Manuel rapide d’installation de vole.cc sous linux

Tout d’abord, qu’est ce que c’est que vole.cc, c’est un réseau social totalement décentralisé, qui utilise bittorent comme protocole d’échange et que j’ai découvert aujourd’hui même. Autant vous prévenir tout de suite, le projet n’en est qu’à ces tout premiers balbutiements, donc la peinture est encore fraîche pour ne pas dire qu’elle n’a pas encore été totalement appliquée.:)

Ayant eu quelques petites difficultés pour installer vole.cc , voici un mini tuto.

J’ai eu au cours de mes essais d’installation deux erreurs :

  • En voulant utiliser le binaire j’ai pris une erreur ‘je ne peux pas lancer cet executable’. Logique, c’est un binaire 64 bits, je suis en 32 bits.
  • J’ai ensuite voulu compiler vole.cc tout seul comme un grand en utilisant le go fourni par ubuntu. Tout semblait ok sauf que j’avais une super erreur compréhensible en tentant de créer mon profil à savoir : Handler crashed with error runtime error: invalid memory address or nil pointer dereference. Bon apparemment cela voulait dire que mon go était trop vieux.

Arrivez là, j’ai compris que j’allais devoir me retrousser les manches et mettre les mimines dans le cambouis. Voila comment j’ai fait.

Tout d’abord, installer un go plus récent que celui que j’avais. Pour cela rien de plus simple. Allez sur : http://golang.org/ Récupérer le tar.gz de la page d’accueil. Décompressez le (ça vous donnera un répertoire go quelques par dans votre arborescence)

Ouvrez votre .bashrc. Ajouter à la fin les lignes suivantes :
export GOROOT=PATHQUIVABIEN/go
export GOOS=linux
export GOBIN=$GOROOT/bin
export PATH=$PATH:$GOBIN

Bon bien entendu à la place de PATHQUIVABIEN, vous mettez le path vers le répertoire où vous avez décompressez go. N’oubliez pas le petit source ~/.bashrc pour prendre en compte tout cela.

Ensuite lancez un sudo ./all.bash (si c’est dans un répertoire où vous avez pas les droits parce que vous voulez qu’il soit accessible à tout vos users (comme dans /opt par exemple ) ) . Ensuite vous avez plus qu’à mettre les bons droits si nécessaire et votre go est installé.

Go installé il faut maintenant récupérer vole.cc. Là c’est tout simple, il suffit de cloner le github et de suivre les instructions du fichier CONTRIBUTING.

Je vous les remets ici :

git clone https://github.com/vole/vole.git
cd vole
export GOPATH=`pwd`
export PATH=$PATH:$GOPATH/bin
go run src/vole/vole.go

Et là, miracle tout devrait fonctionner. Vous n’avez plus qu’à suivre les explications pour installer Bittorent Sync et utiliser vole (les explications sont ici : https://github.com/vole/vole/blob/master/README.md )

Une dernière chose, ma clé vole c’est : R2PWI7SMSDWC4UOIZ25I3M5IWNFBSB5WG

Petit mémo : utilisation de proxy sous linux en ligne de commande.

Je me retrouve assez souvent dans des environnements utilisant des proxy avec authentification pour encadrer la façon dont les utilisateurs du réseau local (dont moi du coup) vont sur le net. C’est typiquement le cas lorsque je vais donner des cours dans des écoles.

Sous firefox ou autre logiciel clic/clic, aucun problème. Mais en console ? Aucun problème non plus, suffit de se rappeler comment ça fonctionne.

Du coup un tout petit billet mémo :

en ligne de commande :

export http_proxy=”http://LOGIN:PASSWORD@IP:PORT”

pour synaptic et aptitude :

modifier le fichier /etc/apt/apt.conf (ou le fichier /etc/apt/apt.conf.d/proxy) et rajouter :
Acquire::http::Proxy “http://LOGIN:PASSWORD@IP:PORT”;

Pour pouvoir continuer à utiliser wget :

il faut créer un fichier .wgetrc dans votre $HOME. Puis à l’intérieur de celui-ci :
http_proxy = http://IP:PORT
http_user = LOGIN
http_password = PASSWORD
use_proxy = on
wait = 15

Bien entendu si vous avez un proxy sans login/password vous ne mettez pas le http_user et le http_password.

NixNote, un client Evernote sous Linux

Toujours à la recherche de l’outil parfait pour faire des todo list et noter des trucs, j’avais testé il y a pas mal de temps Evernote. Tout avait l’air parfait et j’aurais bien alors à l’époque utilisé assidûment ce service… Mais il y avait un problème, il n’existait pas de client Linux.

