 10 ou 12 euros par mois pour lire autant qu’ils veulent, ils vont plus acheter de truc’. Ha ? Ha .. Tiens c’est étrange, je m’étais pas rendu compte que les bibliothèque, les vraies, celles où après s’être inscrit, on peut lire autant de livre que l’on veut et même les ramener chez soi pendant quelques temps, je ne m’étais pas rendu compte que ces lieux de perditions étaient en train de détruire l’économie du livre… Parce que bon, mon histoire de ‘licence globale’ sur un catalogue, c’est un peu ce que mette en place les bibliothèques, depuis des années. Et parfois même, l’inscription est gratuite…. vous vous rendez compte ?

Enfin, je vais arrêter de tirer à boulet rouge sur les vendeurs de TOD ou de Truc en format numériques. Mais bon, ça finit par énerver parfois de les voir pleurer encore et encore parce que les gens achètent pas, de les entendre chouiner que si ils achètent pas c’est parce qu’ils piratent et puis après de voir que quand on veut acheter un truc, on est pris pour des dindons.

Et bien entendu, je généralise. Il y a plein d’initiatives, plus qu’excellentes, comme in libro veritas qui propose différentes licences sur les bouquins (vive les créatives commons) et des pdf gratuits.

Ou Au diable vauvert (oui je sais, je les aime bien, mais bons, ils proposent des tellement bon bouquins) qui a proposé l’intégralité de Jpod, gratuitement, à travers son application Iphone. Et je suis sur que les ventes de Jpod n’ont pas été moins bonnes que les ventes de leurs autres bouquins, ‘malgré’, cette mise à disposition de l’oeuvre. Il faudrait leur demander (@audiablevauvert, je te pose une question 🙂 ), mais je suis prêt à leur payer un coup à boire si je me trompe.

Ce passage au numérique permet à mon sens d’imaginer tellement de nouvelles façons de proposer du contenu, de la culture, que je trouve triste à pleurer la non inventivité des vendeurs de TOD ou assimilés… Espérons qu’un jour cela change. (et les réductions sur le support physique quand on a déjà acheté la version numérique, hein … ou les contenus ‘en plus’ dans les versions numériques, voir des ‘clefs’ dans les contenus physiques pour ouvrir des contenus numériques…)

Izneo, plate forme de BD en ligne

Le salon du livre (un jour faudra que j’y aille, je pourrais dire bonjour à @audiablevauvert comme ça) sera au moins marqué par une annonce (voir plein d’autre, mais j’avoue ne pas avoir bien suivit ce qui s’y passe), la sortie d’izneo, une plateforme d’offre de lecture en ligne pour la BD.

Ce sont pas moins de douze éditeurs (Bamboo,Casterman,Circonflexe,Dargaud,Dupuis,Fei,Fluide Glacial, Grand Angle, Jungle, Kana, Le lombart et Lucky Comics) qui se réunissent et donnent accès à une partie de leur catalogue (600 titres). La promesse étant faite d’enrichir rapidement celui-ci, avec une centaine de titre de plus tout les mois.

izneo – démonstration from izneo on Vimeo.

C’est une initiative que je ne peux que saluer (même si j’aurais bien aimé y voir soleil). Au moins le secteur de la BD, ne fait pas comme d’autre que je ne nommerais pas et finit par passer au numérique.. Bon ok, on est en 2010, ok, des choses auraient pu être faite bien plus tôt, et ok tout n’est pas encore parfait, mais au moins une offre commence à se développer.

Pour l’instant la seule manière de lire des BD sur la plateforme, enfin la seule que l’on connaisse, c’est de la lecture en mode ‘location en streaming’, d’un album. Pour entrer dans les détails, c’est 1,99 euros (à toujours ces bons vieux 99 cents pour un album lisible à volonté, pendant 10 jours.

Et c’est là où je suis pas d’accord. Et c’est ce mode de fonctionnement qui fait que je n’utiliserais surement pas cette plateforme.Et même si je trouve la plateforme sympa et l’outil de lecture bien foutu (et la possibilité de lire les 5 premières pages, pour essayer, être non pas une bonne idée, parce que pour moi cela va de soi, qui achète une bd en librairie sans la feuilleter d’abord ?, mais une fonctionnalitée si peu souvent mis en place, qu’il faut le noter)

Pourquoi ? Je l’explique longuement dans un autre billet, celui ci (et si jamais quelqu’un de chez izneo se perd ici, qu’il aille le lire… 🙂 ). (et non, ce premier billet pour parler de izneo n’est pas juste une excuse pour faire un billet sur les TOD (Truc on demand), enfin disons presque pas).

Solution Linux 2010

J’ai, cette année encore, arpenté les allés de solution linux. N’y étant pas allé l’année dernière, je découvrais sa nouvelle implantation. Et donc, j’aurais déjà une première remarque : “l’endroit où le salon a lieu, c’était mieux avant”.

