Wine 1.3.7 est sorti

La nouvelle version de wine est sortie avant hier.

Au menu :

  • Meilleure prise en charge de la zone de notification système.
  • Prise en charge améliorée des programmes d’installation utilisant des assemblies.
  • Nombreuses fonctions msvcrt  implémentées.
  • Un bon gros paquet de corrections dans le support GStreamer.
  • Nombreuses améliorations MSXML.
  • Mises à jour des traductions.
  • une flopée de corrections de bugs divers et variés.

Et pour ceux qui ont une Ubuntu, il y a un ppa spécial ICI. Pour les autres, il y a tout plein de paquet pour tout plein de distrib dans le partie Download du site de Wine.

TrueCrypt et Dropbox

Il y a quelques temps je demandais des conseils sur twitter à prpos de quels services utiliser pour du backup / partage de données ‘dans le cloud’.

J’utilisais alors en effet dropbox de façon épisodique sans vraiment savoir si c’était le mieux. Au final après quelque tests d’Ubuntu One, j’ai finalement décidé de faire confiance à dropbox (et en plus comme ça je peux échanger de manière facile des fichiers avec des gens sous windows.

L’un de mes critères de choix était que le système en question supporte les espaces chiffrés. Ce n’est pas tant que j’ai envie de mettre des données sensibles sur ma partition dropbox, mais bon, il est important que mes billets de blogs déjà publiés ou que mes nouvelles en cours d’écriture ne soient pas lisible par d’autre que moi…:)

Donc je voulais pouvoir chiffrer une partie de la partition expédiée dans le cloud. Avec par exemple TrueCrypt. @brunobord m’avait indiqué qu’il semblait que cela pouvait fonctionner. Et effectivement, après quelque test, j’ai pu valider que cela fonctionnait (sur Ubuntu One aussi d’ailleurs).

Suite à une demande sur twitter (encore), voici comment j’ai procédé.

1- L’installation

J’en profite pour préciser, avant de commencer les choses sérieuses, que nautilus-dropbox est un logiciel libre publié sous licence GPL et que TrueCrypt est lui aussi un logiciel libre, licencié sous la True Crypt licence Version 3.0

1.1- Dropbox

Vous pouvez aller le chercher sur le site web ww.dropbox.com (et vous pouvez aussi me demander que je vous parraine, ça me ferra 250 méga en plus dans le cloud:) )

Vous pouvez aussi directement l’ajouter dans vos repos de distribution, il y a un repo Ubuntu :

  • sudo apt-get update;sudo apt-get upgrade nautilus-dropbox
  • sudo apt-key adv –keyserver pgp.mit.edu –recv-keys 5044912E

ou un repo Fedora :

  • Create a file in /etc/yum.repos.d called dropbox.repo with this text:

[Dropbox]
name=Dropbox Repository
baseurl=http://linux.dropbox.com/fedora/$releasever/
gpgkey=http://linux.dropbox.com/fedora/rpm-public-key.asc

  • Run sudo yum install nautilus-dropbox. It may ask you to confirm a gpg key. Approve and you’ll be good to go.

Si vous utilisez une autre distribution, vous pouvez toujours récupérer les sources et op une petite compilation plus tard vous avez votre nautilus-dropbox.

1.2- TrueCrypt

Une fois dropbox installé, il faut installer TrueCrypt. Rien de plus facile, vous le récupérez sur son site et vous suivez la procédure d’installation.

Arrivé à ce niveau là, vous avez installé tout ce qu’il vous faut. On peut donc commencer à mettre en place les choses.

2- Créer l’espace chiffré.

Bon installer et configurer dropbox s’avère assez enfantin. Je ne vais donc pas m’attarder et je vais passer directement à la création de l’espace chiffré.

Lorsque vous lancez truecrypt, vous tombez sur cette fenêtre.


Il faut, bien entendu cliquer sur create volume qui se trouve en bas à droite (suivez la flèche rouge).


Une fenêtre s’ouvre alors pour vous demander si vous voulez utiliser un fichier qui servira de container à vos fichiers à protéger (il sera monté comme une partition) ou si vous voulez directement chiffrer tout une partition.

Pour notre utilisation vous devez choisir le premier choix soit Create an encrypted file container (logiquement c’est celui choisi par défaut) Et vous n’avez qu’à cliquer sur suivant.

