Non, non, je ne deviens pas fou.
Et oui mes titres de posts veulent dire quelque chose. En fait, ce billet est un simple billet de bon sens, inutile donc au final, parce que tout le monde sait ce que je vais écrire, mais bon, quand même, parfois c’est bon de dire des trucs inutiles.
Le principe de cette catégorie de billet est de lutter contre la procrastination. Par tout les moyens et dans toute les situations.
Et mon billet du jour lui, est un billet pour vous pousser à procrastiner. Et je l’écris dans un espace dédié à la chasse à la procrastination.
Et non, je ne suis toujours pas fou.
Et non, ce n’est pas juste pour dire que la procrastination c’est un bon moyen pour faire de la sérépendité, que au hasard de vos procrastinations, vous allez apprendre des trucs nouveaux, découvrir la vérité sur le monde et ainsi devenir plus intelligent et plus riche (et donc plus beau).
Non, ce billet se limite à une seule chose. Un appel à la procrastination. Mais à la procrastination contrôlée. Parce que parfois on a besoin de faire décompresser son cerveau et qu’il est bon de pouvoir le faire sans, juste après, culpabiliser atrocement.
Donc, je maintiens ce que je dis, il faut savoir se laisser des moments de procrastination pure. Des moments où l’on fait des petites taches inutiles mais qui permettent de se vider le cerveau, de se rassurer, de se dire ‘voilà ça c’est fait, et bien fait’ et de repartir, le cerveau plus aéré que jamais sur des tâches ‘importantes’.
Moi, par exemple, j’aime bien ranger mes mails ou les millions de post-its que j’ai sur mon bureau. Je range tout ça, bien parfaitement, sachant que (en tout cas pour les posts-its) même pas 4h après il y en aura de nouveau plein sur mon bureau, que j’aurais jeté une bonne partie de ceux que j’avais rangé, et que ca sera de nouveau un vrai capharnaüm mes post-its.
Mais parfois, ca fait vraiment du bien, de perdre son temps en futilité.
Donc procrastiner, un peu, avec modération, à des moments bien définis et pour des durées bien précises, vous verrez que tout ira mieux.
One Response to “Procrastiner pour ne pas procrastiner”
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Ça me rappelle un peu l’éternel rangement de mon/mes disques durs, notamment la partie “média” 🙂