Parce que la défense, déjà c’était plus facile pour y aller, de gare de lyon et qu’en plus à la Défense, il y a un Starbuck. Et qu’après s’être levé à pas d’heure (ça devrait être interdit de se lever avant 5h du mat), avoir passé 3h dans le tgv et quelques dizaines de minutes dans le RER, mon petit plaisir, mon moment de bonheur de la journée, c’était un grand café, que je passais 10 minutes à choisir (il y en a tellement, rien que choisir, c’est déjà un bonheur) et que je dégustais ensuite lentement …

Alors que là maintenant, portes de Versailles, c’est tout tristounet, y a pas de Starbucks.

Maintenant que j’ai bien râlé sur le lieu, parlons un peu du salon. Déjà il faut que j’explique pourquoi je vais à Solution Linux, en temps que visiteur (exposant, peut-être un jour).

Si j’y vais, c’est pour pouvoir rencontrer des gens que je ne rencontre presque jamais sinon. Des amis qui ont leur entreprises dans des endroits tout perdu comme Nantes et que je ne vois quasiment qu’à cette occasion, les représentants des autres asso régionales d’entreprises du libres.
J’y vais aussi pour me tenir au courant, découvrir de nouvelles entreprises avec qui, qui sait, on pourrait nouer des relations niveaux boulots, voir les nouvelles offres des exposants, les évolutions au niveau business. Cette année, j’y allais aussi pour discuter avec les autres vices-président du CNLL (pour ceux qui n’ont pas suivi, le conseil national du logiciel libre, une fédération des assos régionales d’entreprises qui font du libre).

Mais ce qui rend Solutions Linux différent de tous les autres salons, et ce qui fait que j’aime y aller, c’est sa partie asso. Ce tiers de salon, où les stands ressemblent parfois presque à des garages geeks, où il y a des peluches et des affiches, où l’on croise plus de barbus que de costard, où l’on peut parler BSD, Hackable devices, firewall, ou autre.

Parce que c’est là qu’on retrouve ce qui fait la dynamique du logiciel libre, ce qui le rend si différents, ce qui fait qu’on peut y consacrer sa vie. Cette chose que l’on ne retrouve que dans les salons ayant une partie réservée aux associations, c’est tout simplement la passion des gens pour ce qu’ils font. Là, ce n’est plus un salon pour vendre. C’est un salon pour discuter, pour apprendre, pour convaincre aussi bien entendu, et si l’April ou l’Aful font signer quelques bulletins d’adhésions, je ne pense pas qu’elles y trouvent à redire, mais ça reste un repaire de geek. Et les plus geeks d’entre tous, ce sont, il faut bien l’avouer les GCU Squad. C’est plus un stand, c’est un bout de pays geeks qu’ils amènent dans solution linux. Et plus encore que leur stand, leur déconnade fait que leur présence est importante. C’est d’ailleurs en partie ‘à cause’ ou ‘grâce à’ eux que j’écris ce billet.

Pourquoi ?

Je suis tombé sur cet article, du monde informatique, parlant de leur animation anti brevet et anti microsoft qui a eu lieu le 17, en début d’après midi (où comme l’ont nommée les gcu, ‘sus à la grippe 7’). J’ai eu le plaisir d’y assister, d’ailleurs j’ai twitté quelques photos, en direct (et si vous en voulez de bonne qualité, il y en a tout plein, et même des vidéos sur le wiki gcu). L’article du monde finit en disant que certains exposants ronchonnaient à propos des actions des GCU.

Alors, je n’étais pas exposant, donc mon avis est peut-être un peu biaisé, mais, je pense, sincèrement, que le jour où Hybird sera exposant, ça ne changera pas mon avis. Mon avis qui est qu’ils faut que GCU soit sur SL. Qu’ils faut qu’ils continuent à faire des choses comme ‘Sus à la Grippe 7’, à courir dans tout le salon déguisé n’importe comment, dans une bonne humeur très potache.

Parce que si c’est pas eux, qui le ferra ? Ce ne peux être des personnes qui a un moment veulent paraître sérieux, pour pouvoir faire du business. Ce ne peux être des exposants, des associations d’entreprises, des gens qui ont l’étiquette de leur société autour du cou. Non, ce ne peut-être que des troublions, qui se rassemblent en groupe de troublions et qui jouissent d’une liberté d’expression que les composantes plus business de l’écosystème du libre n’ont pas, n’ont plus.

Et puis, il faut bien l’avouer, j’y vais aussi un peu pour ça à solution Linux, pour voir ce qu’ils ont imaginé, cette année encore, les GCU… Et tant que leur actions auront un sens, ne seront pas juste de la déconne, mais porteront un vrai message, (j’ai d’ailleurs beaucoup apprécié que le 17, la parole soit donnée aux personnes de Microsoft, pour qu’elles puissent s’expliquer), je continuerais à penser qu’ils sont utiles.

Bientot, la close beta de Leelh

Leelh… Je suis la gestation de ce mmoweb depuis.. le tout tout tout début. De plus ou moins près je me tiens au courant de l’avancée des choses, que ce soit en suivant leur twitter @leelh ou en trainant sur les différents site web mise en place.