J’abandonnais donc Evernote et mes rêves de plateforme globale (téléphone/web/pc) pour mes notes.

Mais il y a quelques temps, j’ai découvert Nixnote (le nouveau nom de Nevernote) un clone du client Evernote, mais pour Linux.

Il gére parfaitement la synchro, les tag, les hiérarchie de Notebooks.

Alors effectivement il est bien moins sexy que le client natif windows (voir galerie), mais il fait le boulot. Et en plus, il y a même un .deb et un ppa pour les utilisateurs de debian.

Seul problème, une dépendance à java, mais Nixnote fonctionne très bien avec OpenJDK …

Petites astuces gnome 3 et thinkpad

Ayant changé de PC au cours des vacances, j’ai du l’installer et le configurer en station de travail digne de ce nom. Ceci est du coup un petit mémo pour les gens qui :

  • veulent pouvoir utiliser gnome 3 d’une façon correcte
  • ont un thinkpad et veulent régler leurs ventilo / voir la température.

Gnome 3

C’est le moment ou je dit merci à Mat qui m’a donné pas mal des tips que je vais listé ici.

Les extensions.

Vous ne pourrez pas vivre sans elles. Sinon Gnome 3 est tout simplement ‘tout pourrite’. Vous les trouverez sur un site dédié, très bien fait et qui permet leur dl/activation en un clic : https://extensions.gnome.org/ (parmi celles ultra nécessaire : https://extensions.gnome.org/extension/5/alternative-status-menu/ qui vous permettra de récupérer les boutons hibernet / éteindre et https://extensions.gnome.org/extension/12/static-workspaces/ qui vous permettra de figer votre nombre de bureau virtuel).

Gconf-editor et Gnome Tweak Tool

Si on pouvait se passer de gconf-editor avant, ce ne sera à mon avis plus possible maintenant. On va pouvoir nous aussi nous amuser avec notre base de registre maison. Gnome Tweak Tool va lui vous permettre de configurer normalement les trucs que les devs de gnome 3 ont fumé. Du style :

  • Pouvoir remettre les trois boutons fermer/réduire/maximiser.
  • Choisir les icônes à afficher sur le bureau,
  • Changer les fonts
  • Changer le thème
  • Configurer le comportement des fenêtres.

Attention si vous utilisez le lanceur application de gnome 3 (ou un autre), il faudra lancer advanced settings. (En ligne de commande ça reste bien gnome-tweak-tool ).

Gconf editor, vous allez vous en servir si vous fonctionnez en Dual Screen. En effet les devs ont pris une décision qui peut être très énervante. A savoir que votre deuxième bureau ne change pas quand vous changez de workspace. Ca fait donc un peu comme si vous mettiez toutes les fenêtres de votre deuxième écran en ‘Toujours sur l’espace visible’ Suivant votre façon de travailler, vous allez devenir fou. Pour changer ça, vous lancez gconf-editor, vous allez dans /desktop/gnome/shell/windows et vous décochez l’option workspaces_only_on_primary. Après avoir relancé gnome 3.0, vous retrouverez un comportement Dual Screen normal.

Les lanceurs d’applications.

J’utilise un lanceur (synapse dont j’ai déjà parlé) d’application depuis longtemps maintenant. Et je ne pourrais clairement pas m’en passer. Surtout qu’avec Zeitgeist installé, j’ai accès aux fichier ouverts il y a peu. Mais là, au vu de la relative non praticité du lanceur gnome 3 (faut passer par la partie activités, puis application), un lanceur devient vite indispensable. Et cela même si on installe l’extension qui ajoute un menu gnome 2.0 sur la barre du haut. Testez en , choisissez le votre et puis utilisez le.

Les raccourcis

 

  • De base les bureaux sont orientés verticalement. Pour s’y déplacer c’est donc ctrl+alt+UP ou Down et pas Left ou Right.
  • La touche Windows entre le Ctrl et le Alt vous permettra de passer en mode activités.
  • En mode activités les fléches (Up / Down ou Left / Right suivant votre orientation de bureau vous permettront de vous déplacer entre vos workspace)
  • Pour changer une fenêtre de bureau, quand vous êtes en mode activité, il vous suffit de la drag and droppé jusqu’à son nouveau bureau, dans la barre des bureaux présente à droite.

 

Thinkpad, température du PC et contrôle de ventilo.

