Reeder, enfin une alternative à Greader

Important : ceci n’est pas un billet sponsorisé. 🙂

J’utilise google reader pour lire mes rss, ca me permet de synchroniser d’une manière simple ma lecture de RSS. Que je soit sur mon PC, un PC quelconque ou mon iphone, j’ai toujours tout mes RSS favoris, les lus et mes non lus.

La question de la synchro étant résolu, il me restait la question de comment lire mes RSS. Sur PC, j’ai rapidement abandonné, aucun lecteur RSS ne vaut l’interface web de greader. C’est bien dommage, mais c’est comme ça (bon mes derniers tests avec rssowl datent de quelques mois, faudrait peut-être que je retente).

Sur iphone, j’en ai testé plusieurs, des payants et des gratuits, mais pareils. Aucun n’était mieux que l’interface web de greader. Donc je m’étais finallement résolu à lancer safari à chaque fois que je voulais lire mes RSS.

Enfin ça, c’était avant d’installer (et de payer parce qu’il est payant, 2 euros et des brouettes) Reeder.

Parce que clairement, cette petite iphone app, c’est de la bombinette en barre. Bon déjà, elle est jolie. Mais ça clairement, c’est le moins important. Mais ensuite, elle est super efficace et rapide.

1- Vue de flux, vue de liste de billet et vue de billet détaillé.

Reeder se découpe en trois grande vues :

  • les vue de flux sur lequel seul les noms des flux ou de répertoire de flux sont affichés (ainsi que quelques infos en rapport avec)
  • les vues de liste de billets ou l’on voit les titres des billets avec leurs chapeaux
  • les vues de billet détaillé où l’on peut lire la totalité d’un billet.

On verra en détail, chacune de ces types de vues, mais avant, il faut que je vous présente le mode de filtrage des billets.

2- Mode de filtrage des billets affichables.

Lorsque l’on est sur une page qui affiche des flux (et pas le contenu des flux), on peut choisir un mode de filtrage des billets. Le choix se fait grace aux 3 petites icones de la barre du bas, l’étoile, le rond ou le symbole de liste.
L’étoile correspond aux billets favoris, le rond aux billets non lus, le symbole de liste corresponds  lui à pas de filtre soit tout les billets.

La page d’accueil est bon exemple de cette possibilité de filtrage. Mais on retrouvera ces options de filtrage sur tout les vues flux.

Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que ces options de filtrages ne sont accessible que dans les vues flux. Lorsque l’on va basculer sur une vue liste de billet ou billet détaillée, on ne peut plus changer les options de filtrage, mais elles sont toujours actives. Si l’on est dans un mode unread only, on ne verra que les billets lus, ni les mis en favoris ou les billet lus toujours stockés (parce que oui les billets lus restent stockés et on peut configurer combien de temps on peut les garder sur l’iphone).

3- Vue de flux

La vue de flux affiche les flux directement contenus dans le répertoire où l’on se trouve ainsi que les sous répertoire de celui-ci.
Sur la même ligne que le nom du flux ou du répertoire, on trouve un chiffre et une fléche. Le chiffre donne soit le nombre de mis en favoris du flux ou du répertoire, soit le nombre de non lus, suivant le critère de filtrage choisi (si l’on choisit le filtrage Tous, c’est le nombre de non lus qui est affichés). La fléche lorsqu’elle est en relation avec un flux,  permet de passer en vue liste de billet. Si elle est en relation avec un répertoire, elle permet d’aller dans la vue de flux du contenu du répertoire.

4- Vue de liste de billet.

Cette vue, permet de lister tout les titres / chapeau de billet d’un flux. A gauche une icône étoile ou rond permet de renseigner sur l’état favoris / non lus. Lorsque le billet a déjà été lu, la couleur de la police est plus claire. Les filtres mis en place dans la vue de flux, sont bien entendu, actifs.

5- Vue détaillée des billets.

C’est la vue que vous allez utiliser. Celle qui permet de lire un billet. Claire, facile d’utilisation, je la trouve tout simplement géniale. Deux petites icônes en forme de flèches en bas permettent de passer à l’article suivant ou précédent. On peut également changer l’état lu / non lu ou passé le billet en favori. Enfin, un peu envoyer l’article sur plein d’applications tierces que ce soit du twitter, du facebook, du instantpaper, du delicious, ou plein d’autre trucs (et envoyer par mail).

6- Le reste

L’un des trucs qui m’insupportais avec greader c’était les flux avec les articles tronqués. Du coup pour lire le billet complet, j’étais obligé de sortir de greader pour aller sur le site. Là, un browser est intégré dans Reeder, on n’a donc pas l’impression de quitter l’application.