Ensuite il vous demande si vous voulez un volume standard ou caché. Par défaut il est sur standard, je vous conseille de laisser ainsi et de cliquer sur suivant.

Ensuite arrive la fenêtre qui vous demande de choisir l’endroit ou votre fichier sera créé. N’oubliez pas de choisir un répertoire de votre dropbox et de donner un nom intelligent à votre fichier (ici test_blog). Ensuite cliquez Suivant.

Arrive le choix des algos. Lisez les descriptions et choisissez votre préféré. Puis suivant.

On vous demandera ensuite d’indiquer la taille de votre fichier container. Qui correspond à la taille maximale que vous pourrez donc stocker en chiffré. Ne choisissez pas plus grand que 2 giga, votre dropbox est limitée à 2 giga (et le fichier sera tout de suite créé avec sa taille maximale, alors ne choisissez vraiment pas une taille supérieure à 2 giga).

Il ne nous reste presque plus grand chose à faire pour créer notre fichier chiffré. A si, tout de même, à taper le mot de passe magique qui nous permettra de récupérer nos données. C’est l’objet de la fenêtre suivante.

Ensuite, on choisit le format de partition, FAT,Ext2, Ext3 ou Ext4.

On arrive à la dernière fenêtre, il faut bouger sa souris pour générer un random pool (et la bouger un max, bien entendu). Ensuite vous cliquez sur Format et là vous attendez, plus ou moins suivant la taille que vous avez choisi pour votre fichier.

Vous allez avoir une belle fenêtre d’information qui va vous dire que tout est ok puis une fenêtre qui vous propose de créer un nouveau volume ou de sortir. Choisissez Exit.

Et là, tout penaud, vous vous retrouvez sur la première fenêtre !! Tout ça pour ça ??

Mais non, ne vous inquiétez pas, il suffit maintenant de monter votre volume chiffré.

Cliquez sur Select File en bas à droite et allez chercher votre fichier chiffré. Une fois celui-ci sélectionnez cliquez sur Mount tout en bas.

Une belle petite pop-up va apparaître pour vous demandez de saisir votre mot de passe. Faites le.

Et là, miracle, votre fichier est monté comme une vraie partition. D’ailleurs dans nautilus vous le verrez comme une partition.

Vous pouvez maintenant y accéder comme si c’était une clé USB par le répertoire de montage (souvent /media/truecryptNUMEROVOLUMETRUECRYPT) ou par la liste des partitions de nautilus.

Comme quoi, ce n’était pas si compliqué que ça, au final.

Allez, amusez vous bien.

AJOUT ULTRA IMPORTANT.

Comme expliqué sur ce billet fait par monsieur Rangzen , vu comment fonctionne truecrypt et dropbox, vous pouvez de jamais avoir votre fichier container synchronisé. Ce qui est tout de même ballot, il faut l’avouer. Le billet de Rangzen explique comment passer outre en modifiant par un script maison, le timestamp du container, si il a été modifié.

Conclusion Bis

Avec ce problème de timestamp, je me demande vraiment si, dans les cas où c’est possible, il ne vaut pas mieux créer des dossiers EncFS (avec cryptkeeper par exemple) qui comme ils créent un fichier par fichier chiffré contenu dans le dossier, n’ont pas ce problème de timestamp

0 A.D. Alpha 2 dispo pour Ubuntu

0 A.D est un jeux développé par Wildfire Games qui rappellera aux plus vieux d’entre nous des souvenirs plus que nostalgiques … (non je ne pense pas du tout aux premier Ages of Empires, voyons, pas du tout).

Pour ceux qui n’aurait pas encore entendu parler de  0 AD, un petit résumé : OAD est un jeu de stratégie historique temps réel dev par Wildfire. Son éditeur a libéré le code l’année dernière. Mais là ou c’est vraiment fort, c’est que non seulement ils ont mis le code en GPL V2, mais toutes les ressources (sons, graphismes, etc..) sont en Créative Commons BY-SA. Et là, là, moi je dis chapeau.

Et donc, ce beau projet vient de sortir en Alpha 2 (et c’est tout récent, c’est sorti le 19 octobre).