Il y a une extension gnome 3.0 qui permet d’afficher la température dans la barre du haut. Après l’avoir installé, je dois dire que je fus tout déçu de ne pas la voir fonctionner. (et avoir râlé sur les développeurs). Mais en fait, en installant gkrellm je me suis rendu compte que mon PC (comprendre mon linux) n’arrivait pas à lire les sondes de températures. Après quelques tâtonnements, je suis finalement arrivé à activer la lecture de la température et la configuration de mes ventilos.

Les manip à faire :

  1. Installer le paquet lm-sensors
  2. lancer la commande sudo sensors-detect et répondre YES tout le temps
  3. lancer ( avec un start ou un /etc/init.d…) module-init-tools

Vous pouvez maintenant avoir la température dans la petite extension gnome 3 ou en lançant la commande sensors.

Si vous voulez en plus pouvoir utiliser thinkfan pour configurer le fonctionnement de vos ventilateur il faudra :

  1. éditer le fichier /etc/modprobe.d/thinkfan.conf et y mettre la ligne options thinkpad_acpi fan_control=1
  2. éditer le fichier /etc/default/thinkfan et mettre START=yes
  3. lancer find /sys/devices -type f -name “temp*_input”
  4. copier les lignes en rajoutant sensor devant dans le fichier /etc/thinkfan.conf, juste avant la matrice de configuration des températures

Chez moi les lignes sont :
sensor /sys/devices/platform/coretemp.0/temp1_input
sensor /sys/devices/platform/coretemp.0/temp2_input
sensor /sys/devices/platform/coretemp.0/temp3_input
sensor /sys/devices/virtual/hwmon/hwmon0/temp1_input

Qr Code et Linux

Tout le monde sait ce que c’est qu’un QR Code. Un petit carré blanc plein de petit carré noir. Ou pour faire plus pro un code bar à deux dimensions constitué de modules noirs disposés sur un fond blanc.

Ce qui est intéressant avec un QR Code, c’est qu’on peut y stocker beaucoup d’info, bien plus que dans un code barre normal. 4000 caractère pour être exact. On peut même y stocker une Vcard…

Mais comment créer des Qr Code sous linux ??

C’est plutôt facile vu qu’il y a au moins une appli pour le faire, à savoir qrencode. Pour l’installer, sous ubuntu, il suffit de cliquer sur le lien suivant (vive les liens apt: 🙂 ) ou d’aller le chercher à la mimine avec aptitude ou synaptic.

Une fois ce petit logiciel installé, il est tout simple à utiliser ( il y a même un man).

Un simple qrencode  -o testurl.png ‘http://j-mad.com’ vous permettra de générer un premier QR Code qui pointera sur ce blog et qui ressemblera à ca :

Mais plus fort, vous voulez peut-être pouvoir mettre un QR code sur votre carte de visite ? Et vous aimeriez bien que ce QR Code lorsqu’il est scanné, permette d’ajouter un contact automatiquement dans votre téléphone ? Rien de plus simple. Il vous suffit d’avoir une carte de visite en format vcard.

Une fois que vous l’avez, un petit :
qrencode  -o testvcard.png < mrjmad.vcf vous donnera un QR Code qui contiendra toute votre vcard. Et lorsque quelqu’un le scannera, il pourra vous ajouter automatiquement en contact dans son téléphone. Mon QrCode Vcard ressemble à ceci :

Pour ceux qui n’aurait pas la chance d’avoir un linux sous la main, orange propose une espèce d’interface de création de Qrcode carte de visite ici : http://generator.france.flashcode.id2orange.com/flashcode-contact.php

Quelques applications iphones qui fonctionnent pas mal :

  • mobiletag
  • barcodes
  • redlaser (qui a l’air de ne pas savoir lire les qrcode vcard par contre)

 

Ha, une dernière chose, pour les grincheux comme daks, qui disent que c’est trop moche pour être utilisé, un QR Code, on peut aussi, (même si ce n’est plus alors un “vrai” QR code) changé la couleur, pour avoir par exemple, un QR Code Rose 🙂

 

Audio Recorder, le petit logiciel qui recorde …

Audio Recorder est un de ces petits logiciels qui nous devient tellement indispensable après 30 secondes d’utilisation, que l’on se demande bien comment l’on pouvait faire avant.

Sur le principe c’est très simple. Audio recorder enregistre des sons. Et pour être plus précis il enregistre les sons qui sortent de l’une de vos sorties audio.

C’est tout con. Mais c’est tellement utile.

Pour enregistrer des conversations skype ou autre. Pour enregistrer les stations de radios, les pistes sonores des vidéos youtube ou tout ce que vous voulez d’autre.