Ensuite, on peut conserver les articles un certains temps, configurable bien entendu. Et on peut configurer des durées différentes pour les nonlus, les lus et les favoris.

Le thème de couleur est très reposant visuellement. Ni trop clair, ni trop foncé, dans les tons de beiges, ça repose les yeux. C’est carrément un plus pour moi (comparé par exemple à NetNewsWire) surtout quand je commence à lire quelques dizaines de billets d’affilés.

7- Conclusion

J’ai cherché longtemps une appli iphone acceptable pour lire mes RSS. Je pense que je l’ai envie trouver. Et comme en plus elle est plutôt jolie et visuellement reposante, je pense que je vais la garder (et sincèrement, elle vaut bien les 2,des brouettes euros qu’elle coute).

Django-samaritan, parce que tout le monde a le droit d’aimer Bruce Willis

Le mois de mai est toujours un mois compliqué. Normalement c’est à cause de tout ces jours fériés qui sont autant d’obstacle au travail et qui nous oblige à être tout le temps en retard en mai. Pourtant, cette année, malgré que deux des jours fériés de mai tombent un samedi et que le dernier (demain) soit un jour travaillé pour moi, la malédiction du mois de mai a encore frappé et je n’ai de temps pour rien… A croire que c’est le mois de mai lui-même qui a pour conséquence que l’on soit en retard. La malédiction sanglante du mois de mai … (tiens on pourrait faire un bon film de série B avec ça). Enfin, tout ça pour expliquer le fait que l’application du mois que j’ai choisi est une toute petite application, que je n’ai en fait pas eu l’occasion d’essayer ‘en vrai’. (et puis bon, je n’allais pas cracher sur la possibilité de faire un jeu de mot coolos en parlant d’un film que j’adore …)

1- Où on le trouve, comment on l’installe, tout ça quoi (et la doc) ?

On le trouve sur la page github qui va bien et c’est tout. Quand à la doc, elle est, elle aussi uniquement sur le github

La doc se découpe d’ailleurs entre :

  • le Readme
  • le Install
  • les commentaires dans le code.

C’est peu vous aller me dire, mais vu que l’app fait, en tout et pour tout, moins de 200 lignes, c’est suffisant.

2- A quoi ca sert ?

A remplacer le model django.contrib.auth.models.User par un des siens, d’une façon propre. Pour aider encore plus, des models spéciaux de M2M, de OnetoOne et de FK sont fournis pour quand on voudra créer des références vers nos nouveaux users.

3- Comment ça marche ?

Il y a deux façons possibles de le faire marcher.

En l’installant puis en l’utilisant. Tout simplement.. On créé son model, on utilise la fonction get_user_model() qui est fournit avec django-samaritain (ou en utilisant directement notre model d’ailleurs). Et on utilise les spécialisations des FK,OtO et M2M.

En utilisant la méthode de Monkey Patching pour injecter à la volée le comportement de django-samaritan dans un projet existant. Cette deuxième méthode est déconseillée pour une utilisation à long terme,dixit l’auteur de l’app lui même.

3- Retour ?

Et oui, je sais, c’est un comble. Mais bon, c’est mes billets, alors je fais ce que je veux. Donc, si l’un de vous a des retours sur l’utilisation de cette app, je suis bien entendu preneur, ne vous gênez surtout pas.

Anki, l’apprentissage par les cartes.

J’ai découvert Anki il y a quelques mois déjà et je voulais absolument en parler ici pour vous le faire découvrir. Mais bon, au final, j’ai trainé et ce n’est qu’aujourd’hui que j’utilise ma pause déjeuner pour écrire ce petit billet.

Anki est un logiciel d’apprentissage sympa qui se passe sur des cartes. Et en plus il est libre et multi-plateforme. On peut même l’utiliser sur des smartphones.

Le principe est super simple. Quand on commence une session, l’écran d’Anki se divise en deux parties. La question sur la partie haute (la carte question) et la réponse sur la partie basse. Au départ seul la question est affichée. Quand on pense avoir trouvé la réponse, on clique. La réponse s’affiche alors et on voit si on a bon ou pas. Pour chaque réponse, anki nous demande alors si la réponse était difficile, facile, très facile à trouver. En fonction de notre réponse, la question reviendra plus ou moins vite. C’est là le mécanisme central d’Anki. La répétition des questions jusqu’à ce que la réponse nous rentre dans la tête. Et plus on indique à Anki que la réponse a été dure à trouver, plus il nous redemande la question.