Pour ne rien gâcher, on peut y jouer sous plein de distributions Linux (voir ce lien pour comment l’installer sous 8 distros ou le compiler ou cet autre lien pour frugalware) mais aussi sous Mac ou sous Windows.

Et que bon, il a l’air tout de même très sympa comme jeu. Pas aussi beau que starcraft 2 mais bon, bien plus rigolo (et puis en plus, je suis mauvais à Starcraft 2.. micro management de me…)

Alors amusez vous bien.

http://trac.wildfiregames.com/wiki/LatestReleaseWindows

Montage vidéo sous Linux

Il existe pas mal d’applications pour faire du montage vidéo sous linux. Il y a quelques années, lorsque pour le boulot, j’avais eu un besoin urgent de monter des vidéos, j’en avais testé quelqu’une. Je n’avais pas vraiment été super emballé que ce soit par cinelerra qui me semblait tellement compliqué qu’incompréhensible (j’avais eu l’impression de me retrouver devant l’Emacs du montage vidéo) ou Kdenlive que j’avais fini par utiliser, malgré ses plantages répétés.

La nécessité de monter des vidéos se faisant à nouveau sentir, je me suis remis en quête d’un outil sympa. J’ai arrêté mon choix sur deux possibles Kdenlive et Openshot. En fait les deux outils sont vraiment très similaires. Histoire de vous le montrer, les captures d’écrans que j’ai prise de chacun des deux outils montrent la même chose, le montage de trois morceaux de vidéo (pour la petite histoire ce sont des vidéos de Toad, le jeu vidéo que l’on tente de dev au boulot, quand on a le temps), avec des transitions entre chaque morceau… Vous vous en rendrez compte, on fait difficilement plus similaire.

Similitudes

dans les deux cas vous aurez une fenêtre pour gérer les différents bouts de clip que vous allez monter. Vous aurez également dans les deux cas, sur tout le bas de l’écran les 2 pistes vidéo ainsi que les 2 pistes audios (vous pourrez dans les deux logiciels, rajouter d’autre pistes si nécessaire). Vous aurez aussi le moniteur de projet qui vous donnera une prévisualisation de votre vidéo complète. Et vous trouverez également dans les deux logiciels, la gestion de l’historique de vos actions.

Kdenlive

Comme son nom l’indique, c’est un logiciel ‘KDE’, avec ce que cela implique comme dépendance.  Niveau installation, c’est plutôt facile vu qu’il se trouve être dans les repository kde ubuntu.

Il vous permettra de monter vos films, en mélangeant vidéos, image fixes, textes, et bien entendu piste audio. Il gére un certain nombre de caméscope ce qui peut être sympa. Le nombre d’effet et de transition utilisable est tout simplement hallucinant, bien supérieur à ceux que gère Openshot.

L’interface de Kdenlive est plus customisable et permet d’afficher plus de choses.. Ce qui peut parfois avoir pour effet d’en afficher tellement qu’on s’y perd. Mais bon.

Niveau documentation, par contre, elle n’est pas très fournie. Mais il existe un forum où vous pourrez poser vos questions.

Openshot

Openshot est lui plus un logiciel ‘GNOME’ avec lequel il est pas mal intégré. Il n’est pas dans les repository ubuntu mais vous pourrez trouver le PPA qui va bien sur son site officiel.

Openshot vous permettra aussi de monter des clips de différentes natures, vidéos, images fixes, textes, textes en 3D. Il sera aussi possible d’incruster des sous titres par dessus les clips vidéos et d’utiliser du SVG pour tout ce qui est texte. Les effets disponibles sont plutôt sympa, mais objectivement il y en a moins que dans Kdenlive. L’interface est plus light que kdenlive, moins de choses sont configurable, mais ce n’est pas dérangeant.

La documentation, pour openshot, est par contre très fournie. Avec un gros manuels utilisateur (et une version française) et la aussi un forum. Il y a même quelques petites vidéos.

Conclusion.