Pourquoi ? Parce que j’ai l’impression que l’équipe de dev a écouté mes suppliques au moment de designer Leelh et à décider de me faire plaisir, le plus possible. Du Pvp partout, un jeux orienté survivalisme, des objets qui s’usent et se cassent (et qui plus ils sont usés moins ils sont performants), etc etc ..

Parce que c’est, en tout cas à ma connaissance, le premier mmoweb qui sera à abonnement payant obligatoire et que je me demande si ce business model peut fonctionner pour un tel jeu.

Du coup, quand j’ai été, il y a quelques temps contacter par un membre de leur équipe de gestion de la communauté, qui m’a demandé si j’étais intéressé par recevoir des news et en parler si je le voulais, j’ai, forcément dit oui.

Et quand, donc, j’ai reçu un mail m’annonçant que la Closed Beta allait ouvrir (normalement le 25 mars), mon sang n’a fait qu’un tour, je me suis tout de suite exclamé ‘je vais écrire un billet pour l’annoncer’. Bon ça, c’était hier, alors, oui je sais, je met du temps à écrire des billets, mais fallait bien que j’aille acheter ma dernière geekerie quand même.

Mais revenons en à Leelh et à sa Closed Beta qui a l’air plus qu’alléchante, en tout cas si pour une fois, tout ce qui doit être dans une CB y est vraiment  …  (nan parce que bon, avec l’âge et les béta passant, je commence à croire qu’il est irréaliste d’espérer avoir dans le jeux tout ce qui est promis par les sites officiels).

9km² de ruines post-apocalyptique à arpenter, les heureux chanceux qui pourront se connecter à la CB vont en user du souliers, moi qui vous le dit. Heureusement pour eux, cette champêtre zone urbaine dévastée regorge de victuailles qui malheureusement sont parfois un petit peu avariées .. (et non oui , les points verts sur le bout de viande, s’était pas un reste de sauce aux trois poivres..) Et non content de passer la nuit à vomir dans une poubelle trouée, il faudra gérer le stress qui risque sinon de vous user plus rapidement qu’un cannibale vous courant après pour vous tâter les miches. Heureusement, vous pourrez souffler un peu, lorsque vous retrouverez votre coquette planque, un quatre étoiles façon trou de lapin dans lequel vous pourrez cacher vos trois boutons et vos deux lacets ….

Ca vous donne envie hein tout ça ? Et ben à moi aussi. Donc je croise les doigts pour avoir le privilège d’être l’un des 5000 heureux élus qui pourra tester la CB.

Et pour le coup, je vous met une petite BD pour illustrer l’univers de Leelh.

Spotify, wine et Ubuntu

Décidément, c’est la journée truc et astuce aujourd’hui. Un simple petit mémo pour ceux qui utilisent spotify sous linux avec Ubuntu.
Alors que sous Debian, le fonctionnement était parfait, sans un seul soucis, j’ai constaté des grosses instabilité en utilisant spotify, avec wine, sous Ubuntu.
Par instabilité, j’entends le son qui s’arrête, sans raison, après 2 ou 45 minutes de musique. Nécessitant un redémarrage de spotify, voir plusieurs.

Comme j’étais les mains dans cambouis avec mon ATI, je me suis dit que j’allais continuer et essayer de m’occuper de ce problème.

Après plusieurs bidouillage et essais, je pense avoir réglé le problème. Ma solution est simple, configurer wine pour qu’il utilise esound et non pas Alsa.

Depuis, aucun problème.

Lenovo, Ubuntu et ATI

J’ai, depuis un peu plus de trois mois, un lenovo W500. Rien à dire, j’adore cette bécane. Un look rétro et indus que j’apprécie, des ventilos très silencieux, un touché de clavier agréable, que du bon quoi.

Mais, j’avais un petit soucis, mes drivers graphiques (ATI Firegl je sais plus quelle version) ne voulaient pas fonctionner. Mais bon, vu ce que j’utilise la  3D sur mon portable, ça ne me dérangeai pas outre mesure.
Mais il se trouve, que pour une démo client, je vais absolument avoir besoin de 3D. J’ai donc du me battre avec ma petite ubuntu pour faire fonctionner le bousin.

Les drivers proprio ne fonctionnant pas, j’ai tenté avec les drivers radeon, radeon hd, mais nan, rien ne fonctionnait.

Et puis au final, au détour d’une recherche google, l’illumination. Il faut dans le BIOS désactiver le principe de switchable carte graphique, désactiver l’auto détection de la fonctionnalité par les OS et indiquer que l’on veut que ça soit la carte graphique ‘Discrete’ qui soit utilisée.  (switchable carte graphique, c’est une fonctionnalité lenovo qui permet d’utiliser soit une carte graphique intel intégré toute pourrite mais qui consomme pas d’électricité soit de lancer la grosse ATI)

Et là, miracle.. j’ai la 3D avec les drivers ATI proprio.

Donc si vous avez un lenovo, vous savez quoi faire maintenant.