Nov 052023
 

J’avais croisé ce tome 1 un certain nombre de fois pendant mes pérégrinations dans les rayons des librairies que je fréquente. Mais sans succomber à son appel.

Et finalement samedi, j’ai vu le tome 2. Et par curiosité, je suis allé lire la quatrième de couverture. Et ce fut alors plié, je voulais lire ce run  Poison Ivy. Parce que l’un de mes personnage de comics préféré est et restera toujours Harley Quinn (bon et aussi Howard the duck, mais c’est une autre histoire) et que la quatrième de couv du tome 2 mentionnait Harley.

Bien entendu, le tome 1 n’était plus en rayon dans cette boutique là. Mais l’avantage des grandes villes c’est bien d’avoir plusieurs librairies. Après quelques efforts, je pu donc avoir mon tome 1.

Première chose la couverture est de toute beauté. Les couvertures alternatives présentées dans le tome sont aussi belles voir plus. Pour être exact tout est beau dans ce comics. C’est un vrai régal pour les yeux.

Quand à l’histoire. Ivy a quitté Harley. Elle part dans une quête de retour au source, vers Seattle où elle espère pouvoir confronter  son « créateur » Jason Woodrue, l’homme Floronique.

Elle a quitté Harley mais elle y pense à chaque instant. Elle lui écrit des lettres, lettres qui sont la voix off du comics. Et même si c’est un comics Ivy, Harley est là, à travers les pensée d’Ivy, à travers quelque flashback. Son absence prenant une place plus importante dans les pages du comics. Et le comics devient plus qu’une quête qui ne peut s’acheter que par la mort, c’est aussi le récits d’une séparation, des derniers instants d’une histoire d’amour et de l’après. Et de qui sait, de l’espoir.

En résumé, le comics est sublime, l’histoire m’a touché, il y a même Harley sans y avoir Harley, je n’ai qu’un seul conseil, allez le lire !!

Et en petit cadeau final, on a même l’issue de 1985 avec Neil Gaiman comme auteur qui solidifie l’origine stories d’Ivy (par contre attention les dessins de 1985 ce ne sont pas ceux de 2023)

Sorry, the comment form is closed at this time.