Allez op, cherchant à offrir un peu de légèreté et de fraicheur à mon blog en ce beau vendredi 13, je me suis dit que parler d’un film, si possible ringard, serait une excellente idée. Aussitôt dit, Aussitôt fait et donc voici la critique de TC 2000, un film avec des vrais …. dedans.
J’ai eu l’occasion de tomber sur ce magnifique nanard de 1993 il y a peu. C’est comment dire, un sous NewYork 1997 ou Los Angeles 2001.
L’histoire est très classique. A la suite de multiple catastrophe écologique du à la pollution, la surface de la Terre est devenue quasiment inhabitable. Les riches ont donc fait ce que font tout les riches, ils se sont réfugiés dans des complexes souterrains ‘tout confort’ laissant, comme toujours, la surface aux pauvres qui eux font ce que font tout les pauvres, tentés de survivre, se battre entre eux et tenter d’entrer dans les repaires de ces salauds de riches.
Dans cet univers impitoyable, les trackers sont ceux qui protègent les gentils (les riches quoi) des méchants. Méchants qui d’ailleurs sont en plus dotés d’un goût des plus … ridicules. (comme par exemple le gang des Picassos qui se croient obligé d’arborer des maquillages à la Kiss du dimanche). Bon quand vous aurez vu l’accoutrement des gentils, vous me direz que cette propension au mauvais goût est partagée …
Mais revenons aux trackers. Parce que les deux héros du films, Jason et Zoey sont des trackers. Leur métier n’est déjà pas facile, mais quand en plus, il y a un traitre très haut placé dans la hiérarchie souterraine, ça devient carrément mortel… Mais ‘heureusement’ pour Zoey, il y a une espèce de scientifique geek ridiculous dans les labos souterrains. Et elle sera ressuscité en TC 2000, (Tracker Cybernétique, faut suivre) destiné à défendre et protéger les refuges souterrains. Et puis c’est surtout l’occasion pour les préposés aux fringues du film de sortir leur assortiment de costume cuir/clous moulant parce que forcément un cyborg policier féminin doit forcément être accoutrer comme une dominatrice de bas étage.
Notre TC 2000 devrait donc, logiquement, aider les trackers humains a mettre une fessée aux vilains méchants pauvres de la surface. Sauf que.. sauf que le vilain traitre à d’autres plans….
Mais je ne vous en dirais pas plus, je ne voudrais pas déflorer un peu plus le scénario recherché de ce splendide film.
Juste deux dernières petites précisions :
Les décors d’usine désaffectées sont fascinant de carton-patismes.
Il semblerait que la pollution en plus de détruire la surface est détruite presque toutes les armes à feu. Il ne reste donc plus qu’une seule façon de terrasser les ennemis, la baston. Et des bastons, il y en a souvent, toutes les cinq minutes, et pour n’importe quel prétexte y compris le fameux prétexte ‘il n’y a pas de prétexte c’est comme ça’.
Bon allez, je vous ai tellement donné envie de le voir ce film, que je vous met le trailer.
Allez op, cherchant à offrir un peu de légèreté et de fraicheur à mon blog en ce beau vendredi 13, je me suis dit que parler d’un film, si possible ringard, serait une excellente idée. Aussitôt dit, Aussitôt fait et donc voici la critique de TC 2000, un film avec des vrais …. dedans.
J’ai eu l’occasion de tomber sur ce magnifique nanard de 1993 il y a peu. C’est comment dire, un sous NewYork 1997 ou Los Angeles 2001.
L’histoire est très classique. A la suite de multiple catastrophe écologique du à la pollution, la surface de la Terre est devenue quasiment inhabitable. Les riches ont donc fait ce que font tout les riches, ils se sont réfugiés dans des complexes souterrains ‘tout confort’ laissant, comme toujours, la surface aux pauvres qui eux font ce que font tout les pauvres, tentés de survivre, se battre entre eux et tenter d’entrer dans les repaires de ces salauds de riches.
Dans cet univers impitoyable, les trackers sont ceux qui protègent les gentils (les riches quoi) des méchants. Méchants qui d’ailleurs sont en plus dotés d’un goût des plus … ridicules. (comme par exemple le gang des Picassos qui se croient obligé d’arborer des maquillages à la Kiss du dimanche). Bon quand vous aurez vu l’accoutrement des gentils, vous me direz que cette propension au mauvais goût est partagée …
Mais revenons aux trackers. Parce que les deux héros du films, Jason et Zoey sont des trackers. Leur métier n’est déjà pas facile, mais quand en plus, il y a un traitre très haut placé dans la hiérarchie souterraine, ça devient carrément mortel… Mais ‘heureusement’ pour Zoey, il y a une espèce de scientifique geek ridiculous dans les labos souterrains. Et elle sera ressuscité en TC 2000, (Tracker Cybernétique, faut suivre) destiné à défendre et protéger les refuges souterrains. Et puis c’est surtout l’occasion pour les préposés aux fringues du film de sortir leur assortiment de costume cuir/clous moulant parce que forcément un cyborg policier féminin doit forcément être accoutrer comme une dominatrice de bas étage.
Notre TC 2000 devrait donc, logiquement, aider les trackers humains a mettre une fessée aux vilains méchants pauvres de la surface. Sauf que.. sauf que le vilain traitre à d’autres plans….
Mais je ne vous en dirais pas plus, je ne voudrais pas déflorer un peu plus le scénario recherché de ce splendide film.
Juste deux dernières petites précisions :
Les décors d’usine désaffectées sont fascinant de carton-patismes.
Il semblerait que la pollution en plus de détruire la surface est détruite presque toutes les armes à feu. Il ne reste donc plus qu’une seule façon de terrasser les ennemis, la baston. Et des bastons, il y en a souvent, toutes les cinq minutes, et pour n’importe quel prétexte y compris le fameux prétexte ‘il n’y a pas de prétexte c’est comme ça’.
Bon allez, je vous ai tellement donné envie de le voir ce film, que je vous met le trailer.
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