Si ça sort d’une sortie audio, alors Audio Recorder sait l’enregistrer. Et dans un bon nombre de format du mp3 au Flac en passant par le WAV ou le OGG…

Cerise sur le gâteau, on peut même scripter une minuterie pour lui dire d’arrêter d’enregistrer après 30 minutes ou si il y a un long silence ou si … ce que vous voulez en fait.

Et pour ne rien gâcher, la qualité sonore est plutôt bonne.

Pour l’installer, sous Ubuntu rien de plus simple :

  • sudo apt-add-repository ppa:osmoma/audio-recorder
  • sudo apt-get update && sudo apt-get install audio-recorder

Avec les autres distro, il me semble qu’il va falloir aller sur launchpad, récupérer les sources et le faire à la mimine.

 

Gnome Activity Journal

Il y a quelques temps, je vous présentais Synapse, un launcher plutôt sympa et qui avait la particularité de se connecter à Zeitgeist pour proposer en lancement possible les derniers documents ouverts.

Synapse n’est bien entendu pas le seul outil à utiliser Zeitgeist. Parmi eux, il y a gnome activity journal.

Gnome activity journal est un petit programme très intéressant qui va vous afficher, sous une forme chronologique la liste de tout les documents que vous avez créé, ouvert ou modifié.

Je ne peux même pas vous lister le nombre de fois où j’ai gagné du temps en l’utilisant pour rechercher un fichier (parce que oui autant je me souviens facilement quand j’ai pour la dernière fois ouvert un fichier, autant j’oublie parfois où il est stocké … )

Histoire de vous donner une idée d’à quoi ressemble l’interface, voici deux petits screen que j’ai directement récupéré sur le site officiel.


Quand à l’installation, sous Ubuntu, vous pouvez la faire de deux façons (avec les repos) :

  • soit une simple installation par synaptic, vu que gnome activity journal se trouve dns les repos maverick
  • soit ajouter le repo spécial Zeitgeist (sudo add-apt-repository ppa:zeitgeist/ppa) et lancer l’install après.

Sinon bien entendu, les sources sont dispos sur la page launchpad du projet.

Tester Firefox 4.0 sous ubuntu, avec des repos

Je n’aime pas installer des trucs sans utiliser des repo, quand j’utilise une debian ou une ubuntu. A part quand je suis vraiment obligé (comme pour pycharm) mais sinon ça me gonfle. C’est tellement vrai que parfois je n’installe pas un truc, juste parce qu’il n’est pas dans les repos.

C’est l’une des raisons pour laquelle je n’ai pas installé de firefox 4.0 par exemple.
Sauf que maintenant, il y a un un repo spécial pour firefox 4.0. Du coup, j’ai pu l’installer.

Si vous aussi vous voulez tester firefox 4.0 (et ne vous inquiétez pas, vous pouvez avoir votre firefox 3.6 et votre firefox 4.0) il vous suffit de faire :

  • sudo add-apt-repository ppa:ubuntu-mozilla-daily/ppa
  • sudo apt-get update
  • sudo apt-get install firefox-4.0
et Op, dans votre menu Internet, de votre menu application, vous avez une nouvelle entrée Navigateur Web Minefield 4.0 (Ou alors en console vous lancez firefox-4.0).
Dernier avantage d’avoir ce petit repo, vous avez des maj de firefox et thunderbird pour le même prix :).

ATTENTION : La version de firefox 4.0 est une version des sources compilée chaque jour (vous aurez donc une update par jour). Il faut donc de les utiliser que pour du test, voir ce que firefox 4.0 a dans le ventre mais pas du tout pour une utilisation ‘pour de vrai’. Voila, vous êtes prévenus 🙂


Source : le Ubunlog

Translate me

Un tout petit billet pour vous faire découvrir une petite application que je viens moi même de découvrir, à savoir Translate me.

En fait translate me permet de traduire des trucs, en utilisant google translate, sans avoir à aller sur google translate (Pour la petite histoire, le développeur de Translate me voulait préserver au maximum la batterie de son portable et donc ne pas avoir à lancer un navigateur à chaque fois qu’il voulait une traduction).

Voilà donc une petite appli toute sympa, en python, qui vous ferra gagner quelques précieuses secondes à chaque fois que vous voudrez traduire un truc (oui je sais, je râle pour quelques secondes, mais c’est une des choses qui me rend le plus fou ça, quand j’attends qu’une page se charge … j’en mordrais mon clavier).

