Feb 082010
 

Mes légumes, ils sont beaux mes légumes

Encore une semaine qui commence en mode ‘infernale’ et qui va finir en mode ‘hardcore de l’espace’ je sens. Du coup, entre deux lignes de code django et juste après un déploiement serveur client, je me change les idées en inaugurant une nouvelle rubrique délirante.

A savoir tout les concepts de jeux que je sais consciemment que j’aurais même pas le temps de faire plus qu’y réfléchir. Soit parce que je n’aurais jamais le temps, soit parce qu’ils sont juste mauvais, rigolo mais mauvais.

Et oui, je suis encore suffisamment plein d’illusions pour croire que pour certains, j’aurais le temps de ‘faire des trucs’…

Donc, pour ce premier post, voilà un petit concept, très peu réfléchi, mais qui il y a deux jours, quand j’y ai pensé, m’a bien fait marrer.

En fait, l’idée vient d’une discussion que j’avais avec un pote qui joue sur le même serveur Aion que moi. On discutait du fait que lui se foutait du nom de son perso, du nom de sa guilde, du background du monde, du texte des quête, etc quand il jouait. Le seul truc qui l’amusait c’était d’amasser des pièces d’or (les puristes d’Aion me diront que ce n’est pas des pièces d’or mais des khina, mais vous aurez compris que bon, le nom de la monnaie, mon pote s’en fiche un peu), des lvls et du stuff.

Donc je lui ai dit ‘de toute façon, toi, ça pourrait être un mmorpg où l’on jouerait des carottes, des navets ou des poireaux, ca te plairait quand même’.

Et au final, je me suis dit, pourquoi pas. Pourquoi pas incarner des légumes. Avec des clans de légumes, qui auraient chacun des pouvoirs. Les agrumes, les légumes verts, les féculents, etc …
Les pommes de terres pourraient par exemple voyager sous le sol, en étant, du coup, furtif. Les poireaux pourraient être utile pour passer des obstacles, les agrumes pourraient tirer des pépins, les petits pois s’agréger en ‘homme petit pois’ ou se transformer en limace de petit pois pour se faufiler  partout.

Les lieux pourraient être multiples, ferme, super marché (avec la possibilité de conduire des voitures télécommandés à la greemlins), entrepôt, camion ou péniche, restaurants, etc …

Je verrais bien un moteur physique assez réaliste dans la gestion des collisions et des interactions (avec l’eau, le feu).

Je me dis qu’il y aurait plusieurs modes possibles, mais je les vois tous pvp :

  • pvp team contre team,
  • race contre race, où les féculents font tout pour transformer les légumes verts en potage et ou les agrumes reverraient de faire tomber les patates dans les découpes frites.
  • un mode pvp guilde contre guilde , suivant les même principe que le team vs team, mais en guilde.

Le but serait de faire ‘gagner’ sa team/race/guilde.

Comment ? En prenant et en tenant des forts, en se servant des avantages de ceux-ci pour  faire maximiser son score. Le score étant bien entendu le nombre d’adversaires cuit/découpés/frit/réduit en purée. Par exemple, dans la maps cuisine, imaginons que l’un des points à conquérir soit la casserole d’eau qui boue sur le feu. Le groupe qui le posséderait pourrait, s’en servir pour faire bouillir les ennemis qu’il arriverait à capturer (où à faire tomber dans la casserole en faisant des embuscades à la incredible machine, d’où l’importance du moteur physique).

On pourrait rajouter des événements aléatoire, du style, le geek célibataire qui revient éteindre la casserole qu’il a oublié à cause d’une instance de WoW. Où la mère de famille qui se rend compte qu’elle a laisser trainer une carotte sur le plan de travail et qui enferme un pauvre joueur dans le frigo, dans le bac à légumes.

A ce niveau là, je me demande si il vaut mieux le penser avec des légumes qui se cachent des ‘humains’ pour pas que l’on sache qu’ils sont vivants ou si il vaut mieux partir sur le fait que les légumes puissent se battre contre des PNJ humains ou animaux, comme le boss chef de cuisine fou de poêlée de légume ..

Au final, je me dis qu’il y aurait peut-être un vrai concept à creuser la dessous.. Si j’avais le temps..
Mais là, le devoir, et les lignes de python, m’appelle, donc op, j’y replonge.