Au final, je ne saurais pas lequel vous conseillez. Moi même, je ne sais pas lequel je vais finalement choisir. Kdenlive bien qu’un peu plus difficile à prendre en main est plein de petits trucs qui aident pas mal. Un exemple. Pour, avec Kdenlive mettre une transition (à ce propos, vous devez savoir que pour mettre une transition entre deux clips, il faut que les deux clips soient sur des pistes différentes et que les deux clips se ‘chevauchent’ un peu, regardez sur les deux screenshots pour comprendre), il faut faire un clic droit sur le premier clip pour que le menu contextuel apparaisse, choisir l’option ajouter une transition et choisir sa transition. Mais par contre, la transition se cale automatiquement sur la durée du chevauchement. Plus besoin donc, la plupart du temps, de modifier sa durée. Pour faire la même chose sur Openshot, vous pourrez drag and droper la transition directement de la liste des transitions, sur la piste qui va bien. Par contre par défaut sa taille ne sera pas bonne. Il faut alors cliquer sur l’icône redimensionner et régler la durée de la transition. Quand vous devez monter une vidéo avec 20 transitions, vous appréciez le fonctionnement de kdenlive….

Pour finir, avidemux

Si vous voulez simplement coller des morceaux de vidéos les uns après les autres, ou découper une vidéo en plusieurs, ou enlever un bout de vidéo, il existe un petit logiciel tout simple et ultra puissant qui s’appelle Avidemux. Et en plus, il est dans les repo Ubuntu. A utiliser sans modération.

Turpial, encore un nouveau client twitter.

Turpial est un client twitter, développé en python et en GPL v3,  que j’ai découvert récemment grâce à http://ubunlog.com Comme j’aime bien tester tout les clients twitter que je découvre, je l’ai installé pour voir ce qu’il avait dans le ventre.

Au niveau de l’installation, deux manières de faire :
soit en ajoutant le ppa qui va bien, si vous avez une ubuntu en faisant :

  • sudo add-apt-repository ppa:effie-jayx/turpial-devel
  • sudo apt-get update
  • sudo apt-get install turpial

soit en récupérant les sources sur sa page github et en faisant un petit python setup.py install

Mais qu’à donc de spécial ce petit client :

  • déjà il est dev en python
  • ensuite il gère twitter mais aussi identi.ca
  • Il possède un mode 1 colonne et un mode 3 colonnes, chaque colonne pouvant alors des intervalles de rafraichissement différents
  • Il permet de gérer les listes comme étant une TL a part et c’est bien le premier clients que je vois faire ça.

Ce qu’il lui manque :

  • pouvoir être multi compte
  • avoir une gestion du lu / non lu
  • pouvoir configurer le nombre de colonnes que l’on souhaite (je révérais d’un client qui me permette d’avoir ma TL plus une TL par liste… le pied … )

Mais je dois avouer que j’ai été plus qu’agréablement surpris par l’essai de Turpial. Je vais du coup suivre son développement pour voir ce que vont amener les prochaines versions.

Et en attendant, quelques petites images du client (récupérées directement du site officiel).

Choqok 1.0 beta 2 est sorti

Choqok est sans aucun doute, le meilleur des clients twitter sous Linux (et j’en ai testé une palanqué, moi qui vous le dit). Alors effectivement il est un peu moche (enfin ça dépend beaucoup du thème KDE choisi), mais ça vaut franchement le coup.

Parmi les fonctionnalités intéressantes, dont certaines n’apparaissent qu’avec la béta 2 :

  • multi compte twitter et status.net (vive identi.ca)
  • gestion des thumbnail pour un certain nombre de service d’hébergement d’image
  • preview sur les vidéos
  • gestion des lus/non lus
  • upload des documents/images directement à travers choqok (en utilisant le billet rapide)
  • gestion des RT ‘manuels’ et des RT ‘à la sauce twitter’
  • gestion de Oauth
  • url shortener sélectionnable
  • unshortening d’url et affichage des urls longues dans des tooltips
  • autocomplétion des username twitter (ça c’est cool)
  • sauvegarde des onglets de recherche.
  • Un affichage possible en mode conversation
  • Et encore tout plein de truc.

Ces deux défauts sont :

  • il est un peu moche, mais bon ça sérieusement… c’est pas non plus un critère très important
  • il est un peu long à se lancer…

Donc la béta 2 est sortie aujourd’hui. (ici le billet sur le blog de choqok) Donc forcément, elle n’est pas dans les repo Ubuntu, ni Debian d’ailleurs. (les repos Ubuntu ont la beta 1)

Comment donc l’installer ? Simple, comme d’hab, avec les sources. Il y a pourtant quelques petites subtilités à suivre.