Les questions que l’on note facile, reviennent elles aussi, pour ne pas qu’on oublie les réponses, mais avec un temps de répétition très long.

Le principe a l’air tellement bateau que l’on pourrait croire que bon, c’est de la connerie. Mais en fait non, ça marche. Enfin, ça marche si c’est fait convenablement, c’est à dire, une session minimum par jour, tout les jours.

Pour finir deux petites vidéos youtube qui expliquent bien le truc :

Ubuntu 10.04

J’ai finalement fait la mise à jour vers ubuntu 10.04. Ce billet, que j’éditerais au fur et à mesure de mes découvertes avec cette nouvelle version d’ubuntu sera mon ‘live test’ ubuntu.

Pour l’instant je reste dans l’expectative. La distro est pas mal, mais il y a plein de petits points ennuyeux.

Déjà, alors que l’assistant de mise à jour m’indiquait 2h pour mettre à jour ma Karmic, j’ai du patienter presque 3h30. Si les barres de progression Ubuntu deviennent aussi viable que celle de windows, où va-t-on ?

Ensuite, le thème que je trouve assez moche cette fois-ci. Et surtout, surtout qui donc a eu l’idée de mettre les boutons de fenêtre (réduire, maximiser,fermer) à gauche et pas à droite ???

Enfin, rien de non modifiable, mais bon …

Concernant les logiciels fournis avec cette dernière version, déjà deux premiers bugs :

  • la version de gwibber embarqué dans Lucid ne gère pas FriendFeed (alors que l’on peut créer son compte et tout, mais non, il veut pas).
  • Chez moi, mais apparemment je ne suis pas le seul, empathy refuse de se connecter à msn. Pour que ca fonctionne, il faut désinstaller telepathy-butterfly, supprimer tout ses comptes msn d’empathy et les récréer. Et là miracle, ça fonctionne.

Quelques petites remarques diverses :

  • Ca fait tout drôle de voir Oracle sur le splashscreen d’openoffice.
  • J’aime bien le truc gnome pour gérer les écrans et le bi-écran
  • thunderbird est enfin en version 3

je n’ai pour l’instant pas encore eu le temps de tester Ubuntu One, j’en parlerais dés que j’aurais fait.

Premier rajout, problème de ventilateur.

Je n’ai eu ce problème qu’après la mise à jour de hier . Les ventilateurs de mon Lenovo W500 étaient ‘bloqués’ à 3000, 3200 tr/min.

Ce qui a donné, deux pointes de températures à 100 degrés, donc deux arrêt de la machine hard et une belle frayeur pour ma part.

Après quelque recherche web sur un autre PC, j’ai trouvé ce lien sympa pour les lenovo qui permet d’installer, entre autre, un truc de contrôle des ventilateurs. Pour les contrôler à la main.

Et je me suis donc rendu compte que quand les ventilos étaient réglés en 100% ou en hw-ctrld, ils ne dépassaient pas les 3200 tr donc. Mais si je les réglais en full, ils montaient à 4800tr/minute, ce qui suffisait à faire en sorte que mon processeur ne dépasse jamais les 60 degrés.

Je ne sais pas si cela provient directement de Ubuntu, ou d’une autre cause, mais bon… Si vous avez un lenovo faites attention (et je suis preneur d’un retour par commentaire, si vous avez eu le même problème).

Osmos

Osmos est un jeu développé par un studio indépendant Hemisphere Games. Ce n’est pas un jeux libre, mais il ne coute que 10 dollars et il fonctionne sous Linux / Mac / Windows. On peut même le tester avec une petite démo sympatoche.

Le principe du jeux est très simple. On contrôle une petite boule, qui ressemble à une bactérie.

On la déplace suivant le principe tout simple de réaction. Notre boule quand on clique éjecte une petite boule d’elle même, ce qui induit un déplacement dans la direction opposée. Un peu comme une fusée quoi.

Donc forcément plus on se déplace plus on ‘maigrit’. Si on rentre en collision avec une boule plus petite que nous, on la mange et on grossit. Si on rentre en collision avec une boule plus grosse que nous, elle nous mange et on meurt.

L’inertie et l’accélération sont bien entendus gérés.

Le but sera donc au final de grossir suffisamment pour pouvoir accomplir une mission, sans se faire manger. Le tout étant accompagné d’une musique minimaliste tout simplement envoutante.

Allez op, je vous met une petite vidéo pour vous allécher. (Sincèrement, récupérer la démo et tester là, vous ne serez pas déçu).

Osmos Trailer from hemisphere games on Vimeo.