Pour l’installer, rien de plus simple :

  1. sudo add-apt-repository ppa:atareao/atareao
  2. sudo apt-get update
  3. sudo apt-get install translate-me

Sources :

PlayDeb, le repository pour les joueurs

J’ai parlé il y a quelques temps ici de GetDeb qui permet d’avoir un repository de logiciels super à jour pour Ubuntu. Il existe son pendant pour les jeux et c’est playdeb.

Comme Getdeb, vous pourrez ajouter les repos playdeb en ajoutant, dans vos repos :

  • deb http://archive.getdeb.net/ubuntu maverick-getdeb games

puis en ajoutant la clés GPG avec la commande :

  • sudo wget -q -O- http://archive.getdeb.net/getdeb-archive.key | sudo apt-key add –

Et grâce à Playdeb, vous pourrez installer le dernier Alien Arena dont je vous met un petit trailer

Logiciels libre à découvrir (ou à mettre à jour), la hotte du Jmad.

Je me demande parfois quoi faire lorsque j’ai envie de parler d’un logiciel sur lequel je tombe, mais que je n’ai pas envie de faire un billet de 3 ligne. Souvent, je ne fais rien.

Mais là, c’est Noël, du coup, pour une fois je vais faire un billet regroupant plusieurs sous billets.

Rhythmbox, les nouvelles versions.

La dernière version de Rhythmbox n’est pas dispo dans les repos officiels ubuntu. Ce qui est dommage, vu qu’elle corrige une bonne flopée de bug. Mais chanceux utilisateurs, un PPA a été crée spécialement pour.

Un petit coup de

  • sudo add-apt-repository ppa:rjeschmi/rjeschmi-ppa puis de
  • sudo apt-get update && sudo apt-get install rhythmbox

et le tour est joué.

CADuntu a un nouveau nom, LibreCAD

J’ai découvert CADuntu en découvrant qu’il changeait de nom. C’est un logiciel de CAD basé sur l’édition communautaire de QCAD. LibreCAD est donc sensé vous aider à faire des plans, des dessins techniques, etc etc.. Honnetement j’ai essayé de m’en servir pendant 10 minutes, à part faire des cercles et des courbes de Béziers, j’ai pas compris grand chose. Mais bon, au moment où je suis tombé dessus, je n’étais même pas sur de savoir ce que voulais dire CAD…

XBMC

XMBC est un média player et entertainement hub qui a l’air de dépoter grave. XMBC fonctionne sous Linux, Windows, Mac et la Xbox originale. Et vraiment, à voir les captures d’écrans, il donne envie. Bon, je n’ai pas pu le tester parce que les drivers 3D de mon lenovo ont décidé qu’ils allaient se mettre en gréve, mais je ne pouvais pas en parler, pour ceux qui eux, les chanceux, ont droit d’avoir de la 3D sur leur ordis. Et en plus, il y a des repos Ubuntu, Arch, OpenSuse et Mandriva

Synapse, le Gnome-Do killer

j’ai essayé pléthore de lanceur de programme, comme Gnome-Do. Mais au final, après quelques jours d’utilisation, j’y renonçais assez vite pour revenir à la bonne vieille méthode : le lancement par la ligne de commande.

Mais pour une fois, il est bien possible que je change d’avis. Parce que synapse, que j’ai découvert il y a quelques semaines, m’a bien l’air d’être plus qu’un simple gadget.

Pourtant au final, il ressemble aux autres lanceurs.

On le fait apparaître par une combinaison de touche et on tape des bouts du nom de la commande que l’on veut lancer. Il nous propose alors des noms de commandes qui correspondent. Synapse a d’ailleurs deux fonctionnement possible.
En mode réduit, il ne propose qu’une seule commande.
En mode déplié, il propose en plus du choix principal, plusieurs choix possible en fonction des caractères que l’on a tapé et l’on peut naviguer parmi elles pour en sélectionner une.

Mais là où synapse amène un vrai plus, c’est que l’on peut l’utiliser pour lancer des commandes, mais aussi pour lancer des actions précises (Hybernate, stop ou pause la musique) mais surtout, réouvrir les documents que l’on a ouvert il y a plus ou moins longtemps. Pour cela Synapse se branche sur zeitgeist (un super outil GNOME dont je vous reparlerais). Il y a d’autre plugin, comme le plugin dictionnaire pour chercher des définitions.

Tout cela est bien entendu configurable, soit en cliquant sur la petite icône dans la systray, soit en cliquant sur le petit bouton noir, juste à droite de Vidéo dans l’interface.

Une dernière chose, Synapse n’est pas dans les repo officiel d’ubuntu, si vous voulez l’installer il faudra donc faire un petit

  • sudo add-apt-repository ppa:synapse-core/ppa