Tout d’abord les dépendances. Presque toutes sont installables par gestionnaire de paquet il s’agit de :

  • libqca2-dev
  • libqca2-plugin-ossl
  • libqjson-dev
  • libqjson0

Ensuite, choqok a une dépendance vers QOauth qui elle va être un peu plus chiante à installer. En effet il n’y a pas de package dans les repos Ubuntu. Heureusement, pensez vous, il y a des packages debian et ubuntu fourni par les devs de QOauth, sauf que, en tout cas pour moi, les packages ne fonctionnaient pas du tout. En fait ils s’installaient bien mais à la compilation de choqok, j’avais une sale erreur de compil. Du coup, je vous encourage à installer  QOauth à partir des sources. Et c’est plutôt facile. Un simple et c’est fini :

$ qmake
$ make
$ sudo make instal

Concernant choqok maintenant, le README vous dira de faire :

cd choqok
mkdir build
cd build
cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=`kde4-config --prefix` ..
make
sudo make install OR su -c 'make install'

j’ai perso dû remplacer la ligne cmake par celle-ci :

cmake -DCMAKE_INSTALL_PREFIX=`kde4-config --prefix` ../

Pour que cela fonctionne (oui un simple / en plus à la fin pour avoir un path relatif correct)

Et, c’est tout. Ensuite à vous les joies de choqok …

Ubuntu 10.04

J’ai finalement fait la mise à jour vers ubuntu 10.04. Ce billet, que j’éditerais au fur et à mesure de mes découvertes avec cette nouvelle version d’ubuntu sera mon ‘live test’ ubuntu.

Pour l’instant je reste dans l’expectative. La distro est pas mal, mais il y a plein de petits points ennuyeux.

Déjà, alors que l’assistant de mise à jour m’indiquait 2h pour mettre à jour ma Karmic, j’ai du patienter presque 3h30. Si les barres de progression Ubuntu deviennent aussi viable que celle de windows, où va-t-on ?

Ensuite, le thème que je trouve assez moche cette fois-ci. Et surtout, surtout qui donc a eu l’idée de mettre les boutons de fenêtre (réduire, maximiser,fermer) à gauche et pas à droite ???

Enfin, rien de non modifiable, mais bon …

Concernant les logiciels fournis avec cette dernière version, déjà deux premiers bugs :

  • la version de gwibber embarqué dans Lucid ne gère pas FriendFeed (alors que l’on peut créer son compte et tout, mais non, il veut pas).
  • Chez moi, mais apparemment je ne suis pas le seul, empathy refuse de se connecter à msn. Pour que ca fonctionne, il faut désinstaller telepathy-butterfly, supprimer tout ses comptes msn d’empathy et les récréer. Et là miracle, ça fonctionne.

Quelques petites remarques diverses :

  • Ca fait tout drôle de voir Oracle sur le splashscreen d’openoffice.
  • J’aime bien le truc gnome pour gérer les écrans et le bi-écran
  • thunderbird est enfin en version 3

je n’ai pour l’instant pas encore eu le temps de tester Ubuntu One, j’en parlerais dés que j’aurais fait.

Premier rajout, problème de ventilateur.

Je n’ai eu ce problème qu’après la mise à jour de hier . Les ventilateurs de mon Lenovo W500 étaient ‘bloqués’ à 3000, 3200 tr/min.

Ce qui a donné, deux pointes de températures à 100 degrés, donc deux arrêt de la machine hard et une belle frayeur pour ma part.

Après quelque recherche web sur un autre PC, j’ai trouvé ce lien sympa pour les lenovo qui permet d’installer, entre autre, un truc de contrôle des ventilateurs. Pour les contrôler à la main.

Et je me suis donc rendu compte que quand les ventilos étaient réglés en 100% ou en hw-ctrld, ils ne dépassaient pas les 3200 tr donc. Mais si je les réglais en full, ils montaient à 4800tr/minute, ce qui suffisait à faire en sorte que mon processeur ne dépasse jamais les 60 degrés.

Je ne sais pas si cela provient directement de Ubuntu, ou d’une autre cause, mais bon… Si vous avez un lenovo faites attention (et je suis preneur d’un retour par commentaire, si vous avez eu le même problème).